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#Corse 16 prisonniers politiques rapprochés, dont 4 corses et 12 basques.

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(Unità Naziunale, publié le 17 mai 2018 à 12h03) 16 prisonniers politiques ont été rapprochés depuis le début de l’année. 4 prisonniers politiques ont été rapatriés en Corse, et 12 prisonniers politiques Basques dans les prisons de Mont de Marsan et de Lannemezan.

L’application du droit, rien de plus.

Des années de combats pour que le rapprochement familial des prisonniers politiques condamnés dans un premier temps aboutissent, et ensuite pour les prisonniers politiques en préventive soient eux aussi rapprochés.

Il reste 4 prisonniers politiques en exil, Yvan Colonna condamné et emprisonné depuis 2003 (+15 ans en exil), Serge PoilBlan en préventive depuis 2015, Alessandri Petru et Alain Ferrandi, condamné et emprisonné depuis 1999 (+19 ans en exil).

Depuis Juin 2014, et le dépôt des armes du FLNC, quelques chiffres :

  • 2018 (4 rapprochements, 1 libération sous Contrôle Judiciaire)
  • 2017 (5 libérations fin de peine)
  • 2016 (3 rapprochements, 11 libérations dont 3 fin de peine)
  • 2015 (2 rapprochements, 5 libérations dont 3 fin de peine, )
  • juin 2014 à décembre (2 rapprochements, 1 libération fin de peine)

#Corse – Depuis juin 2014, la fin annoncée de la clandestinité et les victoires institutionnelles : 21 libérations et 11 rapprochements -Dossier en cours de réalisation

 


#Corse Le STC apporte son soutien au collectif Patriotti @CollectifAPP

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(Unità Naziunale – Publié le 18 mai 2018 à 12h59) L’État Français, continue, dans une logique chaque jour un peu plus exacerbée, aux antipodes de ce que revendique la majorité des Corses.

Après l’épisode du FIJAIT, (dispositif mis en oeuvre après les attentats de Charlie hebdo et du Bataclan afin de lutter contre l’islamisme radical), pour lequel d’anciens prisonniers politiques sont poursuivis parce qu’ils ont refusé leur inscription à ce fichier.

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Aujourd’hui, on franchit un nouveau cap, avec la demande de règlement par les services fiscaux de plusieurs amendes exorbitantes de plusieurs millions d’euros, impossibles à régler et qui obéreront pendant des décennies des familles entières.

Nous le disons une fois encore, les prisonniers politiques Corses, anciens ou actuels ne sont pas des terroristes. Pour nous, pas d’amalgame possible.

BASTA A RIPRESSIONE

Le STC apporte son soutien total et entier à la démarche initiée par le Collectif d’Anciens Prisonniers Politiques Corses, PATRIOTTI.

STC

#Corse L’Audience nationale espagnole a mené hier une opération contre d’anciens prisonniers politiques

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(Unità Naziunale – Publié le 18 mai à 13h33) Les biens d’une cinquantaine d’anciens prisonniers basques sont la cible de l’opération menée par la Garde Civile espagnole au Pays Basque sud. Son but : récupérer les indemnités qui leur sont réclamées par la justice espagnole.

La Garde Civile espagnole a enclenché une opération, ce jeudi 17 mai, contre d’anciens prisonniers basques pour réquisitionner leurs biens en vue de régler les indemnités pour responsabilité civile qu’il leur sont réclamées par la Justice. L’opération ordonnée par l’Audience Nationale aurait été appelée « Zerga » (impôt), d’après l’agence de presse Efe. Le montant des indemnités réclamées s’élèverait à 8 millions d’euros. 

Le ministre de l’Intérieur, Juan Ignacio Zoido a annoncé sur les réseaux sociaux que « la Garde civile, en collaboration avec l’Audience nationale, est intervenue sur des comptes courants, des véhicules et des biens appartenant à plus de 50 personnes ». Elles ont en commun le fait d’avoir été condamnées « pour des délits de terrorisme en lien avec ETA ».

La suite sur le site MEDIABASK

#Corse @JeanGuyTalamoni, Président de l’Assemblée de #Corse, se rendra à Bilbao le 19 mai pour le congrès international de @sortuEH ‏

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(Unità Naziunale – Publié le 18 mai à 14h29) Le Président de l’Assemblée de Corse, Jean-Guy Talamoni, se rendra à Bilbao le 19 mai 2018, à l’invitation du parti politique basque Sortu (gauche indépendantiste) qui organise un congrès international.

Ce congrès intervient alors qu’ETA vient d’annoncer sa dissolution et que le Pays Basque entre dans une phase décisive pour son avenir.

Le Président de l’Assemblée de Corse prononcera une allocution lors du meeting du 19 mai à 17h30, aux côtés de Michelle O’Neill, vice-présidente du Sinn Fein, et des porte-parole de Sortu.


Cette rencontre publique qui attend 15 000 personnes dont d’anciens prisonniers politiques venus du monde entier viendra écrire les premières lignes du nouveau chapitre de l’histoire du Pays-basque après l’annonce de la démilitarisation de l’ETA.

 

 

#Corse Ghjacumu Faggianelli « La visite de la sous-ministre est-elle une occasion pour les nationalistes de clarifier le jeu politique ? »

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(Unità Naziunale – Publié le 18 mai à 17h26) Le ban , l’arrière ban et les fonds de tiroirs du clan, étaient convoqués pour faire la claque à l’envoyée de Macron venue contempler les magnifiques toiles volées par le Cardinal Fesch pendant la campagne d’Italie et qui sont exposées au Musée Fesch.

Après l’infâme visite si peu courtoise du 6 février, le gouvernement veut toujours prouver qu’il est à la hauteur pour régler les problèmes avec plus de bâton que de carottes . Quoi de mieux pour se rassurer, que de se ménager un parterre de gueux qui voudraient faire croire qu’ils représentent l’avenir de la Corse quand ils en sont le passé le moins glorieux…
Paris a l’air de s’y résoudre : parler de politique avec la majorité désavouée du paysage politique corse est assurément une posture tactique, mais ne saurait constituer une solution pour sortir la Corse du marasme où l’a plongée l’attelage séculaire Paris- bachagas.

Tous ces gens ont-ils seulement conscience du désastre de plus d’un siècle de jacobinisme ? On ne le répétera jamais assez : la Corse française est une zone de non-droit, plus précisément une région où règne la loi du plus fort pour contourner la loi et exploiter la misère, pour ruiner l’environnement et polluer sans sources de production, une région où on ne peut se soigner faute de moyens techniques et où règnent les monopoles que l’état afferment aux plus puissants ; une région sans routes modernes , où tout déplacement est une expédition ; une région enfin avec le plus fort taux d’illettrisme quand on sait que l’enseignement est par excellence du domaine régalien de l’État comme il l’oppose si souvent à nos revendications culturelles.

Ce constat est commun à tous les Corses. Ceux qui voudrait voir se rallier à l’une des dernières puissances coloniales d’Europe les représentants les plus fréquentables de la majorité nationale corse devraient comprendre que les divers votes qui les ont envoyés aux oubliettes de l’histoire ont été majoritairement exprimés par une grande partie de l’opinion qui n’est pas plus « nationaliste » que ça ! Et que le ralliement massif des maires de petites communes n’est pas une affaire d’opportunisme, mais traduit les aspirations d’élus locaux en contact avec une réalité quotidienne que l’union des Nationalistes au pouvoir peut et doit changer.

L’union qui a présidé aux victoires électorales doit se pérenniser et s’élargir à tous les Corses dés lors qu’ils seront sur des bases plaçant les intérêts de la Corse et de son peuple par dessus tout. Elle ne saurait se faire avec les professionnels besogneux de la pulitichedda qui essaient de nous circonvenir an nom du pouvoir parisien.

Il appartient au Président de l’Exécutif de l’Assemblée de Corse de mettre les choses au point…

Ghjacumu Faggianelli

#Corse @Corsica_Libera présente aujourd’hui au congrès international de @SortuEH

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(Unità Naziunale publié le 19 mai à 06h00) Une délégation de membres de l’exécutif de Corsica Libera sera présente demain, Samedi 19 mai à Bilbao, pour un congrès international organisé par Sortu (Gauche Indépendantiste Basque).

À cette occasion, Jean-Guy Talamoni, Président de l’Assemblea di Corsica et militant de notre parti, prononcera un discours.

Corsica Libera se félicite de participer à ce congrès intervenant après qu’ETA ait annoncé sa dissolution et alors même que le pays Basque entre dans une phase décisive pour son avenir.

Simu fratelli ! Anaiak Gara !

CORSICA LIBERA
18 mai 2018

#Corse Le collectif Patriotti apporte son entière solidarité aux militants Basques

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(Unità Naziunale publié le 19 mai à 06h42)Le gouvernement espagnol vient d’ordonner la saisie des biens immobiliers d’une cinquantaine d’anciens prisonniers politiques basques.

L’absence de solution politique au Pays Basque et en Corse laisse les anciens prisonniers corses et basques livrés à une répression pérenne et multiforme des gouvernements français et espagnol.

Le collectif Patriotti apporte son entière solidarité aux militants Basques.

Nous veillerons en Corse à amplifier la mobilisation initiée par le regroupement de notre collectif des anciens prisonniers pour faire retirer les patriotes corses du Fijait et obtenir l’effacement des amendes.

Notre combat se situe dans la continuité de notre engagement pour faire valoir les droits imprescriptibles du peuple corse.

PATRIOTTI

18 mai 2018


#Corse L’Audience nationale espagnole a mené hier une opération contre d’anciens prisonniers politiques

#Corse @CoreInFronte Aiacciu condamne fermement la position du préfet français #ACAHAC

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(Unità Naziunale – Publié le 19 mai 2018 à 14h33) Suite à la décision d’annulation du match de barrage que devait disputer l’AC Aiacciu face à l’équipe du Havre afin de pouvoir accéder, après une saison exemplaire, à l’élite du football, la section Core in fronte Aiacciu condamne fermement la position du préfet français, certainement désireux de fêter son départ par un dernier acte anti corse.

Si les légers incidents ayant émaillé l’arrivée du car Havrais doivent être condamnés, ils ne sont en aucun cas de la gravité que certains voudraient leur prêter. Il suffit, pour s’ en convaincre, de visionner les images et de lire les commentaires du personnel de sécurité. Ce que n’a pas fait le préfet français ni aucun officiel, accréditant ainsi le caractère inapproprié et inique de cette décision.

MATCH ACA – LE HAVRE : le cadeau d’adieu du préfet de Corse

Si l’on devait comparer les événements d’Aiacciu au caillassage, bien réel lui, du car de l’équipe de Lorient à Nîmes au mois d’avril dernier, ou plus récemment, celui de l’Athletico Madrid à Lyon (Pour ne citer que les exemples les plus récents) sans que cela ne remette en cause la tenue des rencontres, nous pourrions presque considérer ce qui c ‘est passé à Timizzolu comme un non événement. Mais il semble qu’il y ait une fois de plus deux poids deux mesures.

Core in fronte Aiacciu apporte son soutien sans réserve à l’AC Aiacciu,ses salariés, joueurs et supporters.

Dans ces conditions, Core in Fronte Aiacciu apporte son soutien sans réserve à l’AC Aiacciu, ses salariés, joueurs et supporters.

Aucune sanction, visant à stigmatiser les clubs corses de football, ne sera tolérable ni admissible.

Enfin, nous resterons vigilants suite aux déclarations intempestives du procureur de la république semblant condamner par avance avec, cette fois, exploitation de la vidéo…

CORE IN FRONTE AIACCIU


#Corse Victoire du STC à l’élection du SCE à Carrefour Aiacciu

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(Unità Naziunale – Publié le 19 mai 2018 à 14h58) Il y avait vendredi (18 mai 2018) une élection au sein de Carrefour Aiacciu pour désigner les délégués du Personnel (CSE).

Voici les résultats :

Collège ouvriers et employés 
Titulaire:9 sièges (sur 9)
Suppléant:9 sièges (sur 9)
Collège Agents de maîtrise 
Titulaire:0 siège (sur 1)
Suppléant:1 siège ( sur 1)

A sezzione carrefour, et les nouveaux élus, remercient l’ensemble des collègues qui par leurs votes ont renouvelé leur confiance aux délégués STC

Vi ringraziemu a tutti 
Uniti semu più forte 

STC

Congrès International de @SortuEH, présence de @Corsica_Libera et du Président de l’Assemblée de #Corse – @FMLNoficial @FSLN @FARC_EPueblo @mlntupamarosuy @PFLP_ @DFLPalestine @ELN_Paz @sinnfeinireland @kongrakurdistan @Fpolisario_

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(Unità Naziunale Publié le 20 mai à 14h12) Le Président de l’Assemblée de Corse, Jean-Guy Talamoni, accompagné de son Directeur de Cabinet, Sébastien Quenot, ainsi que Carlu Pieri et Sauveur Grisoni, de la délégation de Corsica Libera, étaient présent ce samedi au congrès international de Sortu qui a réunis plus de 4000 personnes.

Étaient aussi présent Arnaldo Otegi (EH Bildu)Michelle O ‘Neill (Vice Présidente du Sinn Fein Irlandais), mais aussi des représentants de l’Uruguay, du Salvador, du Nicaragua, du Sahara, du Kurdistan, de la Palestine et de la Colombie. Le négociateur des FARC à La Havane, Luis Alberto Alban, a également participé à ce congrès, ainsi que Yamil Kasem du Conseil Palestinien.

« Gure Etxea aitaren defendituko Dugu »

Sur scène, Le Président Talamoni a rappelé la situation de la Corse face à l’Etat français qui continue d’ignorer les revendication malgré le résultat des élections.  Jean-Guy Talamoni a rappelé les vers du poète Gabriel Aresti, « Gure Etxea aitaren defendituko Dugu » et a souligné que « nous qui avons défendu la maison de notre père. »

« Baietza Sortzen-Konpromiso de l’eta eraberritzen » 

Sortu a tenu ce weekend un acte politique qui a été baptisé « Baietza Sortzen ». Il s’agit de donner un nouvel élan au nouveau cycle récemment ouvert en Euskal Herria avec la disparition de l’ETA.

Le Pays basque « n’est ni la france ni l’espagne », retour des prisonniers à la maison, l’indépendance, libération nationale, sont une partie des sujets abordés lors de ce congrès.

Les intervention du Président Jean-Guy Talamoni et de Michelle O’Neill ont renforcé cet acte politique. La représentante du Sinn Feinn a défendu le droit de chaque peuple à décider de leur avenir politique, économique et social et a exhorté les Etats espagnols et Français pour mettre fin à la dispersion des prisonniers de l’ETA. Les représentants de la Corse et de l’Irlande ont exprimé leur solidarité avec le Pays Basque et ont félicité les « abertzale » pour la consolidation de la Paix et de la Liberté.

« Nous sommes avec vous, nous vous aimons et nous ne vous laisserons jamais seuls »

Au nom d’Etxerat, l’un des proches a souligné que les prisonniers « ne sont pas seuls » et ne les « oublieront » pas. « Vous êtes un atout du processus d’indépendance »

L’intervention finale a été réalisée par le chef de Sortu, Arkaitz Rodríguez, a confirmé que les prisonniers politiques ne sont pas seuls et qu’ils continueront à se mobiliser jusqu’à ce qu’ils soient « chez eux et libres ». Il s’est engagé à ne pas cesser de «ramener à la maison les prisonniers, les réfugiés et les déportés», ainsi que de «réaliser la liberté nationale de notre peuple».

Sortu a transformé son acte de «rénovation» en hommage à l’ETA. On y a rappelé les membres décédés de l’ETA, leur «lutte» a été applaudie et des douzaines de membres de l’ETA ont été honorés sur scène. 

 

#Corse Procès de patriotes corses en juin, l’appel à soutien de @Sulidarita

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(Unità Naziunale – Publié le 10 mai 2018 à 17h53Un procès de 9 militants corses se tiendra du 11 au 22 juin 2018 pour des faits remontant à 2012, soit 2 ans avant le dépôt des armes du FLNC UC.


 » Du 11 au 22 juin prochain, la cour d’assises spéciale de Paris jugera neuf militants pour leur participation « supposée » à divers degrés à une série d’attentats commis dans les nuits du 10 au 11 mai (une trentaine d’attentats à l’explosif commis en mai sur l’île contre 17 résidences appartenant à des « non corses », revendiqués le 2 juin par le FLNC UC) et du 7 au 8 décembre 2012 (Cette nuit-là, une vingtaine d’attentats avaient touché des résidence secondaires en Corse dans la nuit du 8 décembre 2012), contre des résidences secondaires dans le Valinco. Les attentats n’avaient occasionné que des dégâts matériel. Ils avaient été revendiqués par le FLNC UC, toujours actif alors, au nom de « la lutte contre la spéculation immobilière ».

Le FLNC a déposé les armes le 14 juin 2014. Mais si le FLNC a déposé les armes 18 mois après les faits visés, la répression n’a pas cessé pour autant. Les services policiers et judiciaires n’en ont pas pour oublié les suspects qu’elle avait dans le collimateur. Et ce alors que de nombreuses interpellations avaient toujours lieu, notamment dans les milieux de la jeunesse nationaliste…

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Pendant quatre ans, trois juges d’instruction parisiens ont planché sur l’affaire, appuyant leur enquête sur des écoutes téléphoniques et des sonorisations de véhicules et de commerces. Pour mettre au jour, selon la vision de l’accusation, « une association de malfaiteurs en vue de commettre des actes de terrorisme », un réseau de « trafic d’armes » et de préparation d’engins explosifs.

Voici l’appel à soutien de l’Associu Sulidarità :

 

 Anu bisognu di Voi !

“ Cari cumpatriotti, l’Associu Sulidarità s’adresse à vous à l’occasion d’un événement particulier nécessitant un effort particulier de soutien populaire aux militants aux prises avec l’appareil judiciaire français. Du 11 au 22 juin prochain se tiendra à Paris le procès de 9 de nos frères poursuivis pour des faits en relation avec la situation politique de la Corse.

Tous comparaissant libres, les frais s’annoncent colossaux, excédant largement les possibilités habituelles de l’Associu. Hébergement des militants, de leurs familles et de leurs avocats durant 10 jours à Paris, frais de transports, nourriture …. Sulidarità fait donc, une fois de plus, appel à votre générosité militante, à votre conscience politique, à votre esprit patriotique. Votre don, même minime, sera une participation à un effort collectif qui apportera à nos frères un soutien matériel concret, mais aussi moral dans cette épreuve que constitue toujours un procès politique.

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« Per avè pensatu corsu » ces 9 militants seront en première ligne face à l’appareil répressif colonial.

Anu bisognu di voi, di u vostru sustegnu, di a vostra Sulidarità ! Aiutateli !”

Si vous souhaitez faire un don :
– Par chèque libellé au nom de l’Associu Sulidarita
Adresse : 19 rue Paul Colonna d’Istria. 20090 Ajaccio  »

Source


#Corse Aider financièrement @Sulidarita, c’est aider les familles et les prisonniers politiques

 

#Corse cumitatu sulidarità Corsica Catalunya « réunion publique d’information mercredi 23 mai 2018 » #LlibertatPresosPolitics #CartaPerLaLlibertat #Catalogne

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(Unità Naziunale – Publié le 15 mai à 07h38Le comité Solidarité Corse Catalogne / cumitatu sulidarità Corsica Catalunya a été récemment créé à l’initiative de François ALFONSI ancien député européen,  Marie-Pascale CASTELLI, MINICALE, André PACCOU délégué de Corse de la Ligue des droits de l’homme et François TORTOS. 

Il regroupe plus d’une centaine de citoyennes et de citoyens corses d’horizons différents attaché-e-s à la démocratie et qui n’acceptent pas les graves atteintes portées aux libertés publiques en Catalogne par le gouvernement espagnol.

Aujourd’hui, notamment, ce sont des représentants d’organisations démocratiques qui sont emprisonnés depuis plusieurs mois.  Cette régression des droits dans un pays membre de l’Union Européenne nous interpelle également en tant que citoyennes et citoyens européens. Afin de débattre de la situation en Catalogne, le comité organise une réunion publique d’information mercredi 23 mai 2018 à 18h salle polyvalente de Lupinu à Bastia. 

Nous accueillerons à cette occasion Elisenda PALUZIE, qui vient de succéder à la présidence de l’Assemblée Nationale Catalane, l’ANC, à Jordi Sanchez, emprisonné à Madrid depuis sept mois de détention. L’ANC est l’une des deux associations majeures de la société civile catalane à l’origine, avec son alter ego Omnium Cultural, de puissantes manifestations de rue en Catalogne.

La venue de sa nouvelle présidente à Bastia contribuera à faire de notre réunion un événement de première importance dans la construction de la chaîne de solidarité européenne qui se mobilise pour la démocratie en Catalogne, et pour la libération des prisonniers politiques arbitrairement détenus par l’Etat espagnol.

Comité Solidarité Corse Catalogne / Cumitatu Sulidarità Corsica Catalunya

(https://www.facebook.com/corsicacatalunya.https://twitter.com/CorsicaCatal).

#Corse Max Simeoni sur @Arritti « Sortons de notre mélasse de factions autonomistes »

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(Unità Naziunale – publié le 21 mai 2018 à 6h48) L’ours jacobin est bien vivant La clandestinité ayant montré ses limites, il faut continuer une guerre civique qui implique courage, ténacité, abnégation, intelligence… Le Peuple Corse ne peut se permettre de perdre cette “guerre” imposée.

On nage en plein paradoxe.

Le système électoral des clans (électoral seulement,) s’est effondré en même temps que celui des partis de la 5e République à Paris. Une majorité absolue a surgi des décombres, autour de Gilles Simeoni dans l’île et d’Emmanuel Macron à Paris.

Pour autant les conditions du clanisme persistent. Elles ne sont pas éradiquées et le jacobinisme républicain est porté à son paroxysme par le jeune Président surprise. Il se proclame réformateur.

Il est prêt, dit-il, à un pacte girondin.

Dans le même temps cependant il recentralise férocement.

Sa mise en scène lors de l’anniversaire de l’assassinat du Préfet Érignac ne permet aucune autre interprétation. Chevènement est félicité, les élus locaux sont remis à leur place “ils ne font pas la loi ”… On ne saurait être plus clair.

Si, jusque là, il était loisible de conserver quelque espoir d’être entendu ou d’entamer un dialogue, il faut à présent tout revoir. Car le consensus des natios n’est qu’électoral. Celui des autonomistes avec les indépendantistes se justifie d’une part par l’abandon de la lutte armée par le FLNC et d’autre part, par le fait que Corsica Libera n’envisage pas d’indépendance avant une dizaine d’années ; toute idée a droit à s’exprimer en démocratie.

Pourtant, la recherche d’un large consensus insulaire réunissant audelà des natios et destiné à s’imposer comme l’interlocuteur de l’État républicain de Macron est devenue difficilement envisageable.

En effet, la mise au pas a commencé et le pouvoir parisien montre qu’il n’a l’intention ni d’entendre ni de recevoir les représentants d’un tel ensemble.

L’heure est grave car en l’absence d’article 74, il n’est pas d’issue pour une autonomie et l’article 72-5 qui nous est prédestiné, nous enchaîne et nous met en laisse. De plus, on ne connaîtra pas les compétences et moyens financiers de l’Assemblée unique avant un an (et encore, cette date n’a rien d’une garantie comme nous l’a démontré le processus Matignon écartelé sur l’alternance Jospin/Chirac). Pour y voir clair, il faudra attendre que la loi organique soit votée à l’Assemblée nationale ainsi qu’au Sénat.

L’espoir s’est envolé brutalement.

Finie l’idée d’un dialogue constructif possible entre une majorité absolue natio et un Président de la République neuf, en rupture avec les partis en crise ayant alternés ou cohabités au pouvoir.

“ L’absolue majorité ” nationaliste est électorale. C’est le fruit d’un moteur autonomiste à deux cylindres, auquel c’est adjoint celui de Corsica Libera. Créant ainsi une énergie consolidée par la propulsion de la grande roue des votants hors nationalisme, mus par la vague du “ dégagisme ”. Celle là même qui a déferlé ici, comme sur le continent.

Mais il convient de ne pas se tromper : le jacobinisme idéologique républicain, cette idée politique qui a pétri l’histoire de la France républicaine et de la Corse claniste reste en place.

À Paris le Président “ne gouverne pas, il règne”. Aucun contre pou voir organisé ne lui fait face. Ce rôle devrait revenir à la rue, mais les ressorts avachis des organismes sociaux et socio-professionnels ne le lui permettent pas.

En tout état de cause, les natios devraient en tirer leçon : leur majorité électorale ne saurait suffire pour conduire un pouvoir jacobin – actuellement renforcé – à concéder la moindre perspective d’autonomie. Les natios devraient comprendre qu’il est urgent de forger l’outil approprié, celui qui pourra continuer de faire avancer l’émancipation du Peuple Corse.

Il convient de mettre de la cohérence chez les autonomistes.

Tous partagent la même analyse sur les causes et les remèdes au déclin du Peuple Corse. Ensemble, ils ont voté une fusion afin qu’un unique mouvement voit le jour. Ils ont établi ses statuts, fixé un délai… Comment expliquer que, plusieurs mois après, aucune issue ne se dessine ?

J’ai forgé mon hypothèse, elle sera vérifiable d’ici peu si, comme je le crois, les natios se retrouvent dos au mur.

Le congrès de juillet entérinant la fusion n’a été qu’une nécessité électorale. Paraître unis arrangeait tout le monde. Le charisme d’un Gilles s’imposait, il était réaliste de le suivre pour que, si le succès prévisible se réalisait, on puisse avoir la meilleure part possible de mandats ou de postes à la CdC.

Par la suite, les péripéties avec les ministres, et le premier d’entre eux, ont mobilisé l’Exécutif et son président. Il s’agissait de négocier autour de L’Assemblée unique (AU), de son cadre constitutionnel, de l’article piège 72-5. Les compétences et les moyens financiers de l’AU ayant été à peine évoqués.

Pourtant ce contexte de négociation avec le gouvernement d’un Président de la République se présentant en partenaire girondin et se révélant jacobin ne suffit . L’accouchement laborieux de l’AU n’a fait que renforcer les

positions électoralistes. Le terreau nationaliste apparaît aujourd’hui comme un terrain marécageux où s’embourbe le projet de parti unique.

Il y a le jeu des chapelles où chacune des composantes qui ont fait la majorité absolue, veut conserver et si possible améliorer son espace institutionnel acquis.

Leurs chefs et leurs entourages craignent d’être dilués dans un mouvement unique et de perdre représentativité, pouvoir et mandats, pour eux et leurs affiliés.

Les membres de ces camarillas soutiennent le chef pour parvenir plus haut et certains derniers ralliés, soit trop jeunes ou anciens déçus en retrait, ont tendance à se voir refondateurs d’une démarche émancipatrice historique.

“Tout commence avec moi… avec nous”. C’est humain, c’est vieux comme le monde…

Ils sont nombreux ceux qui sont pressés de prouver leur capacité à mériter l’honneur de servir la Corse et d’être reconnus.

Mais ils se trompent.

L’ours jacobin est bien vivant. La clandestinité ayant montré ses limites, il faut continuer une guerre civique qui implique courage, ténacité, abnégation, intelligence…

Considérablement affaibli par une colonisation/assimilation forcée de la République des jacobins, le Peuple Corse ne peut se permettre de perdre cette “guerre” imposée.

Il faut sortir de notre mélasse de factions autonomistes et être capables de créer la force libératrice.

L’illusion doit céder la place à la lucidité et à l’intelligence collective s’appuyant sur une réelle démocratie. Ainsi la construction du pays demandera des efforts lesquels seront payants. Sans arracher l’autonomie et la reconnaissance du Peuple Corse, nous n’aurons jamais assez de “cadres” pour assurer sa survie.

Max Simeoni sur ARRITTI

#Corse – Paul Leonetti, élu @Corsica_Libera, contradicteur du Maire d’Aiacciu @LMarcangeli lors du Cuntrastu

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(Unità Naziunale – publié le 21 mai 2018 à 13h43) Ce dimanche, Laurent Marcangeli, maire d’Ajaccio et président de communauté d’agglomération du pays ajaccien, est l’invité de Cuntrastu. 

Voici l’extrait avec Paul Leonetti, militant Corsica Libera, Conseiller Municipal dans l’opposition à la Mairie d’Aiacciu ainsi qu’à la Collectivité de Corse.

#Corse @Corsica_Libera appelle à se rendre à la réunion publique d’information, organisée par le Cumitatu Sulidarità Corsica Catalunya

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(Unità Naziunale – publié le 21 mai 2018 à 17h53)  Mercredi 23 mai, se tiendra, à partir de 18h à Bastia (salle polyvalente de Lupinu), une réunion publique d’information, organisée par le Cumitatu Sulidarità Corsica Catalunya.

La Présidente de l’Assemblea Nacional Catalana, Elisenda Paluzie, sera présente lors de cet évènement.

Corsica Libera appelle ses militants, et, au-delà, tous ceux qui souhaitent l’avènement d’une Europe où la démocratie et le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes soient respectés, à y participer.

Corsica Libera


#Corse A Manca « appelle à se mobiliser ce 22 mai »

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(Unità Naziunale – Publié le 22 mai à 07h11Nous appelons les salariés de la fonction publique à répondre en nombre à la journée de mobilisation organisée par neuf organisations syndicales des fonctions publiques d’État, de la Fonction publique Hospitalière et de la Fonction publique Territoriale (à l’exclusion du STC qui ne se joint pas pour l’heure au mouvement).

Le projet de suppression de 120 000 emplois et le développement de la contractualisation constituent une attaque contre le statut, de même que la possible rémunération « au mérite » assise sur des critères antinomiques à ceux du service public. Ces organisations syndicales rappellent leur opposition à la remise en cause des CAP et à la disparition des CHSCT, comme à toutes mobilités forcées vers le secteur privé.
Elles appellent les agents à exiger du gouvernement des mesures qui permettent une réelle amélioration du pouvoir d’achat pour toutes et tous :

– Fin du gel de la valeur du point d’indice et sa revalorisation,

– Rattrapage des pertes subies,

– Abrogation de la journée de carence,

– Compensation pérenne de la hausse de la CSG,

– Respect des engagements en matière d’évolution de carrière, amélioration des déroulements de carrière.

A Manca attire l’attention sur le « Comité Action Publique 2022 » mis en place par l’exécutif gouvernemental. Selon celui-ci, il s’agit de la « transformation » de l’administration qui tient en trois points :

–  « améliorer la qualité des services publics »,

– « offrir un environnement de travail modernisé »

– aux fonctionnaires « maîtriser les dépenses publiques en optimisant les moyens ».

Dirigé par un trio (le président de Safran, Ross McInnes, l’ex-directrice de cabinet de Manuel Valls à Matignon et cadre dirigeante de Nexity, Véronique Bédague-Hamilius, et le directeur de Sciences Po Paris, Frédéric Mion), ce comité est également composé des économistes Jean Pisani-Ferry et Philippe Aghion, qui avaient inspiré le programme économique d’Emmanuel Macron, et le président de l’Institut Montaigne (think-tank libéral) Laurent Bigorgne. Plusieurs entrepreneurs et cadres de grandes entreprises y figurent également, ainsi que des élus : l’ex-secrétaire d’Etat PS Clotilde Valter, le député LREM Jean-René Cazeneuve, la sénatrice LR Christine Lavarde ou encore les président PS de la région Centre, François Bonneau, et celui de la métropole de Rouen, Frédéric Sanchez.

On y retrouve aussi l’ex-conseiller de François Hollande à l’Élysée, Nicolas Revel, ou encore un Suédois qui a piloté les réformes sociales du royaume scandinave, Per Molander.
La seule membre issue du monde syndical est:Annie Thomas, ex-présidente de l’Unedic, qui a été secrétaire nationale à la CFDT dans les années 2000.
Par la nature de sa composition le « Comité Action Publique 2022 » annonce clairement la couleur. Les quelques insignifiantes différenciations entre ses membres ne portent pas sur la « philosophie » du projet car toutes et tous s’accordent pour faire subir à la fonction publique une nouvelle cure d’austérité. Dans un premier jet des rapporteurs de ce comité préconisent une rationalisation de la gestion du service public, ce qui signifie en langage libéral, encore moins de moyens humains et budgétaires et un démantèlement du statut en y associant des méthodes de management du secteur privé.

L’amplification de la casse des services publics socialement utiles s’inscrit pleinement dans un schéma où les inégalités pour les agents et le public vont s’accroître. En tentant de casser le statut, Macron et sa majorité, cherchent par tous les moyens à briser les capacités de résistance.
Ils se proposent (entre autres aspects) de mettre en place un secteur sanitaire au rabais pour les populations les plus modestes tout en favorisant le secteur privé auquel n’aurons accès que les plus aisés.
La prochaine étape de ce plan d’ensemble concerne le régime d’assurance maladie et la mise en place d’un système de retraite par capitalisation. Les patrons des fonds de retraite exercent un puissant lobbying dans ce sens.

Que ce soit aujourd’hui comme pour demain, A Manca considère que les acquis des lois et ordonnances de 1945 ont une valeur universelle et intemporelle. Notre vision d’une société corse émancipée de toutes les tutelles se construit dans les luttes d’aujourd’hui.

A MANCA.

#Corse – L’histoire des bombages dans la Lutte de Libération Nationale « Murs Rebelles » un film d’Hélène Bussière

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(Unità Naziunale – Publié le 22 mai à 12h01) Depuis le DVD « Génération FLNC », la liste des reportages sur la Lutte de Libération Nationale s’est agrandie… 

Aux Réalisations nustrale ou du pays ami on peut rajouter « Murs Rebelles » d’Hélène Bussière aux autres reportages comme « Génération FLNC » de de Samuel Lajus et Gilles Perez, « A Voce Ribella, parfum d’arquebuses«  de Marianna Thibout-Calandrini ou bien encore « Corse, la blessure identitaire » de Pierre Andreucci, Claude Fortunato et Patrick Thouvenin.

Je ne dis pas seulement cela parce que les archives du site Unità Naziunale sont cités dans ces reportages. C’est surtout parce que ces reportages m’ont touché dans mon parcours de vie de corse et dans ma très petite historicité de militant et de photographe amateur.

Le dernier en date retrace la Lutte de Libération Nationale à travers nos bombages politiques, cette communication murale, qui, comme les affiches ou bien les tracts, à servit d’outil de propagande à la lutte d’émancipation de notre peuple.

53 mn d’archives, d’infos et de bombages. Trop court pour moi… J’aurais aimé en voir d’avantages.

J’ai découvert encore de nouvelles images d’archives avec les débuts de Michel Castellani, et surtout de nouveaux bombages que je n’avais pas dans ma collection.

Une partie est consacrée à la communication hors mouvement national, comme l’AF, ou bien encore les graffitis banlieusards, qui rappelle, sans détour, la francisation de notre terre et la mondialisation à laquelle on ne peut pas échapper.

Je vous conseille de le regarder, ne serait ce que pour les témoignages des intervenants, comme Petru Poggioli, Sampiero Sanguinetti et Léo Battesti, mais surtout pour l’historicité des bombages à travers la LLN.

Pour plus d’information sur nos bombages « nustrale » : Pierre Bertoncini qui intervient dans « Murs Rebelles ». « La Corse est une île méditerranéenne où la culture et la langue sont des étendards, dont usent les partisans d’une reconnaissance du droit à l’autodétermination du peuple corse. Des acteurs de cette minorité utilisent le bombage depuis le début des années 1970, pour exprimer chaque facette du conflit qui les oppose principalement à l’Etat. » Ou bien dans « Mémoires militantes corses dans le Niolu » ici

Toujours dans l’analyse et les archives sur les bombages politiques l’excellent livre de Pierrot Murati « 30 ans de graffiti politique en Corse » chez Anima Corsa. Pierre Murati a sillonné la Corse et le continent pour France soir, 24 Ore, Ribombu et Corsica. Il a été pendant douze ans à l’agence Gamma. Mais cela fait plusieurs années qu’il se passionne pour les graffiti politiques.

Ce bombage a été réalisé courant mai 2018 à Aiacciu

#Corse « A VOCE RIBELLA, PARFUM D’ARQUEBUSES » Un film de soutien aux prisonniers politiques

 

 

#Corse – après Génération FLNC – Des archives d’unità naziunale ce soir dans un documentaire de Canal+ ?

 

#Corse #ACAHAC @Corsica_Libera  » le football français est l’alibi de tous les racismes anti-corses »

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(Unità Naziunale – Publié le 22 mai à 12h11) Corsica Libera constate à nouveau avec stupeur que le football français est l’alibi de tous les racismes anti-corses.

Depuis la rencontre avortée entre l’ACA et Le Havre vendredi soir, c’est tout un peuple qui est à nouveau montré du doigt et critiqué avec une violence inouïe. En toute impunité, les médias français et leurs commentateurs pour la plupart anonymes des réseaux sociaux font preuve à l’égard des nôtres d’un racisme assumé et sans bornes.

Depuis longtemps, les supporters corses, du SCB ou d’ailleurs sont les victimes d’un monde ou la présomption d’innocence n’existe pas. D’un monde où tout peut se dire, où toutes les critiques sont permises, où tous les mensonges ont droit de cité. 

 

 

Corsica Libera soutient et soutiendra toujours tous les corses victimes du racisme et souhaite qu’enfin, celui contre notre peuple, aujourd’hui plus que reconnu et légitimé par nos victoires électorales successives, soit condamné sans délai et avec la plus grande fermeté.

Corsica Libera
21 mai 2018

Racisme Anti #Corse Le Président @JeanGuyTalamoni appelle à la constitution d’un collectif d’avocats #ACAHAC

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(Unità Naziunale – Publié le 22 mai à 13h41) Suite au déferlement de haine anti-corse de ces dernières heures, Le Président de l’Assemblée de Corse lance un appel à la constitution d’un collectif d’avocats dans un communiqué :

Suite au déferlement de haine anti-corse de ces dernières heures, en particulier sur les réseaux sociaux, j’ai été saisi par de nombreux Corses estimant qu’il est impossible de ne pas réagir. Je partage ce sentiment.

Souvenons-nous que, par arrêt n°01-86088 du 3 décembre 2002, la chambre criminelle de la Cour de cassation avait considéré que la notion de racisme anti-corse ne pouvait être retenue, du fait que « les propos litigieux ne visaient pas une catégorie de personnes protégées par les dispositions de l’alinéa 2 de l’article 32 de la loi du 29 juillet 1881 ».

Cette décision ne doit pas être considérée comme un obstacle incontournable sur le plan juridique.

C’est la raison pour laquelle il me paraît nécessaire d’appeler à la constitution d’un collectif d’avocats corses, chargé d’organiser une riposte énergique et de faire valoir ainsi les intérêts moraux de notre peuple.

Dès aujourd’hui, je prendrai contact avec les bâtonniers de Bastia et d’Ajaccio en ce sens ainsi qu’avec des avocats corses exerçant à l’extérieur de l’île.

L’idée serait d’introduire les procédures nécessaires et, après épuisement des voies de recours interne, de saisir la Cour Européenne des Droits de l’Homme au cas où la jurisprudence de la Cour de cassation serait maintenue.

Président de l’Assemblée de Corse
Jean-Guy Talamoni

Le PNC s’indigne du lynchage médiatique et du déferlement de haine actuellement à l’œuvre contre l’ @ACAjaccio et la #Corse #ACAHAC

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(Unità Naziunale – Publié le 22 mai à 14h28) Le PNC s’indigne du lynchage médiatique et du déferlement de haine actuellement à l’œuvre contre l’ACA et la Corse.

Alors qu’Aiacciu, et notre peuple tout entier, fêtaient ces dernières heures une victoire amplement méritée, la mécanique jacobine s’est remise en action sur fond d’injustice et de déni.

Pourquoi imputer au Club (en les dramatisant) des évènements qui, en application des règles et usages, doivent être clairement distingués de l’ACA et de son périmètre d’intervention ? 

Pourquoi, aussi bien durant qu’après la rencontre, aucun des faits ou propos aujourd’hui relayés par une partie de la presse parisienne n’a-t-il été révélé ?

Qui peut croire qu’il n’existe aucun lien entre les propos de la députée du Havre et ceux de l’actuel premier ministre, Edouard Philippe, qui en fut le maire durant des années ?

Alors que la LFP pourrait prendre, au cours des prochaines heures, des décisions d’une particulière gravité, le PNC appelle l’ensemble du peuple corse à se mobiliser pour faire barrage à l’injustice et au mépris.

Nous ne laisserons pas voler cette victoire à l’ACA et à la Corse.

PNC

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