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#corse StoriaCorsa 2003 « retour des conférences de presse clandestines »

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En plus des trois FLNC, d’autres logos apparaissent comme RESISTENZA CORSA et A DROGA BASTA ciblant les affaires de drogues mais pas que…

Janvier 2003

Le jeudi 2 janvier 2003 : Un homme de 25 ans a été retrouvé mort d’une balle dans la tête à Ajaccio. Le corps de Richard Morini a été découvert par un promeneur dans les ruines d’un bâtiment désaffecté de l’armée de l’air, situé sur le site de la Tour de la Parata au bout de la Route des Sanguinaires à Ajaccio. A quelques mètres du corps, les enquêteurs ont retrouvé des traces de poudre récentes, une douille d’arme de calibre 9mm, de nombreuses empreintes de pneus et plusieurs bouteilles d’alcool. La victime, serveur dans un café de la cité impériale, était connue des services de police pour des affaires de stupéfiants. L’enquête a été confiée au SRPJ d’Ajaccio.

Le Vendredi 3 Janvier 2003 : Un malfaiteur corse en cavale depuis son évasion en novembre 1998 de la prison de Borgo (Haute-Corse) a été interpellé vendredi après-midi à Rocquencourt (Yvelines). Joseph Menconi, 37 ans, a été placé en garde à vue dans les locaux de l’Office central de répression du banditisme à Nanterre (Hauts-de-Seine). Faisant notamment l’objet de trois mandats d’arrêt, dont l’un pour l’assassinat le 2 août 1997 d’un légionnaire dans une discothèque de Calvi, Joseph Menconi s’était fait la belle en compagnie de Dominique Ambroggi, considéré lui aussi comme un « criminel particulièrement dangereux ». Les deux hommes s’étaient évadés grâce à des échelles installées par des complices à l’extérieur des murs d’enceinte de la prison. C’est la première fois que des détenus s’évadaient du centre pénitencier de Borgo, inauguré en 1993. Joseph Menconi est par ailleurs fiché pour divers braquages et escroqueries. Il y était détenu depuis son arrestation, déjà par l’OCRB, le 20 octobre 1997, alors qu’il était recherché après le meurtre d’un légionnaire, tué par balles au cours d’une altercation à la sortie d’un bar de Calvi le 2 août 1997 et l’attaque d’un fourgon blindé de transport de fonds à Saint-Laurent-du-Var (Alpes-Maritimes), le 17 avril 1997. En novembre 2000, les spécialistes de l’Office avaient repris l’enquête sur son évasion et, pendant plusieurs mois, ont mis en place des surveillances et des filatures autour de proches et de relations supposées de Menconi. Ce sont elles qui les ont conduits, vendredi en fin de matinée, à repérer Menconi, circulant dans les rues de Rocquencourt au volant d’un véhicule immatriculé dans les Bouches-du-Rhône, avant de l’arrêter sans qu’il oppose de résistance. Déjà sous le coup d’un mandat d’arrêt du tribunal d’Ajaccio en 1996 pour escroqueries, Menconi était également recherché en vertu d’autres mandats de deux juges d’instruction de Bastia, pour assassinats, commis au cours de l’été 2001. Il est soupçonné d’avoir trempé dans l’assassinat de deux cousins, Dominique et Jean-Christophe Marcelli, dont les corps calcinés avaient été découverts le 21 août 2001 à Moriani-Plage, au sud de Bastia, et de celui de Nicolas Montigny, tué dans un cybercafé de Bastia le 5 septembre de la même année. Ces assassinats avaient été reliés à une série de meurtres commis en Haute-Corse dans les semaines qui avaient suivi la mort de François Santoni, tué le 17 août 2001 à Monaccia-d’Aullène (Corse-du-Sud). Les enquêteurs avaient rapidement privilégié la piste de règlements de comptes au détriment de la piste politique, même si la plupart des victimes avaient été en contact avec le mouvement clandestin Armata Corsa. Joseph Menconi est considéré comme proche de la Brise de mer, un gang bastiais connu notamment pour des vols à main armée.

Le Vendredi 3 Janvier 2003 : Cinq personnes ont été interpellées jeudi soir et vendredi dans la région d’Ajaccio (Corse du Sud) dans le cadre de l’enquête sur la mort de Richard Morini. Ces personnes ont été placées en garde à vue au commissariat d’Ajaccio pour y être entendues par les policiers du Service régional de la police judiciaire (SRPJ) chargé de l’enquête. Le corps de Morini avait été découvert mercredi matin par un promeneur près d’Ajaccio, dans un bâtiment désaffecté appartenant à l’armée de l’Air situé route des Sanguinaires. Le jeune homme âgé de 25 ans avait été mortellement atteint à la tête d’une balle de calibre de 9mm, qui a été tirée de face, à moins d’un mètre de la victime, selon les résultats de l’autopsie. Surnommé Anthony, Richard Morini, serveur dans un café d’Ajaccio, était connu des services de police et de justice pour des affaires de stupéfiants.

Le Samedi 4 Janvier 2003 : Un attentat à l’explosif a visé samedi soir un appartement occupé par une famille d’origine marocaine à Bastia (Haute-Corse). Une charge évaluée à 250 grammes a explosé devant la porte palière du logement, situé dans le centre-ville. On ne déplore pas de blessé et les dégâts sont moyennement importants.  Sur place, les enquêteurs ont relevé, sur le mur du couloir, l’inscription « A droga basta » (la drogue assez) et une signature: « resistenza corsa », du nom d’un nouveau mouvement clandestin qui s’est manifesté à la fin du mois de décembre dernier pour revendiquer une demi-douzaine d’attentats commis contre des dealers et délinquants.Un immeuble du centre-ville de Bastia (Haute-Corse), dans lequel résident des familles d’origine maghrébine, a été visé samedi soir à 23h30 par un attentat à l’explosif qui n’a causé que des dégâts légers. Une charge évaluée à plus de 200 grammes de TNT a été placée devant la porte d’entrée de l’appartement d’une famille d’origine maghrébine dans un immeuble où les enquêteurs ont retrouvé deux inscriptions « A Droga basta » et « Resistenza Corsa ». Des dégâts sur la porte d’entrée ont été constatés. « Resistenza Corsa », organisation clandestine apparue récemment, avait revendiqué le 29 décembre dernier, par téléphone, quatre attentats à l’explosif commis dans la région de Bastia et visant des maghrébins ainsi qu’un attentat perpétré dans la nuit du 30 au 31 décembre contre un véhicule 4×4 garé dans le quartier de Lupino à Bastia.Le groupe avait alors déclaré agir « en représailles des agressions qui avaient visé plusieurs jeunes corses » et dénoncé « les violences urbaines qui se multiplient ainsi que la prolifération de la vente de drogue ».. (Affaire RESISTENZA CORSA / A DROGA BASTA).

Le 5 Janvier 2003 : Le groupe clandestin « FLNC dit des Anonymes » a revendiqué dimanche matin dans un communiqué transmis à une rédaction de Bastia (Haute-Corse) l’attentat survenu le 31 décembre à Furiani contre l’un des engins de la société de BTP de François Vendasi, déjà visée le 5 décembre dernier. « Nous revendiquons l’action contre la société Vendasi pour la poursuite des travaux sur la caserne de CRS de Furiani et pour avoir trompé les riverains », explique le communiqué avant de revendiquer également « l’action commando contre la Villa Werbeck, à Saint-Florent, pour la protection du littoral ». Le Groupe des Anonymes, dont sept dirigeants présumés ont été interpellés le 9 décembre dernier à Bastia par la gendarmerie et le SRPJ d’Ajaccio, six jours avant la troisième visite en Corse du ministre de l’Intérieur Nicolas Sarkozy, ajoute « voilà maintenant quelque temps que nous avons suspendu nos actions militaires contre l’Etat colonial français ». « Les déclarations du ministre de l’Intérieur nous ont conduit à cette trêve », précise le communiqué. « Nous restons malgré tout vigilants. Les dernières arrestations de certains dont un de nos responsables nous incitent à une prudente méfiance ». Toujours dans ce communiqué, le « FLNC des Anonymes », qui écrit avoir suspendu ses actions « dans un but d’intérêt général » et afin de « créer un climat serein », déclare « souhaiter très fort que les promesses de M. Sarkozy soient tenues, faute de quoi, nous montrerons de nouveau notre détermination comme nous l’avons maintes fois prouvé ». Cette annonce survient dans la foulée de celle faite par le FLNC-Union des combattants. Cette organisation avait annoncé le 13 décembre une « suspension effective de ses actions politico-militaires », également dans le but apparent de donner une chance au dialogue politique relancé par le gouvernement et son ministre de l’Intérieur. Quatre jours auparavant, trois autres groupes – le FLNC du 5 mai, Fronte Ribellu et Clandestinu – avaient fait savoir implicitement qu’ils renonçaient aussi à l’action armée.Le « FLNC des anonymes », dont sept membres présumés ont été mis en examen et écroués en décembre à Paris, déclare toutefois vouloir rester « vigilant ».  « Les dernières arrestations de certains, dont un de nos responsables, nous incitent à une prudente méfiance », déclarent les clandestins, prévenant qu’ils « souhaitent très fort que les promesses de M. Sarkozy soient tenues faute de quoi nous montrerons de nouveau notre détermination ». Le FLNC des anonymes revendique un attentat commis le 5 décembre contre le siège de la société de BTP Vendasi à Furiani (Haute-Corse), l’une des plus importantes de Corse, lui reprochant d’effectuer des travaux sur une caserne de CRS de Furiani qu’ils avaient fait sauter en juillet dernier. Il revendique également un attentat perpétré le 6 décembre contre une villa à Saint-Florent (Haute-Corse).Le groupe, apparu fin octobre 2001, a revendiqué une série d’attentats parmi les plus destructeurs commis en Corse, dont celui contre la caserne de Furiani qu’il avait revendiqué le 25 juillet, à la veille de la première visite dans l’île de M. Sarkozy. C’est dans le cadre de l’enquête sur cet attentat que plusieurs « anonymes » présumés viennent d’être mis en examen à Paris, des arrestations, qui, selon les enquêteurs, ont fortement affaibli le mouvement . (Affaire FLNC ANONYMES)

Le 5 Janvier 2003 : Cinq jeunes hommes, âgés de 19 à 25 ans et originaires d’Ajaccio, ont été mis en examen par un juge d’instruction d’Ajaccio pour « homicide volontaire et non-assistance à personne en péril », après le meurtre d’un jeune homme de 25 ans retrouvé mort au matin du 1er janvier 2003. Les cinq personnes, dont trois ont été transférées à la maison d’arrêt de Borgo (Haute-Corse) et les autres dans celle d’Ajaccio, sont soupçonnées d’être impliquées dans le meurtre de Richard Morini, 25 ans, retrouvé mort d’une balle dans la tête, le 1er janvier à 7h3O dans un bâtiment désaffecté de l’Armée de l’air, situé sur le site de la Parata, sur la route des Sanguinaires à Ajaccio. Les cinq jeunes, inconnus des services de police, nient toute implication dans ce meurtre mais reconnaissent s’être rendus ce soir-là sur les lieux où le corps de Richard Morini, serveur dans un café de la cité impériale et connu des services de police pour des trafics, notamment de stupéfiants, a été retrouvé. L’autopsie du corps de la victime, qui n’est pas morte sur le coup, a révélé des traces de violences attestant qu’il y aurait eu une bagarre avant le coup de feu. Il appartient désormais aux enquêteurs du SRPJ d’Ajaccio de déterminer qui est l’auteur du coup de feu fatal et le mobile du crime. A ce stade de l’enquête, les policiers n’excluent pas l’implication d’autres personnes. A quelques mètres du corps de la victime, les enquêteurs avaient retrouvé des traces de poudre récentes, une douille d’arme de calibre 9mm, de nombreuses empreintes de pneus et plusieurs bouteilles d’alcool.

Le Mardi 7 Janvier 2003 : Une forte délégation d’élus corses et le ministre de l’Intérieur Nicolas Sarkozy rencontrent mardi à Bruxelles le président de la commission européenne Romano Prodi pour défendre un statut dérogatoire pour la Corse, jugé indispensable à son décollage économique.  Ce déplacement, inédit dans l’histoire récente de la Corse, est « un rendez-vous important qui pourrait déboucher sur des avancées significatives », a déclaré lundi à l’AFP Jean Baggioni, qui conduira la délégation insulaire comme président du Conseil exécutif de la Collectivité Territoriale de Corse (CTC). La réunion avait été fixée le 22 novembre à l’occasion d’une rencontre à Paris entre MM. Sarkozy et Prodi puis préparée lors de la troisième visite effectuée en Corse par le ministre de l’Intérieur le 14 décembre. Nicolas Sarkozy estime en effet que la régression de la violence est subordonnée au développement de l’économie de l’île, l’une des plus pauvres régions de France. « Avec le développement, vous aurez les moyens d’affirmer votre culture, de développer votre identité, d’être à la hauteur de votre histoire. Avec la stagnation, il y a l’amertume, la pauvreté, le sous-développement et la violence, cette violence qui a toujours tiré la Corse vers le bas », avait-il résumé à Bastia en octobre. Partageant pour la plupart ce constat, les élus insulaires souhaitent obtenir ou voir confirmer une série de dérogations aux règles communautaires afin d’alléger les handicaps liés à l’insularité. « Nous allons notamment plaider pour un assouplissement de l’encadrement des aides publiques aux entreprises, actuellement inadapté à la faiblesse de notre tissu économique », a expliqué M. Baggioni. Dans le domaine fiscal, la délégation devrait ainsi obtenir le feu vert pour une prorogation de la zone franche, lancée en 1997, dont la sortie, prévue cette année, serait étalée sur quatre ans, comme l’a annoncé en décembre M. Sarkozy. Il s’agissait de l’une des revendications prioritaires du monde économique insulaire, essentiellement composée de PME financièrement fragiles. Par ailleurs, le crédit d’impôt destiné à favoriser l’investissement, l’une des mesures mises en place par le gouvernement Jospin, devrait être doublé, passant de 10 à 20%. La Corse espère également convaincre M. Prodi de la nécessité de moderniser la flotte de pêche, très vétuste, et conserver jusqu’en 2007 une dérogation fiscale permettant aux cigarettes d’être moins chères dans l’île que sur le continent. Pour la CTC, « l’alignement du prix des cigarettes aurait des conséquences insupportables sur toute la filiale tabacole », qui emploie quelque 500 personnes dans l’île. A Bruxelles, la Corse présentera un front quasiment uni de 23 élus, à l’exception des communistes, qui refusent de participer « à une opération de communication » de M. Sarkozy qui « ignore la Corse d’en bas ». Le nationaliste Jean-Guy Talamoni, qui s’exprimera mardi comme président de la Commission des affaires européennes à l’Assemblée de Corse, a regretté cette attitude, affirmant que « la Corse a besoin de parler d’une seule voix » pour se « défendre avec énergie auprès des autorités communautaires ». Nicolas Sarkozy s’est rendu mardi à Bruxelles à la tête d’une délégation d’élus corses pour y plaider l’idée d’un statut fiscal spécifique pour la Corse, susceptible de favoriser le développement économique de l’île. Le ministre de l’Intérieur et une vingtaine d’élus corses devaient rencontrer le président de la Commission européenne, Romano Prodi, en début d’après-midi. Nicolas Sarkozy a voyagé en train pour ce déplacement inédit. Il a insisté sur le « symbole fort » que représentait ce voyage. « Je veux montrer que les Corses peuvent se prendre en main avec mon aide, ce ne sera pas la victoire d’un homme providentiel », a-t-il dit aux journalistes. La délégation représente à peu près toutes les composantes de la classe politique corse, des indépendantistes aux « républicains ». « Bruxelles peut résister à Ajaccio mais pas à Paris. Paris met tout son poids dans la balance. La réponse de Bruxelles devrait être positive », a dit à Reuters Jean-Guy Talamoni, porte-parole de Corsica Nazione. « Tout le monde est là pour montrer qu’on est tous d’accord sur ce dossier, le développement économique de l’île, même si nous sommes en désaccord sur les perspectives d’évolutions institutionnelles et sur l’indépendance », a-t-il ajouté. Le principe de cette démarche avait été arrêté lors du troisième voyage de Nicolas Sarkozy en Corse, en décembre dernier. En s’impliquant directement sur la question fiscale de la Corse, Nicolas Sarkozy semble vouloir donner une nouvelle impulsion au dossier, l’un des rares de son ministère à donner l’impression d’avancer à pas comptés. Dès son arrivée place Beauvau, le ministre de l’Intérieur avait proposé aux élus de reprendre la plupart des acquis du processus de Matignon mais dans le cadre de la future loi de décentralisation, qui s’appliquera à l’ensemble du territoire. Ce statut permettrait à l’île de bénéficier d’une plus grande autonomie tout en restant ancrée dans la République. Confronté à une persistance de la violence en Corse, Nicolas Sarkozy a invité les Corses à assurer le décollage économique de l’île, susceptible à ses yeux de freiner « cette violence qui a toujours tiré la Corse vers le bas ». Engagés sous le précédent gouvernement dans le processus de Matignon, une grande partie des élus considèrent qu’une série de dérogations aux aides communautaires permettraient de compenser les handicaps de l’insularité sur le plan économique. La délégation française veut plaider en particulier pour un assouplissement de l’encadrement des aides publiques aux entreprises. Elle voudrait également convaincre Romano Prodi de prolonger la zone franche lancée en 1997, d’appuyer la modernisation de la flotte de pêche et de renouveler la dérogation fiscale qui permet de vendre les cigarettes bien meilleur marché sur l’île que sur le continent

Venu à Bruxelles avec 19 élus corses pour défendre les avantages économiques et fiscaux accordés à l’île par le gouvernement français, Nicolas Sarkozy a obtenu mardi l’accord du président de la commission européenne Romano Prodi sur quelques mesures concrètes, notamment sur la fiscalité du tabac ou le maintien de la zone franche. Une « première étape importante » pour le ministre de l’Intérieur, qui, entouré d’élus de l’île dont les nationalistes Jean-Guy Talamoni et Paul Quastana, a discuté pendant deux heures et quart avec le président de l’exécutif européen. Romano Prodi leur a assuré que Bruxelles ferait « tout son possible » pour réduire le fossé économique qui subsiste entre l’île et le continent. Nicolas Sarkozy a ainsi obtenu la prorogation de certaines dérogations dont bénéficie la Corse. Le régime sur la fiscalité du tabac, arrivé à échéance au 31 décembre dernier, est prolongé jusqu’en 2008. »Nous avons obtenu sur sept ans une fiscalité préférentielle parce que si cette fiscalité-là n’est pas maintenue préférentiellement, c’est toute une filière d’emploi qui tombe », a précisé le ministre sur LCI, soulignant que le tabac représentait le quatrième employeur (56 emplois) et la deuxième industrie de l’île. Par ailleurs, la zone franche accordée en 1996 par le gouvernement d’Alain Juppé sera maintenue pendant cinq ans. De même, M. Sarkozy a obtenu gain de cause sur le doublement du crédit d’impôt de 10 à 20%. Ce dispositif inscrit dans la loi du 22 janvier 2002 sur le statut de la Corse est destiné à encourager les entreprises à investir. La modernisation de la flotte corse a également été approuvée mais Romano Prodi souhaite qu’elle reste dans les limites fixées par la réforme de la pêche européenne. « Il faut donner aux pêcheurs corses le moyen de pouvoir moderniser la flottille, on pourra l’obtenir au cas par cas », a estimé M. Sarkozy. En revanche, le ministre n’a pas obtenu le feu vert de Bruxelles pour relever le plafond de l’aide publique au développement, qu’il souhaitait porter de 30 à 50% des investissements réalisés sur l’île. Une autorisation que l’Italie a reçu pour la Sardaigne, considérée comme une région pauvre. « C’est la seule demande où nous n’avons pas encore obtenu satisfaction », a-t-il reconnu. Mais « je ne suis pas quelqu’un qui renonce comme ça ».Pour lui, « il ne s’agit pas d’avoir des mesures dérogatoires pour en faire un paradis fiscal, il s’agit qu’émerge en Corse les prémices d’une économie marchande et que la Corse ne vive pas simplement d’aide sociale et d’administration ».Le porte-parole de Corsica Nazione, Jean-Guy Talamoni, a jugé pour sa part les avancées obtenues mardi « très insuffisantes ». Elles ne sont « pas de nature, non seulement à provoquer un développement économique de la Corse, mais même à sauver ce qui tient lieu d’économie aujourd’hui c’est-à-dire le tissu économique existant », a-t-il estimé. « Il faudra revenir ».Reconnaissant qu’une partie des problèmes économiques de la Corse étaient liés à son insularité, la commission a promis de le prendre en compte lorsque la politique européenne vis-à-vis des régions sera redéfinie. Un programme spécifique pour les îles de l’UE est en effet envisagé dans la réforme des fonds structurels pour 2007.De son côté, Nicolas Sarkozy devrait effectuer une nouvelle visite en Corse courant janvier

Nicolas Sarkozy et les élus corses, à l’exception des nationalistes, se sont déclarés satisfaits, mardi à Bruxelles, des demandes acceptées par le président de la Commission européenne Romani Prodi en faveur du développement économique de la Corse. La délégation française a obtenu le maintien de la fiscalité actuelle du tabac en Corse jusqu’en 2008, le passage de 10 à 20% du crédit d’impôt pour investissement avec élargissement de l’assiette, et la prorogation sur quatre ans de façon dégressive, de l’exonération de l’imposition des bénéfices en zone franche. En revanche, la Commission refuse d’augmenter le plafond des aides à l’investissement pour les PME (actuellement fixé à 30% du montant), a indiqué le ministre de l’Intérieur qui avait reconnu le matin devant des journalistes que cette mesure pourrait constituer un « point de blocage ». Il s’est félicité que la « porte reste ouverte » et a annoncé qu’il ferait « des propositions à la Commission dans les trois mois. » Il s’agira de « faire preuve de créativité, en examinant notamment quels éléments entrent ou au contraire ne doivent pas entrer à l’intérieur de ce plafond », a-t-il dit. En matière de transports publics, si la France a obtenu que la durée des concessions pour les liaisons aériennes passe de trois à cinq ans, elle va continuer à discuter avec la Commission pour celle des liaisons maritimes. Concernant la pêche corse, si l’aide européenne aux PME de ce secteur est augmentée de 10 points, les décisions relatives à l’augmentation de puissance des moteurs se prendront seulement « au cas par cas. » Pour Nicolas Sarkozy, « beaucoup de problèmes (sont) résolus », après cette réunion, même si « le travail continue », comme l’a relevé Emile Zuccarelli, député-maire PRG de Bastia. Les nationalistes ont cependant apporté une note discordante. Pour leur chef de file et président de la commission européenne à l’Assemblée de Corse, Jean-Guy Talamoni, il ne s’agit que d’un « début de discussion (avec) des réponses très insuffisantes. » Ces mesures « ne sont pas susceptibles de sortir la Corse de l’ornière », a-t-il déploré. « Tous les problèmes n’ont pas été résolus », a estimé Nicolas Sarkozy lors du point de presse qui a conclu plus de deux heures de réunion, mais elle a constitué un « premier pas extrêmement important. » Ce « pas », a renchéri le président Prodi, a permis de prendre des « décisions concrètes pour diminuer le retard de développement de l’île ». « Le développement de la Corse va se jouer en Corse, notre rôle, à l’Etat français comme à l’Union européenne est de lui en donner toute la possibilité », a affirmé M. Sarkozy. Il s’est réjoui qu’un « ministre de la République et les élus corses » se soient trouvés ensemble, à Bruxelles, pour discuter « de l’avenir de l’île », propos repris par le président UMP de l’Assemblée de Corse, José Rossi, qui s’est dit « très heureux qu’une volonté collective ait pu se constituer » à l’occasion de ce déplacement. L’Union européenne « a consenti à pérenniser un certain nombre d’avantages », a relevé le président UMP de l’exécutif corse Jean Baggioni. Nicolas Sarkozy a promis de se rendre en Corse d’ici « la fin janvier » pour son « quatrième voyage dans l’île en huit mois ».

Dans la nuit du Mardi 7 janvier 2003 au Mercredi 8 janvier 2003 : Trois jeunes gens âgés de 20 ans ont été interpellés dans la nuit de mardi à mercredi à Ajaccio (Corse-du-Sud) peu après un attentat dirigé contre une voiture. Les suspects, jusqu’alors inconnus des services de police, ont été arrêtés par une patrouille de la Brigade anti-criminalité, à quelques centaines de mètres du lotissement de Suartello, à la sortie sud d’Ajaccio, où l’attentat a été commis. La voiture, une Renault 21 déjà ancienne appartenait à un Marocain, qui venait à peine de la revendre. Les enquêteurs ignorent de ce fait si l’attentat était lié au contexte de racisme qui se développe depuis plusieurs semaines sur l’île. Aux domiciles des jeunes gens, les enquêteurs de la police judiciaire ont découvert des cagoules, des gants, un drapeau à l’effigie du Ribellu, symbole du FLNC, et un lot de boules de pétanque dont une était percée en son centre. Les enquêteurs estiment possible que les jeunes gens aient voulu tester sur une voiture qu’ils croyaient abandonnée, l’efficacité d’un engin explosif qu’ils auraient confectionné à partir d’une boule de pétanque bourrée d’explosif, d’après une notice découverte sur un site internet. Les trois jeunes gens étaient entendus dans les locaux du SRPJ d’Ajaccio.

Le Samedi 11 Janvier 2003 : Une charge explosive de faible puissance, dont le dispositif de mise à feu n’a pas fonctionné, a été découverte samedi devant la trésorerie de Brando à une quinzaine de kilomètres au nord de Bastia (Haute-Corse). Selon la gendarmerie, la charge artisanale à base d’engrais agricole était déposée devant l’entrée des bureaux. La responsabilité de cette tentative d’attentat n’a pas été revendiquée.

Le Dimanche 12 Janvier 2003 : Un véhicule en stationnement sur le parking d’une résidence située boulevard Fogata, dans le centre-ville de l’Ile-Rousse (Haute-Corse), a été détruit par un attentat dans la nuit de samedi à dimanche. La charge, de nature indéterminée, a explosé dimanche à 1h30 du matin. Cet attentat, au préjudice d’un particulier, a totalement détruit le véhicule visé. L’incendie qui s’est déclaré à la suite de l’explosion a également sérieusement endommagé une seconde voiture, stationnée à proximité. Sur place, les gendarmes de l’Ile-Rousse, en charge de l’enquête avec les hommes de la brigade de recherches de Calvi, n’ont relevé aucune signature. Dimanche matin, cet attentat n’avait toujours pas été revendiqué.

Dans la nuit du Dimanche 12 janvier 2003 au lundi 13 Janvier 2003 : Deux attentats à l’explosif qui n’ont pas fait de blessés ont été commis dans la nuit de dimanche à lundi à Bastia (Haute-Corse). La première explosion, juste avant minuit, visait le véhicule d’un particulier qui a été fortement endommagé. L’attentat a visé un véhicule privé à Santa Maria di Lotta, près de Bastia. Une dizaine d’autres véhicules, stationnés à proximité, ont été endommagés et des vitres d’un immeuble ont volé en éclat lorsque la charge a exploséQuelques minutes plus tard, une seconde charge a explosé devant l’entrée d’un cabaret, le « Penny’s Club », qui a été également fortement endommagé. L’établissement était fermé au moment de l’explosion. Ces deux attentats ont été revendiqués dans la nuit auprès des gendarmes de Bastia par le mystérieux groupe « Resistenza Corsa » au nom de sa lutte contre la drogue. (AFFAIRE RESISTENZA CORSA).

Le Lundi 20 Janvier 2003 : Jacques Mariani mis en examen à Paris dans le cadre de l’enquête sur l’assassinat en 2001 à Bastia de Nicolas Montigny.

Le Lundi 20 Janvier 2003 : Tentative d’attentat contre le siège de l’association anti raciste  » Avà Basta  » à Ajaccio. Nombreuses réactions.

Le 20 Janvier 2003 : Premier entraînement pour Bernard Diomède, nouvelle recrue de l’ACA.

Le 20 Janvier 2003 : Remous au centre hospitalier de Bastia après la plainte contre X déposée par la directrice de l’établissement suite à la diffusion d’un tract jugé diffamatoire

LeMardi 21 Janvier 2003 : Philippe Ceccaldi, le PDG de la CCM Airlines, annonce une nouvelle liaison aérienne Corse-Var à partir du 12 avril.

Le Mardi 21 Janvier 2003 : La gendarmerie regroupe ses moyens en Corse avec la création de vingt communautés de brigade

Le Mardi 21 Janvier 2003 : Nouvelles violence à Bastia où des jeunes sont agressés par une bande de voyous armés de barre de fer et de couteaux. Il y a sept blessés parmi les agressés.

Le Mardi 21 Janvier 2003 : Trois cents participants à Porto Vecchio à la conférence régionale du tourisme. Joli doublé pour les clubs corses. Le Sporting bat Rennes 1-0 et l’ACA a raison de Troyes sur le même score. Beau succès pour le  » Teatrinu  » au théâtre de Bastia avec  » U Montasega dal di là di i monti  » adapté de la pièce du poète et dramaturge irlandais Synge  » Le baladin du monde occidental « 

Le Mercredi 22 Janvier 2003 : Flambée de violence avec l’assassinat à Biguglia d’une employé de restaurant, abattu de plusieurs balles de 11,43 devant le domicile de ses parents et la tentative d’assassinat contre l’entraîneur du club de football de Sartène, grièvement blessé par balles sur le petit stade de la localité.

Le Mercredi 22 Janvier 2003 : Émile Zuccarelli, député-maire de Bastia réaffirme son opposition à la collectivité unique et demande que l’État fasse conduire un audit des collectivités en Corse.

Le Jeudi 23 Janvier 2003 : Signature à Bastia d’un accord pour reprendre la construction d’un hôtel sur le port de plaisance de Toga.

Le Jeudi 23 Janvier 2003 : Trois militants nationalistes interpellés à Bastia et sur la côte orientale bastiaise dans le cadre d’une enquête sur un attentat à l’explosif contre un complexe touristique de Bonifacio.

Le Jeudi 23 Janvier 2003 : Un appartement et cinq voitures dévastés par les flammes à Ajaccio. Mais il ne s’agit pas d’incendies criminels.

Le Vendredi 24 Janvier 2003 : Poursuite de la grève des aides éducateurs. Ils n’ont pas été satisfaits des propositions qui leur ont été faites lors de la réunion à la préfecture d’Ajaccio.

Le Vendredi 24 Janvier 2003 : La Corse invitée d’honneur au 7e salon du tourisme de Rennes-Bretagne. L’assemblée de Corse et les deux chambres de commerce insulaires ont unis leurs efforts pour que la présence de l’île à cette manifestation soit un succès.

Le Vendredi 24 Janvier 2003 : Hold up à Porto Vecchio: deux braqueurs vident les caisses de la BNP.

Le Vendredi 24 Janvier 2003 : Découverte dans le port de plaisance de Bonifacio d’une soixantaine d’obus datant de la deuxième guerre mondiale.

Le Vendredi 24 Janvier 2003 : La SNCM fait savoir que dans le cadre de son projet industriel elle abandonne ses liaisons Corse-Italie continentale mais qu’elle renforce celles sur la Sardaigne.

Le Samedi 25 Janvier 2003 : Légionnellose à bord du  » Corse « . Le car ferry de la SNCM a été retiré des lignes jusqu´au 12 février.

Le Samedi 25 Janvier 2003 : Attentat manqué à St Florent. Il était dirigé contre le bateau d’un promoteur immobilier bastiais.

Le Samedi 25 Janvier 2003 : A Ajaccio, la Ligue des Droits de l’Homme dénonce des interpellations abusives.

Le Samedi 25 Janvier 2003 : Le préfet de la Haute-Corse déclare l’état de catastrophe naturelle pour cinq communes du département touchées par des inondations et des coulées de boue en octobre 2002.

Le Samedi 25 Janvier 2003 : Fréderic Després ordonné prêtre par l’évêque dans la cathédrale d’Ajaccio. Commerçants, brocanteurs et artisans exposent leurs produits à la grande braderie d’Aleria.

Le Samedi 25 Janvier 2003 : L’ACA éliminé de la coupe de France. Il a été battu par Rennes ( 3-0)

Le Dimanche 26 janvier 2003 : Attentat à Lucciana. C’est le bulldozer d’une entreprise continentale de travaux publics qui était visé et qui a été entièrement détruit par l’explosion d’une charge de forte puissance.

Le Dimanche 26 janvier 2003 : Jean-Pierre Manzagol, encore lui, remporte le rallye de la Balagne.

Le Dimanche 26 janvier 2003 : Les trois militants nationalistes interpellés jeudi sont remis en liberté.

Le Dimanche 26 janvier 2003 : Sceptiques sur la modernisation du réseau ferré, les cheminots réclament un plan d’urgence.

Le Dimanche 26 janvier 2003 : Suppression de 22 emplois à la B A N d’Aspretto. FO exige l’ouverture de négociations

Février 2003

Le Lundi 3 Février 2003 : Table ronde à la préfecture de la Haute-Corse sur l’avenir du centre de vacances de Taglio Isolaccio alors que les salariés de ce centre manifestent devant les grilles. Mais le plan social reste toujours d’actualité.

Le Lundi 3 Février 2003 : Un motard interpellé sur la 4 voies à Biguglia. Il roulait à 176 km/h sur une portion de voie où la vitesse est limitée à 50 km/h.. Rodéo au tractopelle au collège Jeanne d’Arc à Bastia.

Le Lundi 3 Février 2003 : Des mineurs volent les clés de deux engins et foncent dans la cour d de l ’établissement provoquant des dégâts importants.

Le Lundi 3 Février 2003 : La municipalité de Bastia et la Caisse d’allocations familiales signent le 3e contrat ville enfance destiné à l’accueil des enfants de moins de 6 ans.

Le Mardi 4  Février 2003 : Le Tribunal de grande instance de Bastia condamne Joseph Menconi à 9 ans de prison. Evadé de la maison d’arrêt de Borgo en 1998 il était poursuivi pour évasion avec violence et association de malfaiteurs.

Le Mardi 4  Février 2003 : Les parents d’élèves de Vescovato durcissent le ton. Ils empêchent les maîtres de faire classe et assurent eux-mêmes la surveillance des élèves et la cantine. Le mécontentement est provoqué par la carte scolaire établie par l’inspection académique.

Le Mardi 4  Février 2003 : L’ADEC inaugure à la chambre de métiers de la Corse-du-Sud un cycle de formation sur l’aide régionale à l’ingénierie et à l’assistance initiée par la Collectivité territoriale.

Le Mardi 4  Février 2003 : Débat d’orientations budgétaires au conseil municipal de Bastia. Le premier adjoint : Ange Rovere annonce qu’il n’y aura pas de pression fiscale supplémentaire en 2003

Le Mercredi 5 Février 2003 : Commémoration à Ajaccio du 5e anniversaire de l’assassinat du préfet Erignac. A Paris, le ministre de l’Intérieur annonce que les effectifs policiers ont été triplés pour arrêter Yvan Colonna.

Le Mercredi 5 Février 2003 :  Emile Zuccarelli, Paul Giacobbi et Camille d Rocca Serra déposent un amendement à l’Assemblée Nationale pour la prorogation de la zone franche.

Le Mercredi 5 Février 2003 : Deux membres présumés du FLNC des anonymes sont interpellés dans la région bastiaise par les inspecteurs de la DNAT.

Le Mercredi 5 Février 2003 : Deux personnes âgées, propriétaires d’un camping à Porto Vecchio sont agressées par des malfaiteurs qui après s’être emparés de quelques liquidités mettent le feu à leur voiture.

Le Mercredi 5 Février 2003 : Soutenu par les syndicats CGT, FO et STC, le personnel de la Mutualité Sociale Agricole de Corse se met en grève pour protester contre le projet de regroupement de la section corse avec la section PACA.

Le Mercredi 5 Février 2003 : Le Sporting bat Paris St Germain à Furiani ( 1-0) et se hisse à la 8e place du classement général de L 1. L’ACA ne peut jouer à Sochaux pour cause de terrain enneigé.

Le Jeudi 6 Février 2003 : Le cinquième anniversaire de l´assassinat du préfet Claude Erignac est marqué par des engagements réitérés de l´Etat d´arrêter son assassin présumé, Yvan Colonna, qui échappe à toutes les polices.

Le Jeudi 6 Février 2003 : La sonnerie aux morts a résonné dans la cour du ministère de l´Intérieur et dans la rue d´Ajaccio où Claude Erignac était tombé, touché de trois balles dans la nuque, en se rendant à un concert le 6 février 1998. Cet « acte indigne » a « atteint un homme, martyrisé une famille, blessé notre pays et sali la Corse », a déclaré l´actuel préfet de Corse, Dominique Dubois.

Le Jeudi 6 Février 2003 : Une vingtaine d´avocats des barreaux d´Ajaccio et de Bastia annoncent la création d´un « collectif de défense des prisonniers politiques corses ». Vingt et un avocats, dont quinze à Ajaccio, ont rejoint ce collectif, qui prévoit également de se développer à Paris entend collaborer avec le Comité anti-répression et être présent aux procès qui s´annoncent, notamment celui de l´assassinat du préfet Erignac et des attentats ayant visé la DDE et l´URSSAF à Ajaccio en 1999.

Le Jeudi 6 Février 2003 : Le mouvement  » Corse Social Démocrate  » indique, dans un communiqué, qu´il est favorable à une réforme de la carte administrative de l´île et à la création d´une Collectivité nouvelle.

Le Jeudi 6 Février 2003 : La compagnie aérienne Air Littoral assure des vols Paris/Figari, prenant ainsi le relais d´Air Lib, qui s´achemine vers un dépôt de bilan. La compagnie met en place un programme de vol régulier en Fokker 70, biréacteur de 80 sièges, meilleure visibilité sur la situation ». Ce programme comprend: 2 vols réguliers les vendredis et dimanches et un vol les lundis, mardis, mercredis, jeudis et samedis en milieu de journée, précise Air Littoral .

Le Jeudi 6 Février 2003 : A la demande de la Ville de Bastia, l´Office national des forêts vient de rendre un rapport sur le patrimoine arboré de la cité. Ses conclusions, plutôt alarmistes, conduisent le Service environnement et espaces Verts à mettre en œuvre un programme d´abattage concernant 77 arbres malades et potentiellement dangereux détectés dans les rues bastiaises. Selon l´expertise de l´ONF, il faut même agir sans attendre car les risques encourus sont bien réels, ces arbres malades risquant de tomber à tout moment.

Le Vendredi 7 Février 2003 : Deux Corses ou prétendus tels, sont arrêtés au Venezuela. Les deux hommes, dont l´identité n´a pas été révélée, ont été interpellés dans le cadre d´affaires de criminalité organisée. L´un d´eux, âgé de 63 ans, a avancé une identité corse qui s´est révélée fausse. Il est recherché par le tribunal de grande instance du Havre pour « association de malfaiteurs » et « infractions à la législation sur les stupéfiants. » L´autre, âgé de 53 ans, est recherché par le tribunal correctionnel de Bobigny pour « tentative de meurtre et tentative de vol à main armée. » Tous deux ont des liens étroits avec la Corse, où sont installées leurs familles, et leur présence au Venezuela a été détectée à l´occasion des recherches lancées pour retrouver la piste d´Yvan Colonna.

Le Vendredi 7 Février 2003 : Emile Zuccarelli , député maire de Bastia, se réjouit dans un communiqué de l´adoption de l´amendement au projet de loi sur l´initiative économique qu´il avait déposé conjointement avec Camille de Rocca Serra et Paul Giacobbi.

Pour lui, le vote de cet amendement assure en effet la prorogation de la zone franche en Corse, de manière dégressive jusqu´en 2006, evitant par la même de pénaliser les entreprises corse par une sortie brutale du dispositif. Alors qu´Air Littoral assure depuis jeudi la desserte Figari/Paris après le retrait d´Air Lib, le STC demande à l´Office des transports que cette liaison soit attribuée à la CCM, réclamant aussi que les 14 employés d´Air Lib à Figari y soient intégrés. De son coté, le président de l´Office, François Piazza Alessandrini, indique que les avions d´Air Littoral ne disposent pas du nombre de sièges suffisant pour assurer cette desserte dans le cadre du service public. L´Agence Régionale d´Hospitalisation annonce une hausse de 9 millions d´euros de la dotation provisoire des dépenses des hôpitaux publics insulaires. La dotation de 177 millions d´euros en 2002 passera ainsi cette année à 186 millions. Cette hausse devrait permettre le financement des projets tant à Ajaccio qu´à Bastia et à l´édification de l´antenne médicale d´urgence de Calvi.

Le Samedi 8 Février 2003 : Alors qu´il participe à un entraînement de secours, Pierrot Griscelli, guide de haute montagne, est emporté par une avalanche dans le massif cortenais. Le sapeur pompier a pu être sauvé grâce à la rapidité d´intervention de ses camarades et à l´appareil de recherche des victimes d´avalanche. Pierre Salinesi succède au lieutenant colonel Christophe Risdorfer à la tête du Service Départemental d´Incendie et de Secours (SDIS) de la Haute-Corse. Adjoint du Directeur du SDIS de Corse-du-Sud, Pierre Salinesi, 49 ans, avait occupé plusieurs postes à Bordeaux, Avignon et à Ajaccio où il était chef de corps des sapeurs pompiers.

Le Samedi 8 Février 2003 : Deux membres présumés du FLNC « des anonymes » sont écroués à Paris et mis en examen pour association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste dans le cadre de l´enquête sur la destruction de la caserne de Furiani, le 6 juillet 2001 et de la caserne de gendarmerie mobiles de Borgo, le 23 juillet de la même année.

Le Samedi 8 Février 2003 : Réunis à l´initiative de l´Association des Maires de la Haute-Corse, les maires de la Haute-Corse étaient appelés à voter en faveur de la « collectivité nouvelle » ou du « statu quo amélioré ». Le résultat très serré, 101 voix pour la première motion et 98 pour la seconde, n´a pas permis de dégager suffisamment de lisibilité et de clarté, il a suscité, au contraire, de nouvelles interrogations quant au futur schéma administratif de l´île.

Le Samedi 8 Février 2003 : Clôture des 15e Rencontres du Cinéma Italien de Bastia en présence de l´actrice Gina Lollobrigida. Une édition, qui avec plus de 15 000 entrées, a battu une nouvelle fois, tous ses records de fréquentation.

Le Samedi 8 Février 2003 : Football, l´AC Ajaccio perd contre l´Olympique de Marseille à domicile (0-2). Le Sporting Club de Bastia réalise la bonne opération de cette 27e journée du championnat de Ligue 1 en s´imposant à Bordeaux avec deux buts inscrits par Essien et Laslandes.

Le Dimanche 9 Février 2003 : Création d´un comité régional corse au sein du parti communiste. Ce comité aura pour mission de coordonner les activités des deux fédérations de la Haute-Corse et de la Corse-du-Sud. 14 membres composent l´exécutif; Michel Stefani a été élu secrétaire général de cette nouvelle structure. Lors de cette réunion à Porto Vecchio, les communistes se sont déclarés favorables à une démocratisation des institutions insulaires. Très critiques envers la municipalité et dénonçant le non-respect des promesses électorales faites par l´équipe en place, les élus de Nouvelle Génération, mouvement dirigé par Pierre Chiarelli ont décidé d´aller à la rencontre des citoyens tous les mois.

Le Dimanche 9 Février 2003 : Alors que le match entre jeunes ajacciens et marseillais n´avait pas encore débuté, des échauffourées se sont produites durant l´échauffement des deux équipes. Apparemment existait un contentieux entre certains jeunes puisque au match aller, à Marseille, des incidents avaient déjà eu lieu. La police a du intervenir pour séparer les protagonistes dont deux ont été sérieusement blessés et hospitalisés. Le match a été annulé.

Le 17 février 2003 : Deux hommes circulant en voiture étaient tués par balles lundi 17 février vers 2003 10h40 dans les environs d’Ajaccio par deux individus casqués roulant à moto et deux complices à bord d’un véhicule volé. Christian Battesti 47 ans avait été condamné pour avoir participé à la tentative d’extorsion de fonds puis au meurtre du coiffeur Schoch en 1983 et Sébastien Cuttoli, 25 ans.

Avril 2003

Le 3 avril 2003: Un ancien proche du nationaliste corse François Santoni, Antoine-Joseph Cantara, a essuyé une tentative d’homicide : deux hommes à moto ont ralenti à sa hauteur, puis fait feu à plusieurs reprises avant de prendre la fuite. Il a été légèrement blessé.

Juin 2003

Le 25 juin : 2003 – Le préfet de Haute-Corse Eric Delzant est relevé de ses fonctions lors du Conseil des ministres en raison des incidents qui se sont produits lors de la visite de Jean-Pierre Raffarin et Nicolas Sarkozy à Bastia quelques jours auparavant.

Juillet 2003

Le 20 Juillet 2003 : Le FLNC revendique quatre attentats à la bombe -deux à Nice devant la Trésorerie générale et la Direction régionale des Douanes, deux en Corse contre un bâtiment et une résidence secondaire- qui ont fait des dégâts matériels importants.

Aout 2003

24 AOÛT 2003 : Un ancien militant du FLNC, Maurice Galeani, âgé de 50 ans. Maurice Galeani, un ancien membre du FLNC, a été tué par balles ce dimanche 24 août 2003 vers 20H00 dans le centre d’Ajaccio où il circulait à moto.  Selon les témoins, deux hommes juchés sur une moto ont ouvert le feu sur lui. Deux rafales d’armes ont été entendues, et la victime s’est immédiatement écroulée, mortellement atteinte. Quant aux tireurs, ils ont immédiatement pris la fuite à bord de leur moto après la fusillade. 

Maurice Galeani, 53 ans, avait été condamné en 1987 à six ans de prison par la 16ème chambre du tribunal correctionnel de Paris pour sa participation à deux attentats à la bombe l’année précédente, alors qu’il était proche du FLNC.

Le premier attentat avait été commis le 30 août 1986 à Ajaccio, contre les locaux de la direction régionale du Crédit Lyonnais, et le second le 15 novembre 1986, contre un immeuble situé place Diamant à Ajaccio.

Le 28 Aout 2003 : La cinquantaine de surveillants du centre de détention n’assurait pas les parloirs et refusait les sorties des détenus qui, dans cet établissement particulier, effectuent quotidiennement des travaux agricoles, a expliqué Philippe Pedrero, délégué régional CGT. Toutefois, les détenus continuaient à nourrir les animaux et effectuaient leur promenade. Les manifestants, qui souhaitent « des mesures concrètes pour assurer la sécurité du personnel et des familles », demandent à rencontrer en Corse le ministre de la Justice Dominique Perben. Les bâtiments du centre pénitentiaire de Casabianda ont été en grande partie détruits dans la nuit de lundi à mardi par un commando qui a utilisé plus de 100 kilos d’explosifs. Les gardiens, dans l’attente d’une réponse, ont décidé de bloquer les visites de détenus au parloir ainsi que les sorties pour les prisonniers bénéficiant d’un régime de semi-liberté. « Les personnels n’ont plus aucune confiance envers les discours sans lendemain de l’administration. Ils exigent que M. Perben (le garde des Sceaux, N.D.L.R.) vienne en personne leur rendre compte des mesures concrètes qu’il compte prendre pour assurer leur sécurité et celle de leurs familles », a affirmé dans un communiqué l’Union régionale CGT de Corse. Cette action laisse mal augurer de la visite du Garde des Sceaux mais également du transfert à Borgo des condamnés corses. Selon nos informations les syndicats de surveillants mettraient des conditions draconiennes à l’exécution de cette promesse faite par Nicolas Sarkozy aux organisations nationalistes. « On nous a laissé entendre que M. Perben pourrait venir cette semaine. Mais quand une gendarmerie est attaquée, M. Sarkozy arrive dans la journée, alors peut-être qu’il pourrait faire un effort », a conclu M. Pedrero. Le sentiment général en Corse est que l’île ressemble de plus en plus à un bateau ivre dont le capitaine serait en vacances. Le nouveau préfet chargé de la sécurité continue d’observer l’omertà tandis que le préfet de région prépare le buffet de son départ prévu pour la fin de l’année.

Septembre 2003

FLNC-UCunionCombattant1999

Le 13 ou 14 Novembre 2003 : Voici le texte lu lors de la conférence de presse du FLNC UC tenue dans la nuit du jeudi 13 au vendredi 14 quelque part dans le sud de la Corse

« Les armes et la guerre sont arrivées en Corse avec la France, auparavant notre peuple était libre. C’est l’invasion française qui a mis fin à notre expérience d’indépendance nationale que l’Europe entière saluait. Elle a sonné le glas de nos libertés et de nos institutions démocratiques. Jamais le Peuple Corse n’a accepté le joug colonial, il a toujours su maintenir vivante sa conscience nationale, enfouie dans notre culture et notre langue.
La France a en permanence combattue ces dernières farouchement, elle a tenté de nous noyer sous une colonisation de peuplement effrénée, en niant toutes nos valeurs ancestrales. La paix n’a jamais figuré au programme d’aucun chef d’Etat français depuis deux siècles et demi. Tous ont fondé leur présence sur la domination et la soumission. La résistance existe, elle continue sans discontinuer depuis toujours, nous n’en sommes que ses héritiers. Notre organisation, notre mouvement politique n’a jamais eu le choix depuis sa création en 1976 que de s’opposer par les moyens légitimes de la lutte armée.

Jamais nous n’avons eu en face de nous un interlocuteur porteur de paix. Et aujourd’hui encore moins qu’hier. Certains nous reprochent des trêves qui ont été interrompues, pourtant à l’occasion de l’une d’entre elles, la France n’a jamais eu le courage politique de faire des propositions réelles et concrètes de paix. Jamais elle n’a assumé, alors que le mouvement national y était prêt, les responsabilités qui sont les siennes. Elle a constamment fait le choix de la fuite en avant par la répression. Les victimes de cette répression sauvage et disproportionnée au siècle que nous vivons sont nombreuses, par centaines et par milliers. Nos combattants sont morts pour une juste cause et sont à nos côtés pour en témoigner. En ces jours anniversaires de l’assassinat de Batti Acquaviva, nous leur dédions tous nos combats, ceux du passé et ceux à venir, nous leur dédions notre quête inlassable de la paix pour notre peuple. Sans eux et sans leurs sacrifices le peuple corse figurerait aujourd’hui sur la liste des peuples disparus.

Nous avons été de ceux qui ont approuvé et soutenu les efforts du mouvement national, dans sa reconstruction, depuis le processus du Fiumorbu. Ces efforts peuvent et doivent se traduire sur le terrain politique aujourd’hui par la mise en œuvre d’une union stratégique. Depuis des années, nous demandons aux nationalistes de s’engager dans une telle démarche. Elle est symbolique à nos yeux car elle est porteuse des espoirs de notre peuple et qu’elle a en elle les germes de la paix. Elle est de nature à amener l’Etat Français à engager de véritables négociations à partir d’un projet politique et institutionnel qui aura reçu l’aval du peuple corse.

Ce projet, s’il est suffisamment ambitieux et construit, permettra d’installer, pour une période transitoire, de nouvelles institutions corses. Il devra être accompagné d’un véritable processus de paix et du droit à l’autodétermination. Nous saurons y contribuer. Nous demandons au mouvement ‘national de comprendre que son rôle est aujourd’hui de participer à cette construction de paix en s’impliquant si la situation le commande. Cela ne pourra se faire que dans le cadre d’une union nationale large, totale et sincère. La Corse aujourd’hui a besoin d’être gérée par tous ceux qui ont pris le parti de défendre son peuple, ses droits et ses intérêts, en particulier le mouvement national mais aussi ceux qui ont fait le choix politique d’une voie progressiste.

Il est temps de tourner définitivement le dos à ceux qui demeurent les valets de l’Etat colonial, à ceux qui perpétuent le parti français à travers la classe politique traditionnelle. Nous combattons depuis vingt sept ans la main mise de la France sur notre terre, notre lutte est désintéressée et au service exclusif des intérêts collectifs de notre peuple. Elle a toujours su tenir compte des avancées et des progrès de ceux qui mènent l’ensemble des luttes publiques. Fidèles à nos engagements, nous n’avons jamais eu de volonté hégémonique sur le mouvement national, nous en respectons chacune de ses tendances et chacun de ses militants. Nous avons su l’accompagner chaque fois que cela a été nécessaire, notre action politique n’est en rien dissociée de notre action militaire. Nous avons conscience aujourd’hui qu’il est de notre devoir de créer les conditions définitives de l’union stratégique nationale. Ce moment est important et historique pour nous, pour le mouvement national, pour notre peuple.

NOUS DECIDONS A DATER DE CE JOUR DE SUSPENDRE NOS
ACTIONS MILITAIRES SANS CONDITIONS DE TEMPS NI DE LIEU.

Ceci constitue un acte majeur de paix en direction du mouvement national et de notre peuple. Ce sera en trente années de luttes et de sacrifices la première fois qu’un tel geste est consenti, hors de toute négociation avec l’Etat français. Le temps n’est plus aux trêves de circonstance, le moment est velu de construire la paix en Corse. Désormais notre peuple en a les moyens.

A présent, nous attendons du mouvement national uni, et ce n’est pas une
exigence, qu’il conduise sur le terrain des luttes publiques, tous les combats
vitaux pour l’émancipation nationale. Les droits sociaux et culturels de notre peuple et la défense des travailleurs sont pour nous des priorités. Tous les moyens devront être mis en œuvre pour la protection de notre environnement et la protection de notre patrimoine. Les luttes contre la colonisation de peuplement et la spéculation immobilière doivent être renforcées. La libération des prisonniers politiques et l’arrêt des poursuites sont des constantes de nos combats.

Ces combats sont nécessaires, ils le seront davantage si chacun d’entre nous, à sa place, contribue à l’élaboration d’une union militante dépassant les chapelles. La confiance est revenue, nous pensons que, contrairement au passé, le temps des divisions est derrière nous. Nous sommes tout aussi conscients que la frange la plus rétrograde de l’Etat colonial n’acceptera pas la paix et tentera à nouveau, par esprit partisan, de semer la division par la répression et voire par d’autres moyens. Mais nous sommes sûrs aujourd’hui que l’union stratégique du mouvement national nous permettra de surmonter, ensemble, ces écueils et d’ouvrir définitivement les portes de la paix.

A POPULU FATTU BISOGNU À MARCHJÀ


#Corse #StoriaCorsa – 2005 « L’année Répressive »

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Fin 2005

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« Strada diritta è resistenza »

Aujourd’hui plus de 70 patriotes sont détenus. En cette période des fêtes de Noël, RINNOVU témoigne toute sa solidarité aux patriotes incarcérés ou recherchés pour des actes politiques, ainsi qu’à leurs familles

GHJUVAN MARIA BIANCARDINI
UNA VOLTA DI PIU

Una volta di più, a pulizza è a ghjustizia di u Statu francese ci anu rigalatu un spettaculu di fine d’annu ! I terruristi di u GIGN è l’altri sbirri di a DNAT, ben’intesu incù e camerà di a televisiò, anu chjappu « l’omu u più ricercatu di Corsica » cum’elli dicenu i media. Face sempre megliu. Pinsanu digià à u prucessu.

CITADELLA D’AIACCIU : POUR UN DEBAT PUBLIC

L’avenir de ces lieux est désormais entre nos mains et il ne dépend que de la vigilance et de la mobilisation populaire que soient écartés définitivement quelques appétits mercantiles sur fond de spéculation immobilière.

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LIBERTÀ PER GHJUVAN MARIA BIANCARDINI

Ghjuvan Maria Biancardini, 44 ans, militant indépendantiste et agriculteur, a été mis en examen pour « association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste ».

CORSICA NAZIONE INDIPENDENTE CUNFERENZA STAMPA

« La Corse va bien ! » Tel est le message délivré vendredi dernier devant l’Assemblée de Corse par le préfet Lemas, entouré des responsables de la Collectivité de Corse opinant du chef et faisant preuve de l’obséquiosité qui leur est coutumiere.

U RIBOMBU NUMARU 8 DICEMBRE 2005

NATALE PER I PATRIOTTI 4 NOUVELLES PHOTOS

Reportages photos sur le net:
Unità Naziunale (nouvelle série de photo), FILETTA
Reportage vidéo :
I Vagabondi : « Come »
Petra Mente : « Cara Stella »
Canta u Populu Corsu : C’hè dino / Sinfunia Nustrale
Canta u Populu Corsu : L’Armata
L’Arcusgi : Sumenta
L’Arcusgi : Askatasunera
L’Arcusgi : L’Arcusgi di Pasquale
L’Arcusgi : SO ELLI

La vitrine Internet du Comité Anti Répression Corse est en ligne
crédit photo : Comité Anti Répression / Collection 2006

U 15 di dicembri di l’annu 2005

repressioninterpellationcorsesulidarita (3)

CUMMUNICATU DI STAMPA

CORSICA NAZIONI INDIPENDENTI URGANISEGHJA SABATU, U 17 DI DICEMBRI A SO GHJUNTA CHI SI TENNARA A MATTINA A PARTI DI DECI ORI E TRENTA A U SO LUCALI IN AIACCIU. PARTI DA TRE ORI DOPU MEZZIORNU, SI TENNARA UNA GHJUNTA ALLARGATA CU U CUNSIGLIU.

TUTTI I RISPUNSEVULI SO CHJAMATI A PARTICIPA.

CORSICA NAZIONI INDIPENDENTI

INTERPELLATIONS EN SERIE EN CORSE

Les interpellations se suivent dans la région bastiaise : une quinzaine interpellations en mois de 15 jours.

CORSICA SULIDARITA INTERNAZINALISTA

Photo non contractuelle : non à la répression.
Le CAR-Corsica et Sulidarita corsa vont participer et intervenir en présence de personnalités du monde entier au IVe Symposium International contre l’Isolement, qui va se tenir du 16 au 19 décembre 2005, au Cinéma Espace, 80 avenue Jean Jaures, 93500 Pantin (Région parisienne)

Communiqué Corsica Nazioni Indipendenti

CORSICA NAZIONI INDIPENDENTI chjama tutti i patriotti corsi a essa adduniti pa vincia e custruiscia un altru lindumani chi i dipurtazzioni, i cundannazzioni e a prighjo francesa.

Communiqué I VERDI CORSI : Pépinière de Castellucciu

LES PENDUS DU NIOLU JUIN 1774

Communiqué I VERDI CORSI : Conférence de presse au parlement européen

NATALE PER I PATRIOTTI

Cette année, le C.A.R nous offre une très belle affiche pour soutenir tous les prisonniers politiques corses.

FRANCESCU TURCHI L’IMPRIGHJUNATU
Interpellé en JANVIER 2001
Procès le 20 mars 2006

Le site Battifocu ouvre une partie de son forum pour soutenir la cause de son rédacteur en chef, François Turchi
Lien vers le forum battifocu
Lien vers le forum Unità
Pétition de soutien à Nicolas Salvini
Pétition de soutien : Signez et faites signer

LE FORUM DES PEUPLES EN LUTTE OUVERT

Bienvenue sur le Forum des peuples en lutte, ce forum a pour but d’informer sur les luttes de differents peuples sans état. Ce forum se veut etre un lieu d’échanges et de dialogue.

AMFITEATRU GHJ.B ACQUAVIVA
Inauguration de l’amphithéatre Ghjuvan’Battista Acquaviva à Corti

Le Maire de Santa Maria Sichè a fait enlevé une stèle en hommage à Emiliu Cortichiato, décédé en novembre. Le Comité Anti Répression Réagit
Emiliu Cortichiato
crédit photo : C.A.R /

Marcel Lorenzoni, Militantu sinceru
Marcel Lorenzoni, une page lui est consacré sur le site

Nouvelle photo en mémoire à Ghjuvan’Battista Acquaviva
Source photo : Bakika 🙂

Le C.A.R Réagit suite aux dernières interpellations

Après la série d’interpellation en Corse, le Comité Anti Répression réagit

SERATA DI SULIDARITÀ
SABATU U 10 DI DICEMBRE A PARTESI DI 8 ORE
tamarone (MACINAGHJU)
INCÙ L’ARCUSGI
aRRUSTU DI CARNE VINU E CANZONE
crédit photo : L’Arcusgì : Ghjurnate di Corti di u 2001

Achetez le DVD La blessure identitaire : Voir la bande annonce

TOUJOURS EN VENTE

NATALE LUCIANI
(…)O Natà, oghje semu privi di a to prisenza , di a to voce, di u to talentu è di a to spiranza. A vita hè fatta à stonde filice è à spirienze crude. A muga ch’è no intesimu in core quella sera ci ferma impressa pà u sempre. Ma tù ùn avaristi vulsutu ch’ellu ci stringhjissi l’affannu. Ci avaristi scuzzulatu, ci avaristi invitatu à guardà voltu l’avvene. È u fattu si stà chì in ogni manifistazione di u culturale, in ogni mossa pupulare, oghje ci luce u spiritu toiu è in core nostru ci canta a to voce roza è sputica, accumpagnata da una ghitarra tinuta à l’aritrosa. O Natà, da u locu ind’è tù sè culà sù, ùn ti scurdà di facci un mottu d’amicizia è di fratillanza. Ùn ti scurdà di ramintacci a strada onesta è ghjusta, quella ch’è tù insignavi à i liciani di a to scola di cantu. Pensa à i toi cum’è i toi pensanu à tè. È soprattuttu ùn ismette d’accumpagnà i nostri passi cù u versu è l’anima di e to canzone, quelle ch’è no cantemu da par noi, sottu voce, senza pinsacci, quand’è no ci demu à calchì faccenda cuttidiana è ch’è no ci ficchemu una cria di cuntintezza.

http://unita-naziunale.forumactif.com/viewtopic.forum?t=1001

L’OTTU DI DICEMBRE IN AIACCIU
LOTTA GHJUVENTÙ L’AVVENE SI TU

– Appel du C.A.R et A RISCOSSA PAISANA (vidéo et communiqué)

– APPEL DE VOCE POPULARE

– AIACCIU : Manifestation a 15HOO

Le 30 janvier 1735 lors de la Cunsulta d’Orezza, les Corses créèrent une constitution démocratique. Lieu de vie exemplaire, au combien novateur pour l’époque, dans un monde encore soumis à la volonté des monarques, cette constitution éclairera ce petit peuple devenu capable de choisir son avenir et d ‘organiser son présent. Le 8 décembre sera déclaré « Fête de la Nation », en hommage à celle qui assurera la protection de cette espace libéré : la Vierge Marie. La fête de l’immaculée conception coïncide ainsi avec la fête de la Nation pour signifier entre autre, que nul n’a le droit de s’approprier la mémoire commune et les gestes patriotiques qui ont institué le respect et la liberté. Gardiennes du passé, la figure de Marie et le visage de la Nation se sont mariés dans notre hymne national, le « Dio vi salvi regina », pour offrir un espoir à ceux dont l’avenir est menacé.

Première Conférence des NationS sans Etat organisée à Barcelone les 23, 24, 25 novembre 2005

Communiqué Corsica Nazione Indipendente

Intervention de Jean Guy Talamoni

reportage photo

Corsica Nazione Indipendente, le STC et la ghjuventù Indipendentista se sont rendus à la première conférence de presse des Nationas sans Etat, manifestation soutenue par le gouvernement Catalan;

Procès : REFUS DE PRISE A.D.N Reporté en avril
LE C.A.R APPEL A SOUTENIR MICHEL GIRASCHI
MARDI 6 DECEMBRE au Tribunal de BASTIA à 14H

Lors d’une garde à vue, Michel Giraschi a refusé une prise d’Adn, il passera en procès mardi 6 décembre à Bastia à 14H00

Communiqué C.A.R et A RISCOSSA PAISANA suite au verdict du procès en appel

Réaction du C.A.R et A RISCOSSA PAISANA suite au verdict du procès en appel des six jeunes corses

VERDICT POUR LES 6 JEUNES CORSES

2 mois ferme pour Miniconi Bernard (5 mois en tout avec une ancienne peine)
6 mois avec sursis pour Karim Ikken
4 mois avec sursis pour Patrick Mariani, Jean François Comiti, François Buteau et Matteu Gallet
Communiqué d’Unioni Naziunali

Crédit photo site amnistia

Base nucléaire US de La Maddalena: les Américains s’en vont. Unioni Naziunali réagit

CONFERENCE DE PRESSE DU C.A.R En SOUTIEN A EDMOND MELICUCCI

La conférence de presse du C.A.R (Cumitatu Contru à Ripressione) s’est tenue sur Aiacciu le samedi 26 novembre 2006.

Conférence de presse du C.A.R à Corti

Plus de 7 ans de préventive

INTERVENTION VIDEO DE MAITRE STAGNARA

TEXTE DE LA CONFERENCE DE PRESSE

Vincent Andriuzzi et Jean Castela ont dépassé les délais raisonnables de préventive prévues par la loi

A RISCOSSA PAISANA / Comité Anti Répression:
« UNA CASA, UNA BANDERA ! »

L’Ottu di dicembre : « UNA CASA, UNA BANDERA », pà di u nostru stintu corsu e purtà a nostra sulidarità a i nostri frateddi incarcirati pà ch’ellu campa sempri in dignità u nostru populu annant’a so terra.

APPEL A RASSEMBLEMENT LUNDI 21 NOVEMBRE 19H DEVANT LE COMMISSARIAT DE BASTIA

Ce matin sous commission rogatoire du juge Thiel et en présence de celui ci, une série d’interpellation a eu lieu à Borgu

A TE LA CORSICA REGINA A TE GHJUVA’BATTI

« Le 15 novembre 1987, Jean-Baptiste Acquaviva était assassiné aux abords d’un des bunkers du colonialisme implanté à U QUERCIOLU à quelques kilomètres au sud de Bastia ».

Un jeune corse passé à tabac

Photo site A Manca Naziunale

U Rinnovu apporte son soutien aux jeunes corses interpellés lors des manifestations légitimes et dénonce le passage à tabac d’un jeune militant corse par les forces de répression à Bastia.

PLUS DE 5 ANS DE Préventive

Francescu Turchi est depuis 5 ans en préventive

Assemblée générale de Corsica Nazione
PER UNA REPUBLICA CORSA INDIPENDENTE

Pour une République Corse Indépendante

CONFERENCE DE PRESSE DU C.A.R du 05 Novembre 2005
Le C.A.R dénonce le non rapprochement de 4 prisonniers politiques.

PROCES EN APPEL A BASTIA DE 6 JEUNES CORSES le mercredi 9 Novembre

Matteu Gallet, François Buteau , Jean François Comiti , Karim Ikken, Bernard Miniconi et Patrick Mariani devront repasser en appel à bastia Mercredi 9 novembre. Un appel à mobilisation est lancé par le C.A.R.

Communiqué de Corsica Nazione Indipendente

Corsica Nazione Indipendente apporte son soutien aux jeunes corses interpellés lors des dernières manifestations populaires

Le CYBER JOURNAL RIVOLUZIONE N°4 d’A MANCA NAZIUNALE EST EN LIGNE

Téléchargeable et gratuit en ligne sur le site D’A Manca Naziunale

U RIBOMBU INTERNAZIUNALE EST DANS LES KIOSQUES

Conférence de presse du FLNC, les photos du tabassage du rédacteur en chef du Ribombu…

A FIARA, Le journal de l’A.N.C est DANS LES KIOSQUES (télécharger le, sur internet)

Le dossier complet pour une compagnie corse régionale maritime, création de Fronte Populare…

LE LITTORAL CORSE EN DANGER IL FAUT AGIR RAPIDEMENT !

Source cpp

Une plage du cap Corse bientôt ensevelie sous 72 000 mètres cubes de béton et de roche (lire l’article d’Antoine Albertini dans le monde d’hier)

LA presse affirme ne pas être des auxiliaires de police

La direction de l’AFP collabore avec l’Etat répressif (la parole aux internautes sur le forum)

CASANOVA JEAN CHARLES
PRIGIUNERU PULITICU

BORGU
N°4952 Unité J

CUNFERANZA DI STAMPA DI U 24 OTTOBRE 2005 IN BASTIA

« Voce Populare et U Partitu di a Chjama appellent à la constitution d’un manifeste de la nation corse » (donnez votre avis sur le forum)

Conférence de presse de rentrée

http://www.webzinemaker.com/ghjuventu-i/

JULIEN GRISTI

Julien Gristi a été interpellé en Octobre, 8 mois de prison ferme

JEAN DO ALLEGRINI SIMONETTI

Le procureur de la 13e chambre du tribunal correctionnel, Florence Michon, a requis de cinq à six ans de prison contre Jean-Dominique Allegrini-Simonetti et quatre ans de prison contre Jean-Marc Petrucci. Cinq ans de privation de droits civiques ont été en outre demandés contre les deux prévenus
http://unita-naziunale.forumactif.com/viewtopic.forum?t=856

Communiqué du C.A.R du 19 10 05

Interpellation d’un jeune manifestant à Aiacciu et d’un porte parole d’A Riscossa Paisana

Pétition pour une compagnie maritime régionale corse
I Verdi Corsi lance une pétition, Signez et faites signer

Interpellations de deux jeunes suite aux incidents d’après manifestation (informations et réactions sur le forum)

SNCM STC LA SEMAINE SOCIALE

Achetez le DVD La blessure identitaire : Voir la bande annonce

GRIPPE AVIAIRE & BIEN PUBLIC

Un Attentat à la roquette a une nouvelle fois visé une cible à bastia

Communiqué du STC du 13 Octobre 2005

CORSICA NAZIONE INDIPENDENTE :
un jour ou l’autre la Corse aura sa compagnie maritime

LE FLNC UC REVENDIQUE L’ATTENTAT A LA ROQUETTE (source direct Alta Frequenza)

U RIBOMBU INTERNAZIUNALE

QUADRILLAGE DE LA CORSE

— SNCM: Le Pascal Paoli —

MISE AU POINT:

Un magazine « choc » publie un reportage photo, quand la presse fait du sensationnel.

CORSICA NAZIONI INDIPENDENTI : CUNFARANZA STAMPA

Conférence de presse du 23 septembre 2005

LIBARU

Michel Giraschi a été libéré vendredi 23 septembre 2005

Crédit photo : Ghjuventù indipendentista (scontri di a Ghjuventù Corti 2005)

Pour écrire un message de soutien cliquez sur l’image,
pour avoir des informations complémentaires, cliquez sur l’image

21 SEPTEMBRE 2005 : INTERPELLATION DE MICHEL GIRASCHI PAR LA D.N.A.T
MILITANT DE LA Ghjuventù Indipendentista et membre de l’exécutif de Corsica Nazione Indipendente

Crédit photo : Ghjuventù indipendentista (scontri di a Ghjuventù Corti 2005)

Pour écrire un message de soutien cliquez sur l’image,
pour avoir des informations complémentaires, cliquez sur l’image

FATTI D’ERI

U RIBOMBU N°83 IN 2003

communiqué corsica nazione indipendente du 13 septembre 2005 : RCFM

Communiqué Unione Naziunale sur le livre de bernard bonnet

bonnet qui rit (devant les grilles)

Bonnet qui pleure (derrière les barreaux)

U RIBOMBU NUMARU CINQUE

Communiqué du FLNC Aostu 2005 (source U Ribombu Numaru 5)

U RIBOMBU NUMARU QUATTRU

250 ANS DE SPÉCULATION, DE SPOLIATION, D’OCCUPATION !

Témoignage intra muros de la tentative d’attentat contre alanu ferrandi

NOUVEAU SITE PARTENAIRE UNITÀ NAZIUNALE

Conférence de presse du C.A.R / A RISCOSSA PAISANA du 12 août 2005

Archive photo Unità Naziunale : Conférence de presse A Riscossa Paisana / Comité Anti Répression

Plus de 200 personnes au rassemblement de soutien à Alain Ferrandi

I PATRIOTTI IN TERRA NOSTRA !

ALANU FERRANDI, MILITANT POLITIQUE CORSE, agressé EN PRISON
Unità Naziunale manda u so sustegnu a alanu ferrandi e a so famiglia

I PATRIOTTI IN TERRA nostra

RASSEMBLEMENT DE SOUTIEN
AJACCIO 17H
MARDI 9 AOÛT

1975 – 2005 : Génération ALERIA / GÉNÉRATION FLNC (la vidéo)

2005 – ???? Génération Quick -Génération MC DO

14 juillet : MANIFESTATION DU C.A.R à Bastia
Vidéo de la manifestation du 14 juillet à Bastia du CAR

11 juillet : CONFérence de presse du c.A.R à Aiacciu

JEAN PAUL SPANO
L I B A R U
U FOCU BASTA
A qui profite le crime ?

Matin du 21 août 2004 : Feu de Travu Ventiseri, Les canadairs larguent sur la RN 198 afin de combattre le feu qui descend le long de la nationale en direction de Sari Solenzara. Déjà cette année là, la coordination des secours était sujet à polémique… Mais pas le travail des pompiers toujours en première ligne.

U Ribombu Numaru Trè :
Un article sur la lLN et Internet
Communiqué du FLNC UC du 6 Juin 2005

Conférence de presse du C.A.R du 27 Juin

voce populare : Conférence de presse

THIERRY CASOLASCO

LIBERATU

A RISCOSSA PAISANA COMMUNIQUE :

Archive photo Conférence de presse Riscossa Paisana

Apres ALAIN FERRANDI, MARTIN OTTAVIANI et JOSEPH ANTOINE VERSINI QUITTEnt LA LISTE DES PRISONNIERS POLITIQUES

24 JUIN 2000 – 24 JUIN 2005
MARCEL LORENZONI IN MIMORIA

NOUVELLE PETITION SUR LE SITE PARTENAIRE SULIDARITA.COM, LE SITE DES PETITIONS CORSES

http://www.sulidarita.com/CSB/CSB.html

U Cullettivu di i Sustenitori Bastiacci (C.S.B)

En tant que fervent supporter du Sporting, je déclare n’avoir plus aucune confiance dans l’actuelle équipe dirigeante du SCB, dont je réclame la démission immédiate et intégrale.

J’appelle de mes vœux un changement radical au club et demande à tous les investisseurs potentiels (quels qu’ils soient) de se déclarer publiquement et de présenter le plus rapidement possible un vrai projet de relance, car l’avenir de notre club plus que jamais en dépend.

Les Dirigeants passent, mais le Sporting et son public sont immortels

Forza Bastia per sempre !

http://www.camperemu.com/Foru/viewtopic.php?t=5571 (plus d’informations)

La lettre D’alain ferrandi
Il quitte la liste des prisonniers politiques du C.A.R

JO PERALDI EST A BORGU

ERA ORA !!!

vendredi 3 juin 2005
conférence de presse du c.A.R

stefane Vincent et benjamin masclef ont été libéré, enfin pas vraiment :

Stefane vincent ne peut revenir en corse, il est obligé de rester a paris, interdit pendant la fin de sa conditionnelle de rentrer sur sa terre…

Benjamin masclef peut sortir du vendredi au lundi de prison uniquement sur paris. Les autres jours il dort en prison et ses journées doivent uniquement être dédiée à trouver un travail sur Paris…

SAMEDI 4 JUIN 20 h
Soirée au bénéfice du Comité Anti-Répression
Salle des fêtes
OLETTA

DOUZE MOIS DE PRISON DONT ONZE DE SURSIS (ainsi que 18 mois de mise à l’épreuve et une privation de leur droits civiques pour une durée d’un an.)
Pour les 3 agriculteurs et une RELAXE pour le 4ieme
SO LIBARI

Procès le mardi 31 mai 2005 à Aiacciu : Force de répression présente en nombre dans Ajaccio, plus de 300 personnes étaient présents

MARDI 31 MAI PROCÈS DE
PIERRE BIANCHI
PIERRE PAUL ARRIGHI
JEAN DOMINIQUE MUSSO

Le CAR COMMUNIQUE : Communiqué du C.A.R du 30 Mai 2005 soutien aux agriculteurs en procès

LIBARU
Dumè Mariani a été libéré

Communiqué du C.A.R du 22 mai 2005

FURIANI 2005 : Les leçons du passé n’ont servit a rien !
(vu sur un site de foot : « grincheux a dit  » : Comment une commission de sécurité a t elle pu laisser installer des barrières dans la tribune EST aux principales issues de secours. En cas de mouvement de foule, pour une raison ou pour une autre, des supporters et les personnels de la sécurité auraient été piétinée, écrasé… Surtout que les personnels, très peu formés a ce genre de discipline (la sécurité, gestion de foule, self control…) ont montré hier qu’en cas de mouvement de foule incontrôlé, ils auraient bloqué et seraient eux aussi mort piétiné… Chi disgrazia

Comment peux t on 13 ans après le drame de Furiani (5 mai 1992, 18 morts, des milliers de blessés), 20 ans après le drame du Heysel (29 mai 1985, 39 morts. Des supporters étouffés, piétinés, écrasés, des centaines de blessés), Le drame de Sheffield en 89 (qui a fait 95 morts en 1989 alors que le drame est dû au fait à un grave défaut d’organisation étant donné que les responsables du stade ont fait entrer 4.000 spectateurs sans billet dans une tribune grillagée, bordée et privée d’issues de secours». Comment peux t on bloquer les issues de secours principales de la tribune EST-NORD ?? En sachant le nombre de personne qui sont parqués dans cette partie de tribune…

Les mêmes erreurs…
http://www.camperemu.com/Foru/viewtopic.php?t=5056

Nicolas Salvini, membre d’A Riscossa Paisana, a fait appel de son jugement et a été relâché en attendant son prochain procès. Il avait été condamné à 8 ans de prison ferme alors que son dossier était plus que vide !La condamnation de Nicolas Salvini avait été supérieure aux réquisitions de l’avocat général qui avait demandé cinq ans de prison.
PROCES COURROYE SARKOZY
VERDICT INIQUE !

Rassemblement du 20 Mai 2005 à Bastia © UNITA NAZIUNALE 1999 – 2005
Jean-Guy Talamoni
45 ans : relaxe

Charles Pieri
55 ans: 10 ans d’emprisonnement, 5 ans d’interdiction des droits civils, civiques et de famille.

Jacques Mosconi
47 ans : 4 ans d’emprisonnement, 5 ans d’interdiction des droits civils, civiques et de famille.

Charles-Philippe Paoli
35 ans : 7 ans d’emprisonnement, 5 ans d’interdiction des droits civils, civiques et de famille.

André Negroni
68 ans : 5 ans d’emprisonnement, 5 ans d’interdiction des droits civils, civiques et de famille.

Elodie Pieri
35 ans, fille de Charles Pieri: 30 mois d’emprisonnement dont 26 avec sursis, 5.000 euros d’amende.

LE FLNC DU 22 OCTOBRE REVENDIQUE 17 ATTENTATS ET APPEL A LA MOBILISATION SUR LE TERRAIN DE LA LUTTE ARMÉE. (20 Mai 2005)

Communiqué du C.A.R du 17 Mai 2005 : Procès Verdict Courroye Sarkozy

CORSICA NAZIONE INDIPENDENTE
UNIONE NAZIUNALE
CUMITATU CONTRU A RIPRESSIONE…

UN CI FERANU MAI PIANTA !

Verdict du Procès Courroye-Sarkozy
Rassemblement VENDREDI 20 MAI à 13h Palais de justice de BASTIA
BASTA A RIPRESSIONE CULUNIALE

Le Numéro 2 est en kiosque !!!
U RIBOMBU INTERNAZIUNALE
ABBUNATEVVI

SCONTRI INTERNAZIUNALI DI A GHJUVENTÙ
CORTI 2005

Reportage photo Ghjuventù Indipendentista

INTERPELLATIONS, PROCÈS, CONDAMNATIONS
LA JUSTICE REPRESSIVE EN MARCHE

7IEME PERSONNE INTERPELLEE SUITE A LA MANIFESTATION DU C.A.R :
TROIS MOIS AVEC SURSIS ET CINQ DE MISE A L’EPREUVE

Lundi 9 Mai 2005
LE PARQUET A FAIT APPEL DE LA DÉCISION DE L’ANNULATION
PAR LE TRIBUNAL CORRECTIONNEL D’AIACCIU DES POURSUITES
VISANT 6 JEUNES CORSES. Prochain Procès à BASTIA !!!

Source Saveriu T. (A ringraziati)

UN PROCES RAPIDEMENT POUR JEAN CASTELA ET VINCENT ANDRIUZZI !

L’OTTU DI MAGHJU
O CORSU UN TI SCURDA DI A TO STORIA !
TUTTI IN PONTE NOVU

PRUCESSU DI GHJASEPPU COLOMBANI (6 mai 2005)
3 MOIS DE PRISON FERME REQUIS
VERDICT EN JUILLET

Le C.A.R communique

5 DI MAGHJU 1992
5 DI MAGHJU 2005

IN MIMORIA DI E VITTIME

5 DI MAGHJU 1976
5 DI MAGHJU 2005

A LOTTA CUNTINUEGHJA

LIBARI

Conférence de presse du C.A.R / A RISCOSSA PAISANA lors du procès

MANIFESTAZIONE IN AIACCIU

Reportage photo de la manifestation (aussi le lien vers le reportage d’Alta Frequenza)

RIPRESSIONE IN AIACCIU

Reportage vidéo de la manifestation

DEPUIS LE 1ER JANVIER 2005 :
Les patriotes corses ont été condamné à plus de 130 ANNEES DE PRISON
SABATU U 30 D’APRILE
AIACCIU Piazza di a gara 3 ore
MARCHJA DI SULIDARITÀ
Cù e Famiglie di i patriotti Incarcerati

CHJAMA À MANIFESTÀ :

I VERDI CORSI
POLU POPULARE CORSU
A RISCOSSA PAISANA
CORSICA NAZIONE INDIPENDENTE
UNIONE NAZIUNALE
PARTITU SUCIALISTU PER L INDIPENDENZA
U RINNOVU
L’ACCOLTA NAZIUNALE CORSA
A VOCE POPULARE
PARTITU DI A NAZIONE CORSA
A GHJUVENTÙ INDIPENDENTISTA
SINDICATU DI I TRAVAGLIADORI CORSI
A CHJAMA NAZIUNALE
CORSICA EUSKADI
COMITE ANTI REPRESSION…

A RIPRESSIONE TOCC’A TUTTI I PATRIOTTI
CI VOLE A SUSTENE TUTTI L’INCARCERATI PULITICHI

Conférence de presse commune Comité Anti Répression / A Riscossa Paisana du 26 avril 2005(© C.A.R / AnTo)

15 ANS DE PRISON !!! JOSEPH PERALDI, 63 ANS, 20 ANS REQUIS
14 ANS DE PRISON ! SIMON SALVINI, 15 ANS REQUIS
13 ANS DE PRISON JEAN FRANCOIS RAMOIN LUCCIANI, 15 ANS REQUIS
10 ANS DE PRISON !!! JEAN CLAUDE AMPART, 15 ANS REQUIS
8 ANS DE PRISON !!! NICOLAS SALVINI, 5 ANS REQUIS
5 ANS DE PRISON AVEC SURSIS LAURENT PERALDI, 5 ANS REQUIS
5 ANS DE PRISON AVEC SURSIS JEAN LOUIS ORLANDETTI, 7 ANS REQUIS
4 ANS DE PRISON AVEC SURSIS JEAN PIERRE PIERANDREI, 5 ANS REQUIS
3 ANS DE PRISON AVEC SURSIS JEAN ANTOINE FIESCHI, 7 ANS REQUIS
4 ANS DE PRISON AVEC SURSIS JEAN PIERRE PIERANDREI, 5 ANS REQUIS
ACQUITTEMENT FRANÇOIS ANGE CHABOT, DIX MOIS REQUIS
ACQUITTEMENT CHRISTOPHE PIRREDU, 18 MOIS REQUIS

U STATU FRANCESE ASSASSINU !!!

IN BORGU !!! (mercredi 20 avril 2005)

ENCORE DES CAGOULÉS A LA UNE !

U RIBOMBU RIBOMBA !

PROCÈS DE DANIEL RENUCCI À AIACCIU !
2 MOIS DE PRISON AVEC SURSIS !!!
S U L I D A R I T À

CORTI 11, 12, 13 è 14 APRILE 2005
Changement sur la soirée du Mercredi 13 avril.

LURI 2003
PROCES 2005

4 JEUNES CORSES EN PROCES

SUITE AUX REQUISITIONS INIQUES LORS DU PROCÈS SUR PARIS DES MILITANTS CORSES,

LE COMITE ANTI REPRESSION REAGIT : PROCÈS « SARKOZY-COURROYE »

« Nous sommes ici devant une volonté clairement affichée, réfléchie, fomentée au plus haut niveau de l’État, une volonté éminemment politique, de tenter d’éliminer les nationalistes de la scène politique corse.  »

L’UNIONE NAZIUNALE REAGIT :

« Le groupe des élus de l’Unione Naziunale à l’Assemblée de Corse s’indigne du caractère outrancier et totalement injustifié des réquisitions prononcées au procès de plusieurs responsables et militants nationalistes, dont Charles Pieri et Jean-Guy Talamoni. »

CORSICA NAZIONE INDIPENDENTE REAGIT :

« Aujourd’hui, face à ces agressions dignes des pires régimes totalitaires, le Peuple Corse est en état de légitime défense. Nous appelons donc l’ensemble des organisations patriotiques et au delà tous les Corses épris de liberté à se mobiliser dans les jours qui viennent, ainsi qu’à participer massivement à la manifestation organisée à l’initiative du Comité Anti Répression le 30 Avril prochain à Aiacciu. »

Une délégation Catalane monte à paris pour apporter son soutien à Jean Guy Talamoni :

De droite à gauche : Jordi Castells, député au Parlement de Catalogne et membre du Commission d’affaires européennes, Jean Guy Talamoni, François Sargentini et Jordi Miró, président de l’association Catalunya-Corsica

PROCÈS LE 4 AVRIL A PARIS
11 PERSONNES DEVANT LE TRIBUNAL

Suite à l’interpellation et à la déportation de Jean Michel V.

CONFERENCE DE PRESSE DU C.A.R : Procès URSSAFF . DDE

Extraits Vidéo de la conférence de presse du CAR

PROCES LE 10 MARS

Nouvelles pages additionnelles au dossier de presse
et Comité de soutien à Jean Guy Talamoni

CONFERENCE DE PRESSE DU C.A.R du 30 mars 2005

CONFERENCE DE PRESSE UNIONE NAZIUNALE
25 MARS 2005

CONFÉRENCE DE PRESSE DU CAR
MARDI 22 MARS 2005
PROCÈS CASOLASCO

Suite aux dernières interpellations, A RISCOSSA PAISANA, a tenue une conférence de presse lors d’un rassemblement devant le commissariat d’Aiacciu, le Lundi 21 mars 2005.
LIBERTÀ PER JEAN PASCAL GOROVENKO, 31 ans, NICOLAS IACOUZZO, 26 ans et Alexandra Gorovenko E TUTTI I PATRIOTTI

Le militant nationaliste corse Cédric Courbey a été acquitté vendredi du mitraillage de la gendarmerie de Borgo (Haute-Corse) en 2001 mais condamné à cinq ans de prison ferme pour association de malfaiteurs terroriste, détention d’armes et divers délits, par la cour d’assises spéciale de Paris.
CONVOCATION DES RESPONSABLES DE LA GHJUVENTÙ INDIPENDENTISTA A LA GENDARMERIE DE CORTI A 15H00 MARDI 15 MARS !

MOBILISATION DEVANT LA GENDARMERIE

LUNDI 14 MARS

ARRESTATION DE 6 PERSONNES EN CORSE SOUS LES CAMERAS DE TF1 !!!

COMMUNIQUÉ DU CAR

TROIS MILITANTS DEPORTÉS SUR PARIS

RASSEMBLEMENT DE SOUTIEN DEVANT LE COMMISSARIAT D’AIACCIU

2005 : L’ANNÉE RÉPRESSIVE

L’INGHJUSTIZIA CULUNIALE

Alors que l »EDF et la DDE subisse Chacun un attentat à Ajaccio, La gendarmerie de Corti est mitraillé et l’office du tourisme est plastiqué à Corti,

LE FLNC-UNION DES COMBATTANTS ROMPT LA TREVE
« Entre l’arrogance d’un gouvernement autoritaire et la lâcheté d’une collectivité territoriale plus prompte à travers son exécutif à la totale collaboration, le moment est au renforcement de la lutte sur tous les terrains, sans exception »

En 30 ans le discours a t il changé ?
©Tract de création du FLNC 1976 source DVD génération FLNC

Mardi 8 Mars 2005 : La Ghjuventù Indipendentista occupe les locaux de l’EDF à CORTI

L’AFFICHE DANS LA LUTTE DU PEUPLE CORSE
(166 Affiches classées par année)
© AFFISSU CORSU 1980

POLITIQUE ÉNERGÉTIQUE EN CORSE !
DE QUI SE MOQUE T ON ?
EDF MENACE DE COUPER LE « JUS » A UN HÔPITAL !!
IL EST BEAU LE SERVICE PUBLIC !
LE S.T.C MONTE AU CRÉNEAU.

Revendication, Le FLNC du « 22 octobre » revendique des attentats (16h00) : Le « FLNC du 22 octobre » a revendiqué aujourd’hui (lundi) treize attentats ou tentatives perpétrés ces derniers mois dans l’île, dans un communiqué authentifié. Le mouvement nationaliste clandestin endosse notamment la paternité d’un attentat qui avait causé d’importants dégâts le 22 octobre contre la gendarmerie d’Aleria, ainsi qu’une action contre la gendarmerie de Travo le 12 octobre. Ce groupe revendique également l’attentat qui avait fait d’importants dégâts contre les annexes du rectorat de Corse, le 4 janvier à Ajaccio, ainsi que l’attentat contre une maison du député-maire de Bastia Emile Zuccarelli, à Santa Lucia di Mercurio, le 30 octobre. Parmi les autres actions revendiquées figurent des attentats ou tentatives contre des résidences secondaires, installations touristiques et bâtiments de services de l’Etat. Dans un communiqué de dix pages, le « FLNC du 22 octobre » appelle « solennellement toutes les composantes de la lutte de libération nationale corse à reprendre les chemins du combat (….) afin que le peuple corse puisse légitimement voir reconnaître ses droits nationaux historiques, le protégeant ainsi de la disparition et lui assurant une existence dans la paix ». Le mouvement s’engage « à cesser toute activité clandestine dès lors » que ses « revendications fondamentales » seront « garanties »: « reconnaissance officielle du peuple corse », « enseignement obligatoire et utilisation officialisée de la langue corse », « définition d’un calendrier précis » conduisant « par étapes à la souveraineté nationale » parallèlement à « la libération de tous les prisonniers politiques et l’arrêt des poursuites pour les militants recherchés ». Les clandestins réclament également « l’effacement global et total de la dette agricole ». Ils demandent aussi « à tous les visiteurs (…) de ne plus construire ou acheter des terrains et maisons sur la terre de Corse » tant que celle-ci n’aura « pas recouvré » la « souveraineté nationale ».
http://www.alta-frequenza.com/index01.htm

PROCÈS A PARIS DE L’ATTENTAT DE BASTIA
12 ans requis
PROCÈS EN APPEL
4 ANS FERME contre Edmond, Cédric et dumè
DUME TAFANI ENTRE DE NOUVEAU EN PRISON
La cour d’appel de Paris a alourdi mercredi les peines de trois militants présumés du FLNC, Dominique Tafani, Cédric Courbey et Edmond Meliccuci, condamnés pour participation à une association de malfaiteurs à but terroriste. Les trois hommes ont été condamnés à cinq ans d’emprisonnement dont un avec sursis par la 10e chambre de la cour alors que le tribunal leur avait infligé quatre ans dont un avec sursis le 23 mars 2004. Tous trois étaient principalement poursuivis pour participation à une association de malfaiteurs à but terroriste, pour avoir utilisé une voiture bourrée d’armes et d’explosifs, qu’ils avaient dû abandonner en catastrophe, le 22 août 1999 sur une petite route de Venaco (Haute-Corse). Les gendarmes s’étaient lancés à leur poursuite car ils s’étaient enfuis après une infraction au code de la route.
La voiture, retrouvée le lendemain, contenait notamment 15.000 cartouches de gros calibre, 200 grammes d’explosif, 300 détonateurs, des pistolets automatiques, des pistolets-mitrailleurs, 25 roquettes, des cagoules, gants et surtout des empreintes, cheveux, traces d’ADN des trois prévenus, arrêtés un à un par la suite. Cédric Courbey, berger, a déjà été condamné à trois ans d’emprisonnement après avoir été arrêté en octobre 2001 au volant d’une voiture volée, contenant aussi cagoules, armes approvisionnées et gants en latex avec des traces d’explosifs. Edmond Melicucci, ancien gérant de bar, a été déjà été condamné à 18 mois d’emprisonnement à Marseille pour avoir été arrêté le 19 novembre 2002 alors qu’il était armé. Dominique Tafani, accusé d’avoir participé en mai 1995 à un attentat contre un lotissement de Porto-Vecchio revendiqué par le FLNC, avait quant à lui été acquitté le 26 octobre dernier par la cour d’assises spéciale de Paris.

PROCÈS A BASTIA DES ETUDIANTS DE CORTI
5 MOIS AVEC SURSIS

LE CAR APPEL AU RASSEMBLEMENT, VENDREDI 10 FÉVRIER A 9H30
TRIBUNAL D’AIACCIU
POUR SOUTENIR DUME TAFANI ET TOUS LES PRISONNIERS POLITIQUES

1er Février 2005 : UNITA NAZIUNALE EN GARDE A VUE

REPRESSION CONTRE LE CAR LORS DE LA CONFERENCE DE PRESSE

© Comité Anti Répression Corse / Unità Naziunale 2005

Le comité Anti Répression tiendra une conférence de presse
samedi 29 janvier 2005 à 10 heures du matin devant le palais de justice d’Aiacciu.
Cette conférence se fera en présence des avocats de Charles Santoni pour y dénoncer les conditions de son isolement carcéral et les derniers développement dans la procédure judiciare entamée pour faire cesser l’acharnement dont il est victime depuis de nombreuses années.

LE DOSSIER DE PRESSE DE L’AFFAIRE
JEAN GUY TALAMONI
NOUVELLES FRONTIERES

U 28 DI GHJINNAGHJU L’UNIVERSITA DI CORSICA
SARA PA A PRIMA VOLTA GHJUDICATA
A MIMORIA DI GHJUV’BATTI UNA VOLTA DI PIU IMBRUTTATA

DEFENSE DE L’ENVIRONNEMENT REUNION PUBLIQUE
MERCREDI 26 JANVIER SALLE des CONGRES
18H Diamant
NOS ACTIONS VOUS CONCERNENT
Risques SEVESO / Décharge St Antoine / Qualité de l’AIR
LE GARDE / ADEVA / FEMU AIACCIU / I TRE PIAZZE
Venez nombreux…

© http://www.manca-naziunale.org/circondu/

MARTI U 25 DI GHJENNAGHJU IN BASTIA
U PRUCESSU DI A GHJUVENTÙ IN LOTTA
SULIDARITA CÙ A GHJUVENTÙ

Procès à Paris
5 ans requis contre

SO PATRIOTTI !!!

TROIS MILITANTS CORSES MIS EN EXAMEN ET ECROUE A PARIS PETRU CONFAIX, FABRIZIU LECCIA, DIDIER MARTINETTI

PROCES DE MILITANTS CORSES BIENTOT A PARIS
FRANCESCU TURCHI, FRANCOIS XAVIER ARRII, JEAN CHRISTOPHE PARENTI, LUCIEN BIANCHI, JEAN MARC PETRUCCI et JEAN DOMINIQUE ALLEGRINI SIMONETTI

13 JANVIER 2005 PROCES DE TROIS MILITANTS POLITIQUES A PARIS
LIBERTÀ PER COURBEY, MELICUCCI, TAFANI E TUTTI I PATRIOTTI
REQUISITOIRE : 5 ANS !!!

CONFERENCE DE PRESSE du Comité Anti Répression du mardi 11 janvier 2005
LETTRE OUVERTE AU GOUVERNEMENT FRANCAIS
PENDANT CETTE CONFERENCE DE PRESSE, LE CAR A APPORTE SON SOUTIEN AUX 6 INTERPELLES ET A LEURS FAMILLES

INTERPELLATION EN CORSE
TOUJOURS 4 PERSONNES EN GARDE A VUE
DEUX PERSONNES DEPORTEES SUR PARIS.
NAISSANCE DE A RISCOSSA PAISANA, association de soutien aux prisonniers politiques.
A RISCOSSA PAISANA APPEL AU RASSEMBLEMENT DEVANT LE COMMISSARIAT MARDI 11 JANVIER A 21H00
ET A SE MOBILISER POUR LA CONFERENCE DE PRESSE DU MERCREDI 12 JANVIER A 10H00 DEVANT LE COMMISSARIAT
1 PERSONNE DEPORTEE A PARIS LUNDI APRES MIDI
UNE AUTRE MARDI MATIN, Une Femme toujours en garde à vue mardi Matin

INTERPELLATION DE 6 PERSONNES LUNDI 10 JANVIER 2005
Six personnes ont été interpellées et placées en garde à vue lundi matin en Corse-du-Sud dans le cadre de l’enquête sur une conférence de presse clandestine du groupe armé FLNC dit du « 22 octobre » tenue dans la nuit du 18 au 19 mai 2003 à Muracciole

VIOLENCE ET TORTURE CONTRE NOS PRISONNIERS POLITIQUES, L’A.C.C.E.S communique

L’ARMATA DI U POPULU CORSU a émis des menaces contre « un représentant de l’occupant en poste sur l’île »
« A partir d’aujourd’hui, il appartiendra aux pouvoirs dominants, afin d’éviter des drames tel que celui qui s’abattra sur un représentant de l’occupant en poste sur l’île, non plus de tenir des discours sur la violence légitime pratiquée par un peuple lui-même violenté quotidiennement, mais bien d’éliminer les distorsions qui sont écologiquement, socialement, économiquement ou culturellement dangereuses »

L’heure des Comptes : JANVIER 2005
CONVOCATION EN CASCADE DEVANT LES JUGES D’UNE QUINZAINE DE PERSONNES
MISE EN EXAMEN DE MICHEL GIRASCHI, MILITANT DE LA GHJUVENTU INDIPENDENTISTA
Mise en examen de Guillaume, un jeune de 20 ans, le Jeudi 6 janvier!
Pour les manifestations de soutien à Jean Guy Talamoni

Le Rectorat dépose un recours contre l’amphi Ghjuv’Battista Acquaviva 5 JANVIER
Le recours déposé le 17 décembre par le recteur Paul Canioni sera examiné par le tribunal administratif de Bastia le 14 janvier. L’Université de Corse a affirmé mercredi être victime d’une « stratégie délibérée de déstabilisation », après le dépôt par le recteur de l’académie, d’un recours en justice visant à faire annuler la délibération qui a donné le nom d’un militant séparatiste à un amphithéâtre de l’IUT de Corte.

ATTENTAT CONTRE LE RECTORAT NOEL FRANCHINI 4 JANVIER

PACE E SALUTE
PACI E SALUTA
CHI L’ANNU NOVE
SIA FATTU DI
L I B E R T À
PER 2005

#Corse – L’associu « Ricordu di Ponte Novu » urganizeghja a cummemurazione di a battaglia di Ponte Novu

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(Unità Naziunale – Publié le 3 mai à 12h01) L’associu « Ricordu di Ponte Novu » urganizeghja a cummemurazione di a battaglia di Ponte Novu di l’8 è u 9 di Maghju di u 1769.

Venite numerosi, in stu ghjornu di memoria, à rende un omaggiu à quelli eroi cascati per a Libertà. Inseme, ramintemu ci a nostra storia è tramandemu la.


– PRUGRAMMA –

– Meziornu : Merendella in piazza di u forti.

– 2 ore di dopu meziornu : Cunfarenza di Don-Mathieu Santini « A fiura imaghjinaria di l’eroi : d’un mondu à l’altru, d’un puteri à l’altru ».

– 6 ore di sera : Messa in lingua corsa, seguitata da una prucessiò sin’à u ponte incù I Naziunali.

– À partesi da 7 ore è mezu di sera : Veghja nustrale cù vitellu arrustitu.

O CORSU ÙN TI SCURDÀ DI A TO STORIA !.


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Les APPELS :

CORE IN FRONTE BASTIA

Marti l’8 di maghju.
Rassemblement à 11h à Bastia

A sezzione Core In Fronte di Bastia, chjama à fà umaggiu à i naziunali chi so cascati in Ponte Novu di pettu à i suldati di u rè di Francia, Louis XV, l’8 di maghju di u 1769.
Chjamemu i bastiacci, à un addunita, à a statula di Pasquale Paoli, carrughju Cesar Campinchi à 11 ore, in memoria di quelli chi ani datu tantu, per a nazione corsa.
Di manera simbolica daremu u nomu « Scalinata Petru Sinoncelli » à issu locu.
U dopu meziornu chjamemu à participà à a cumemorazione di a battaglia, in Ponte Novu.

CORE IN FRONTE
Bastia

Le 8 mai, la section Core in Fronte de Bastia appelle à rendre hommage aux Naziunali qui ont combattu contre les troupes du roi de France, Louis XV à Ponte Novu le 8 Mai 1769.
Nous convions les Bastiais à honorer la mémoire de ceux qui ont tant donné pour la nation Corse avec un rassemblement à 11h avec la présence de l’Associu I Naziunali devant le buste de Pasquale Paoli dans la rue Cesar Campinchi.A cette ocasion nous rendrons hommage à Petru Sinoncelli en nommant symboliquement, « Scalinata Petru Sinoncelli » l’emplacement. Nous appelons dans l’après midi, à participer à la cérémonie de commémoration à Ponte Novu.

CORE IN FRONTE
Bastia

A sezzione


CORE IN FRONTE VALLE DI GOLU

A sezzione VALE DI GOLU di Core in Fronte chjama l’inseme di i naziunali è di i Corsi, à participà à e cermonie di u ricordu, l’ottu di maghju in Ponte Novu, à parte di meziornu.

249 anni dopu à battaglia murtale, ind’è u filu di a storia, u populu corsu lotta sempre pè a so libertà è a so indipendenza di pettu à u culunialisimu francese.

Luttà si chjama a vita!

Strada dritta è core in fronte ò Ghjuventù

Core In Fronte


Ghjuventù Paolina chjama à l’addunita in Ponte Novu stu marti 8 di maghju.

Si tinarà una cummemurazione urganizata da l’associu Ricordu di Ponte Novu pà u ricordu di a battaglia di l’8 di maghju di u 1769, un evenimentu maiò di a storia di u populu corsu. Un prugrama carcu pà ramintà si i fatti storichi compiu incù una messa, una prucessiò è una veghja.

O corsu, ùn ti scurdà di a to storia !
Strada diritta è core in fronte !

#Corse – EH BAI « Analyse du moment politique particulier que nous vivons au Pays Basque »

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(Unità Naziunale – publié le 8 mai à 07h35) De nombreuses avancées ont été opérées dans ce pays en vue d’un arrêt de toute expression violente du conflit, mais celles-ci l’ont été à la fois de manière unilatérale et à sens unique.

Iparretarrak cessa d’abord ses activités, et aujourd’hui ETA rend à son tour publique sa dissolution. À l’heure actuelle, seules les violences émanant des structures des États demeurent. Nous déplorons le fait qu’aucune solution concertée n’ait pu naître entre toutes les parties prenantes du conflit. Toutefois, il est encore temps de trouver puis de concrétiser des accords à même de résoudre définitivement l’ensemble des conséquences de ce dernier. Laisser la situation s’enkyster serait, à l’inverse, irresponsable.

Au long de ces longues décennies de conflit le Pays Basque a connu d’indicibles souffrances, de toute part. Il nous semble indispensable de les prendre toutes en considération, afin de tenter de les apaiser et de favoriser la réconciliation. L’ensemble des victimes du conflit méritent vérité et considération. Les événements ne peuvent être traités de manière univoque. Réfléchir aux causes, aux développements et aux conséquences des expressions violentes du conflit nous paraît nécessaire si nous voulons réconcilier la société basque.

L’opportunité nous est offerte d’avancer concrètement dans la résolution des conséquences du conflit. À la suite de la journée du désarmement le 8 avril 2017, s’était ouvert un espace de dialogue entre les représentants du gouvernement français et ceux de la société du Pays Basque nord, et les premiers rapprochements de prisonniers s’étaient opérés. Bien que modestes, ces premiers pas du gouvernement français sont à applaudir. Néanmoins de l’avis d’EHBAI, au lendemain de la dissolution d’ETA, bien au-delà de mesures de rapprochement c’est bien la voie vers un retour à domicile de tous les prisonniers et réfugiés politiques basques qui doit désormais s’ouvrir.

Le conflit n’apparut pas avec la naissance d’Iparretarrak et d’ETA, de même ne s’achève-t-il pas avec leur dissolution. Il germa d’une violente situation d’oppression vécue par le Pays Basque. Ainsi que le disait de Gaulle, « la France fut faite à coups d’épée ». Et depuis le bombardement de Gernika, aucune génération ne vécut au Pays Basque sans connaître le conflit.

Afin de ne pas en voir de résurgence à l’avenir, le conflit basque doit absolument être résolu dans ses fondements, en éteignant définitivement les braises qui y fument encore. En ce sens, la dissolution d’ETA offre de nouvelles opportunités de construction d’une issue démocratique définitive au conflit politique et à la violence que subit le Pays Basque.

Notre choix est celui de la démocratie. Entre loi et démocratie, c’est au respect de la parole du peuple que nous donnons la priorité. Nous revendiquons le vivre-ensemble démocratique, par lequel toutes les options politiques, y compris celle de l’indépendance, puissent être librement envisagées.

Le nouveau panorama qui se présente au Pays Basque nous réjouit. Une nouvelle fenêtre s’est ouverte sur l’espoir. C’est le moment d’agir de manière responsable. EHBAI mettra toutes ses forces à contribution pour que cette occasion ne soit pas manquée, et pour que se construise une paix juste et durable au Pays Basque. Nous le devons aux nouvelles générations.

EH BAI

#Corse – Palestine : Plus de 1.000 manifestants blessés vendredi dernier à Gaza

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(Unità Naziunale – publié le 8 mai à 08h55) Vendredi deenier, des milliers de Palestiniens se sont rendus dans cinq endroits différents le long de la frontière entre l’est de la bande de Gaza et Israël, ont brûlé des pneus et affronté les soldats israéliens stationnés à la frontière.

Plus de 1.000 d’entre eux ont été blessés par balles réelles, balles de métal recouvertes de caoutchouc, shrapnel et gaz lacrymogène. Ce sixième vendredi consécutif de mobilisation fait partie des rassemblements sous le nom de « la Grande marche du retour » qui a commencé le 30 mars et qui devraient se poursuivre jusqu’au 15 mai, jour de la Nakba ou « Jour de la Catastrophe ».

Jean Rossi (C&C S.R.)

#Corse #PonteNovu – « L’OTTU DI MAGHJU, O CORSU UN TI SCURDA DI A TO STORIA »

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(article hebdomadaire #FilRougeDeLaRédaction)

Le 8 et 9 mai [www.unita-naziunale.org] : Contrairement à une idée reçue, la guerre entre la France et la Corse ne s’est pas terminée le 9 mai 1769. La résistance corse a continué pendant de nombreuses années.

ponte Novu 2009mai9Borgu

Ce 8 mai 2018 se tiendra une commémoration de la bataille de Ponte Novu :


Voici quelques dates et détails de cette résistance corse et de l’oppression française :

Notre pays est occupé depuis plus de deux siècles

Le 13 juillet 1755, Pasquale Paoli est élu chef de la nation corse. II donne à la Corse une Constitution démocratique, trente-quatre ans avant la Révolution française de 1789. Ainsi, durant quatorze ans, la Corse va être une nation indépendante ou le peuple participe au pouvoir. Cette indépendance c’est l’aboutissement de nombreuses années de luttes entamées par notre peuple contre l’occupant génois.

Malheureusement, le 15 mai 1768, Gènes demande à la France d’occuper militairement la Corse et d’y demeurer jusqu’au remboursement par Gènes dune somme de deux millions de livres a la France. Le peuple corse est vendu comme du vulgaire bétail.

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LA SUITE DE L’HISTORIQUE (PHOTOS) SUR CE LIEN

 

Le Fil Rouge de la Rédaction

A l’heure des réseaux sociaux et des partages aléatoires d’informations sur Facebook et Twitter (68000 abonnés), les articles ne peuvent pas atteindre l’ensemble des abonnés lors d’une seule publication, les réseaux sociaux ayant décidé de fonctionner en vase clot. C’est pourquoi toutes les semaines, les articles, les plus importants ou lus de la semaine, de l’année ou des années précédentes sont republiés. D’avance nous sommes désolé pour cette répétition, mais c’est pour la bonne cause.

#Corse @ARRITTI – « Un visa pour Karama ! » cc @Lagassejj #UnVisaPourKarama #C2ARI

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(Unità Naziunale – publié le 8 mai à 14h55)  «Depuis toujours, la Corse s’est illustrée dans l’Histoire lorsqu’il s’est agi de faire progresser le principe des Droits de l’Homme ».

Agnès Rogliano Desideri est maman d’un petit Congolais, l’adoption, elle en sait toutes les joies et aussi tout le parcours difficile pour y parvenir. C’est sous son impulsion qu’est né il y a un an le Collectif Cari, pour l’adoption sans racisme institutionnel.

En effet, on trouve dans des documents très officiels et particulièrement dans des documents de services administratifs dont la mission est la protection de l’enfance, des rédactions choquantes, dont l’ambiguïté prête à interprétation. On peut lire ainsi dans les Référentiels ministériels «si les candidats ne se sentent pas prêts à accueillir un enfant de couleur, il peut être fait recours aux termes « ouvert à l’accueil d’un enfant qui leur ressemble »… Cette rédaction tendancieuse se traduit hélas trop souvent par des appréciations racistes. Il est en effet courant de lire sur des dossiers de postulants à l’adoption que ceux-ci n’acceptent pas «d’enfant noir » et/ou «d’origine africaine » et/ou «d’origine maghrébine »… Près de 500 personnalités de toutes tendances politiques ou de la société civile en Corse ont adhéré au Collectif Cari. Nos députés au Palais Bourbon, notamment, s’emploient à ce que ces textes soient clarifiés.

#Corse @FemuACorsica et @Corsica_Libera demandent la délivrance d’un visa pour #Karama 2 ans cc @Lagassejj #UnVisaPourKarama #C2ARI

C’est ainsi que l’existence du combat de ce collectif a attiré l’attention des époux Lagasse, résidant à Metz.

Hinda et Nicolas Lagasse sont parents d’un petit garçon, Karama, adopté à Djibouti il y a exactement 548 jours, un an et demi !

Malheureusement leur famille est déchirée car ils ne parviennent pas depuis lors à obtenir un simple visa de l’administration française pour le ramener en France.

Le cas de Karama Lagasse ne relève pas proprement du racisme, du moins on l’espère.

À dire vrai, il est difficile de comprendre pourquoi ce visa est refusé car aucune raison ne peut être valable. En effet, en matière d’adoption, l’intérêt supérieur de l’enfant doit toujours prévaloir. En clair, lois et règlement doivent s’adapter pour protéger l’enfant.

Or, à trois reprises, le visa de l’enfant a été refusé, à chaque fois pour des raisons différentes et toutes aussi incompréhensibles les unes des autres. Il a été ainsi fait référence à la religion musulmane de l’enfant, alors que Karama n’avait pas encore deux ans… puis il a été reproché une demande mal formulée et, plus récemment, on a battu des records avec un rejet en quatre points où il est notamment reproché à Karama, deux ans et demi, de n’avoir pas «fourni la preuve » qu’il disposait de «ressources suffisantes » pour couvrir ses frais de séjour… de ne pas disposer «d’une assurance-maladie adéquate et valable »… d’avoir des intentions de «maintien illégal en France » pour y mener «des activités illicites »… d’avoir fourni des informations non fiables.

On marche vraiment sur la tête ! Rappelons l’histoire de Karama, parfaitement connue des services de l’Ambassade.

Abandonné sur une plage alors qu’il n’était qu’un nourrisson, sans filiation biologique connue, il est placé en orphelinat jusqu’à ce que sa maman adoptive, qui dispose de la double nationalité franco-djiboutienne, et son papa, qui est français, découvrent son histoire et décident de l’adopter. Tout se passe bien avec les autorités djiboutiennes.

Une première décision judiciaire est rendue le 16 novembre 2016 par le Tribunal de statut personnel de première instance de Djibouti, qui avait permis d’obtenir un passeport en règle sur lequel il porte le nom de ses parents. Dès lors, il était en droit d’obtenir le visa. Une autre décision le 3 avril 2018, prononcée par la Chambre civile du tribunal de première instance de Djibouti, a accordé l’adoption plénière, c’est-à-dire irrévocable.

Hinda et Nicolas Lagasse sont définitivement et légitimement les parents de Karama.

Pourquoi donc le visa est-il toujours refusé et sur des prétextes fallacieux ? Pourquoi n’est-il pas indiqué aux parents la marche à suivre pour l’obtenir, alors qu’ils n’ont cessé de se mettre à la portée de toutes les demandes de l’administration pour y parvenir ? Ainsi, la dernière demande (un visa de long séjour) a été formulée sur les conseils de Monsieur Denis Barbet, président de la Mission de l’adoption internationale par l’intermédiaire de Monsieur Jean-Marie Colombani, sans doute l’un des plus éminents spécialiste de l’adoption en France. La suite on la connaît.

Les mois passent et Karama ne peut vivre aux côtés de ses parents. La maman vient souvent à Djibouti pour voir son enfant, mais elle doit repartir ensuite, sans lui. Imagine-ton le déchirement vécu par le petit enfant lorsqu’il voit repartir sa mère, le laissant en orphelinat. Que peut-il comprendre à cette situation inhumaine ?

«Karama est le fils légitime de Nicolas et Hinda Lagasse. Une adoption plénière irrévocable a été prononcée, une demande d’exequatur de ce jugement est en cours et il relève de l’intérêt supérieur de l’enfant de vivre auprès de ses parents de manière urgente. Il semble difficile de faire plus complet et plus fiable comme dossier ! » dénonce le Collectif Cari.

L’Assemblée de Corse, saisie par les groupes Femu a Corsica et Corsica Lìbera qui se sont émus du sort de cet enfant, a adopté ce 28 avril une motion à l’unanimité qui «demande que soit accordé sans plus attendre un visa à l’enfant pour qu’il puisse quitter Djibouti et vivre pleinement sa vie d’enfant auprès de ses parents ». Un acte certes symbolique mais qui a son poids politique, du moins on l’espère pour l’enfant, et qui honore notre assemblée, car elle relève du même humanisme qui par le passé a fait de la Corse une « île des justes ».

Fabiana Giovannini sur ARRITTI

#Corse – @CampanaDume entame sa grève de la faim devant AXA à Calvi

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(Unità Naziunale – Publié le 8 mai 2018 à 15h39) « Chose promise, chose due », Dominique Campana l’avait annoncé sur ses comptes sociaux, il entame sa grève de la faim ce 8 mai.

En conflit avec sa compagnie d’Assurance AXA et EDF depuis le mois d’août 2015, à la suite d’un dégât électrique sur ses fours de production en fusion, l’empêchant faute d’indemnisation de reprendre son activité, le verrier Dominique Campana installé à Calvi avait annoncé sur les réseaux sociaux qu’il allait le 8 mai entamer une grève de la faim devant l’agence locale AXA de sa compagnie d’assurance.

Pour Dominique Campana, « EDF est responsable pour les dommages mais la perte d’exploitation qui perdure depuis 33 mois est de la responsabilité d’AXA qui n’a pas indemnisé le sinistre dès le départ en chipotant sur les causes. »

Action de soutien de Core In Fronte à Calvi devant l’agence Axa pour soutenir Dominique Campana

Suivre sa grève de la faim sur son compte Twitter 

Core In Fronte s’est positionné en mai 2018 pour lui apporter son soutien, ainsi que la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de la Haute-Corse. Fin mars 2018, le président de l’Assemblée de Corse, Jean-Guy Talamoni les a contactés, les assurant de son soutien et promettant d’étudier leur dossier.

 


Revue de Presse

(Corse Matin) (France 3 Corse) (Corse Net Infos) (Corse Net Infos)


D’autres soutiens sur les réseaux sociaux depuis le 8 mai 2018

 

 


Avant la grève de la faim

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Suite à la Perquisition dans les locaux de l’Université de #Corse, son Président, Paul-Marie Romani communique

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(Unità Naziunale – publié le 9 mai à 14h19) « Une perquisition a été menée le vendredi 4 mai dans les locaux de l’Université de Corse suite à une information judiciaire ouverte concernant une présumée fraude aux examens dont ni la nature ni les circonstances n’ont été communiquées à la Présidence.

Le secret de l’instruction obligeant l’ensemble des parties, l’Université est dans l’attente de connaître le résultat des investigations en cours.

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Le Président tient à préciser que cette enquête ne concerne pas l’intégralité des nombreux examens organisés par l’établissement chaque année.

L’Université de Corse tient évidemment à ce que toute la lumière soit faite ».

Président de l’Université de Corse, Paul-Marie Romani

#Corse – Bombages « A Francia Fora » contre la procureure de la République de Bastia

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(Unità Naziunale – Publié le 10 mai 2018 à 15h50) « A Francia Fora, I Francesi Fora, Libertà, LLN, la valise ou le cercueil« . Les bombages traditionnels des années 80 resurgissent sur la devanture du Tribunal de Grande Instance de Bastia.

(France 3 Corse) (Corse Net Info) (Corse Matin) (RCFM)

Après le bombage contre la fonctionnaire de la Collectivité de Corse le 10 avril dernier, c’est la deuxième action à la bombe de peinture depuis le début de l’année.

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Des messages hostiles à Caroline Tharot ont été découverts, jeudi matin, sur un mur du TGI de Bastia. Le parquet a ouvert une enquête pour « menaces de mort ».


Ces bombages ne vont pas manquer de faire réagir la classe politique traditionnelle.

#Corse Liberté d’expression du Peuple Kanak : bâillonnée ! Indépendantistes et Nationalistes en gardes à vue !

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(Unità Naziunale – Publié le 10 mai 2018 à 16h18) C’est le site Bretagne.info qui a publié le témoignage d’une Bretonne vivant en Kanaly lors de la visite du Président Macron il y a quelques jours dans ce pays. Militante au sein du Parti Travailliste Kanaky, une des composantes indépendantistes, elle a fait partie des gardés à vue. 30 ans après le massacre colonialiste à Ouvea la répression coloniale française continue…

Voici un extrait de son témoignage, retrouvez l’intégralité de l’article sur ce lien


A Nouméa, le 7 mai 2018

Un vent de censure a soufflé lors de la venue d’Emmanuel Macron, ce vendredi 4 mai 2018, dans le quartier de Pierre Lenquette, à Nouméa, capitale de la Kanaky (colonialement appelé Nouvelle-Calédonie).

Bien loin des quartiers aisés et européanisés du sud de la ville, ce quartier est le reflet de l’apartheid social et colonial où la dure réalité de la vie quotidienne des Kanaks est omniprésente : discrimination à l’emploi, difficulté à se loger, vie chère, emploi local non respecté. Les maires successifs de la droite coloniale ne se sont jamais souciés d’améliorer les infrastructures environnantes des logements sociaux du quartier de Pierre Lenquette, sauf en ce jour de la venue d’Emmanuel Macron pour lequel il vient découvrir la zone pilote de la police de sécurité au quotidien : quartier nettoyé, maison de quartier repeinte, tags effacés, débroussaillage, élagage.

Tous y est pour que la communication de Macron y soit resplendissante.

La colère de la population contre sa venue doit rester dans l’ombre. L’Histoire tachée de sang depuis la prise illégale de possession du pays par la France en 1853 ainsi que le désir d’indépendance à moins de six mois du référendum sont censurées : sacs fouillés, banderoles saisies, snipers aux derniers étages des bâtiments sociaux. La tension est palpable de la part des policiers, du service d’ordre et des RG présents.

Suite

#Corse « La @LDHCorsica préconise une amnistie fiscale pour les prisonniers politiques corses » sur @Alta_Frequenza

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(Unità Naziunale – Publié le 10 mai 2018 à 16h58) (Frédéric Bertocchini – Alta Frequenza) – La Ligue des Droits de l’Homme se félicite de la motion adoptée par l’assemblée de Corse qui lors de sa dernière session d’avril, dénonçait le fichage FIJAIT de militants nationalistes poursuivis ou condamnés dans le cadre de l’antiterrorisme.

Les amendes infligées à leurs encontre ont pour conséquence, selon la LDH, une précarisation de ces anciens prisonniers, ainsi que de leur famille.

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La Ligue des Droits de l’Homme préconise ainsi une amnistie fiscale qui pourrait prendre la forme d’un effacement des amendes.

#Corse Procès de patriotes corses en juin, l’appel à soutien de @Sulidarita

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(Unità Naziunale – Publié le 10 mai 2018 à 17h53Un procès de 9 militants corses se tiendra du 11 au 22 juin 2018 pour des faits remontant à 2012, soit 2 ans avant le dépôt des armes du FLNC UC.


 » Du 11 au 22 juin prochain, la cour d’assises spéciale de Paris jugera neuf militants pour leur participation « supposée » à divers degrés à une série d’attentats commis dans les nuits du 10 au 11 mai (une trentaine d’attentats à l’explosif commis en mai sur l’île contre 17 résidences appartenant à des « non corses », revendiqués le 2 juin par le FLNC UC) et du 7 au 8 décembre 2012 (Cette nuit-là, une vingtaine d’attentats avaient touché des résidence secondaires en Corse dans la nuit du 8 décembre 2012), contre des résidences secondaires dans le Valinco. Les attentats n’avaient occasionné que des dégâts matériel. Ils avaient été revendiqués par le FLNC UC, toujours actif alors, au nom de « la lutte contre la spéculation immobilière ».

Le FLNC a déposé les armes le 14 juin 2014. Mais si le FLNC a déposé les armes 18 mois après les faits visés, la répression n’a pas cessé pour autant. Les services policiers et judiciaires n’en ont pas pour oublié les suspects qu’elle avait dans le collimateur. Et ce alors que de nombreuses interpellations avaient toujours lieu, notamment dans les milieux de la jeunesse nationaliste…

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Pendant quatre ans, trois juges d’instruction parisiens ont planché sur l’affaire, appuyant leur enquête sur des écoutes téléphoniques et des sonorisations de véhicules et de commerces. Pour mettre au jour, selon la vision de l’accusation, « une association de malfaiteurs en vue de commettre des actes de terrorisme », un réseau de « trafic d’armes » et de préparation d’engins explosifs.

Voici l’appel à soutien de l’Associu Sulidarità :

 

 Anu bisognu di Voi !

“ Cari cumpatriotti, l’Associu Sulidarità s’adresse à vous à l’occasion d’un événement particulier nécessitant un effort particulier de soutien populaire aux militants aux prises avec l’appareil judiciaire français. Du 11 au 22 juin prochain se tiendra à Paris le procès de 9 de nos frères poursuivis pour des faits en relation avec la situation politique de la Corse.

Tous comparaissant libres, les frais s’annoncent colossaux, excédant largement les possibilités habituelles de l’Associu. Hébergement des militants, de leurs familles et de leurs avocats durant 10 jours à Paris, frais de transports, nourriture …. Sulidarità fait donc, une fois de plus, appel à votre générosité militante, à votre conscience politique, à votre esprit patriotique. Votre don, même minime, sera une participation à un effort collectif qui apportera à nos frères un soutien matériel concret, mais aussi moral dans cette épreuve que constitue toujours un procès politique.

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« Per avè pensatu corsu » ces 9 militants seront en première ligne face à l’appareil répressif colonial.

Anu bisognu di voi, di u vostru sustegnu, di a vostra Sulidarità ! Aiutateli !”

Si vous souhaitez faire un don :
– Par chèque libellé au nom de l’Associu Sulidarita
Adresse : 19 rue Paul Colonna d’Istria. 20090 Ajaccio  »

Source


#Corse Aider financièrement @Sulidarita, c’est aider les familles et les prisonniers politiques

 

#Corse « Une nouvelle ère commence pour la lutte du peuple basque »

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(Unità Naziunale – Publié le 10 mai 2018 à 18h54 » ETA a décidé de mettre fin à son cycle historique et a dissous complétement toutes ses structures » : la déclaration d’ETA à travers une vidéo rendue publique au Centre Henri Dunant pour le Dialogue Humanitaire à Genève, siège de la Croix Rouge, signe la fin d’une époque.

 » Cette ultime décision, nous l’avons adoptée pour favoriser une nouvelle étape historique. ETA est née du peuple et à présent elle se dissout en lui. »

Ainsi se conclut la communication qui met un point final à une Histoire commencée le 31 juillet 1959, en plein franquisme. Une page de l’Histoire du peuple basque s’est tournée ce 2 mai 2018. Mais le combat d’Euskal Herria, la nation basque aux sept provinces, trois dans la Communauté Autonome (Gipuzkoa, Biskaia, Araba), la Navarre (Nafarroa) et trois en France (Labourd/Lapurdi, Basse Navarre/Benaffaroa, Soule/Zuberoa) continue pour la reconnaissance des droits du Peuple basque en Europe.

La fin d’ETA est à l’ordre du jour depuis 2010, date d’un  » cessez-le-feu » décidé par l’organisation clandestine qui, depuis ce jour n’avait plus repris les armes avant de se dissoudre définitivement huit ans plus tard. En 2011, la Conférence d’Aiete avait mobilisé tout un comité international autour de personnalités fortes et incontestables comme Kofi Annan, ancien Secrétaire général de l’ONU, Brian Currin, expert des questions internationales impliqué dans la gestion de la réconciliation post-apartheid en Afrique du Sud, l’ancien ministre français de l’intérieur Pierre Joxe, et plusieurs personnalités qui avaient joué un rôle éminent dans la solution du conflit en Irlande du Nord trois ans plus tôt : les dirigeants du Sinn Fein, dont Gerry Adams, le Président de l’Irlande au moment de la signature des accords du vendredi saint en 1998, Bertie Ahern, et celui qui avait mené cette négociation au nom de l’État britannique, en tant …

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#Corse Foire de la Saint Pancrace à Ajaccio: Vente de produits en soutien aux prisonniers politiques

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(Unità Naziunale Publié le 14 mai 2015 – actualisé) Comme tous les ans, ou presque, l’Associu Sulidarità sera ce week-end présente lors de la foire de la Saint Pancrace à Aiacciu, à la place Abbatucci.

Les nouveaux, comme les anciens produits, seront en vente pendant 4 jours afin d’aider les prisonniers politiques et leurs familles.

sulidaritasourireajaccio

L’Associu Sulidarità continue de gérer une liste de prisonniers politiques (7), qu’il faut soutenir, soit en envoyant un mandat mensuel, soit en participant en frais d’avocats, mais pas que. Des procès (lien) arrivent dans les prochains mois… 

Pendant trois jours donc, vous trouverez les bénévoles de l’Associu, ainsi que les produits et la pétition « Amnistia », entre autre chose, place Abbatucci à Ajaccio. (Vendredi, samedi, dimanche et lundi inclus)

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Oghje più che mai avemu bisognu di voi, ch’ella sia  1€ ò 20€ ogni soldu compta ! I patriotti n’anu bisognu, è e sò famiglie dinù !

Anciens produits…

ConfPresseSulidaritaPaoli19AvrilAmnistia (5)

Autocollant 2015

autocollantSulidarita2015

I Scrianzati


#Corse Liste de @Sulidarita : 7 prisonniers politiques, dont 5 à Borgu + 8 libérés sous contrôles judiciaires

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#LeFilRougedelaRédaction

Voici la liste actualisée (MAI 2018) des prisonniers politiques pris en charge par l’Associu Sulidarità. Pour chaque patriote corse incarcéré, l’Associu doit trouver les moyens de financement minimal de 200€ de mandat par prisonnier et par mois, ainsi que 6000€ par dossier et prisonnier. Si vous voulez aider l’Associu Sulidarità sans bouger de chez vous, c’est ici que cela se passe (lien) (Il y a d’autres prisonniers politiques pris en charge par d’autres associations, ou sans association, chaque avancée obtenue par Sulidarità concerne l’ensemble des prisonniers politiques par répercussion directe, NDLR corsicainfurmazione.org)


Maison d’arrêt de Fleury-Mérogis, 7 Avenue des Peupliers, 91700 Fleury-Mérogis

Franck Paoli, Numéro écrou 438982 bat D1, 35 ans, né le 25 juillet 1982,Interpellé le 12 septembre 2017 , recherché depuis 2014, Restaurateur, originaire de Pastricciola. Incarcéré le 14 septembre 2017 à Fleury Mérogis en préventive.


CP Sud Francilien CNE le Plessis Picard Réau . 77558 Moissy Cramayel

alessandri petru
Alessandri Pierre n°écrou 9845 cell 115 56 ans, Interpellé le 21/22 mai 1999, condamné à Perpétuité le 11 juillet 2003, cultivateur, 2 enfants et 3 petits enfants


Centre pénitentiaire de Borgu lieu dit Canavaggio BP16 20290 Borgo cedex

NicolasBattiniGhjuventuIndipendentista
CENTRE PENITENTIAIRE DE BORGU LIEU DIT CANAVAGGIO BP 16 20290 BORGU

Battini Nicolas n°écrou 83886 23 ans, interpellé le 27 mai 2013, en préventive, né en 1994, Etudiant, originaire de Corti (transfert à Fresnes pour le procès du 28 septembre au 7 octobre 2016) condamné à 8 ans de prison.  rapproché en Corse le 17 novembre #Borgo

verdighjiseppumaria19ans
CENTRE PENITENTIAIRE DE BORGU LIEU DIT CANAVAGGIO BP 16 20290 BORGU

Verdi Ghjiseppu Maria, N°écrou 9911, 24 ans, incarcéré le 19 octobre 2016, né le 20 octobre 1993, étudiant, recherché depuis 2013, condamné à 6 ans de prison le 6 octobre 2016

charles_santoni
CENTRE PENITENTIAIRE DE BORGU LIEU DIT CANAVAGGIO BP 16 20290 BORGU 

Santoni Charles n°écrou7233 52 ans, Interpellé en avril 1996, condamné à 28 ans de réclusion criminelle le 25 novembre 1999,  libérable en 2019


Antoine PES écrou 10507 interpellé en octobre 2015, incarcéré, en préventive, rapproché le 23 février 2018


Courbey Cedric, , 41 ans, Interpellé le 4 avril 2014 à Sartè. en préventive, 2 enfant, éleveur, originaire de Lucciana, rapproché le 28 février 2018

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LIBERATION, ASSIGNATION A RESIDENCE, SOUS CONTROLE JUDICIAIRE, LIBRE

PozzodiBorgoPascal
Jean Jacques « Pascal » Pozzo Di Borgo écrou 10508 37 ans, interpellé le 6 octobre 2014, incarcéré le 10 octobre 2014, 2 enfants, en préventive, rapproché le 23 février 2018. Libéré sous bracelet électronique le 9 avril 2018. Toujours dans l’attente d’un procès

cyril
Garcia­ Tomasi Cyril n°écrou 54587 31 ans, Interpellé le 23 novembre 2013, en préventive. Né le 30 juin 1987, originaire de Grossa, Valincu, employé municipal.  libéré sous contrôle judiciaire assigné à résidence en Corse le 23 novembre 2016

xavier
Ceccaldi Xavier n°écrou 407956 assignés à résidence en Corse agé de 33 ans, Interpellé le 23 novembre 2013, en préventive, né le 16 juillet 1985, originaire d’ULMETU, libéré sous contrôle judiciaire assigné à résidence en Corse le 23 novembre 2016

laurent
SUSINI LAURENT n°écrou 407955 27 ans, 30 ans Interpellé le 23 novembre 2013, en préventive, né le 28 janvier 1988, originaire de Sartè. libéré sous contrôle judiciaire assigné à résidence en Corse le 23 novembre 2016

marc
Ganu Marc n°écrou 16876 à meaux 50 ans, Interpellé le 23 novembre 2013, en préventive, né le 15 février 1968, 5 enfants, originaire de SARTE est libéré provisoirement le 11/12 août avant son passage le 16 devant la chambre d’instruction qui a décider de sa ré-incarcération le jour même. Libéré de nouveau le 30 septembre 2016 sous contrôle judiciaire, dans l’attente d’un procès

PierrePaoli
Pierre Paoli N°Ecrou 42656 cell 127c 65 ans, né le 19 mai 1953, interpellé le 16 février 2015, écroué le 19 février 2015, en détention provisoire, Il a été libéré sous contrôle judiciaire simple, assigné à résidence dans les ALPES MARITIMES. Il devra pointer deux fois par semaine au commissariat de NICE à partir du 3 octobre le 30 septembre 2016, dans l’attente d’un procès. Rapproché en Corse le 23 novembre 2016.

emmanuel
Peru Emmanuel, dont le numéro d’écrou était 32950, est agé de 37 ans, il avait été interpellé le 23 novembre 2013, il était en préventive depuis environ trois ans à la Maison d’arrêt de Villepinte dans le 93. Né le 23 janvier 1981, il a deux 2 enfants, avant son incarcération il était employé. Libération acceptée puis refusée en aout 2016, pour être finalement acceptée le 16 septembre 2016, libéré sous contrôle judiciaire dans l’attente d’un procès

CesariJEanPAscalCorsicaLibera
Cesari Jean Pascal écrou 975031 63 ans, Interpellé le 6 juin 2014, en préventive, 1 enfant, originaire d’Ulmetu, retraité. Assigné à résidence sur Paris dans la soirée du 25 au 26 septembre 2015 contrôle judiciaire, levée d’assignation à Résidence le 4 octobre, il peut rentrer en Corse le 8 octobre, sous contrôle judiciaire il signe deux fois par semaine. (16 mois d’incarcération, 12 mois d’assignation à résidence)

JeanMariePittiloni2016
Pittilloni jean marie 28 ans, Interpellé en avril 2008, incarcéré le 25 avril 2008, condamné à 12 ans de prison le 3 juillet 2012, né le 21/10/87 à Aix En Provence. Originaire de Bastelicaccia. 1 enfant, rapproché en Corse en décembre 2014. Libéré sous contrôle judiciaire avec bracelet électronique le 29 septembre 2016 pour finir sa peine

Contadini paul andré 2005
Contadini paul andré en 2005

Contadini Paul- André n°écrou 9513 34 ans, Interpellé le 12 décembre 2012, condamné à 4 ans de prison le 13 mai 2014. Affaire reprise par un juge non sdat. Condamné à 5 ans sur le dernier procès. Peine confirmé de 7 ans, pourvoir en cassation rejeté, fin de peine septembre 2018, Transféré à Borgu Novembre 2015. originaire de Bastia, ouvrier du BTP. Libéré sous bracelet électronique fin décembre. Fin de peine Février 2018

sampieruAndreani
Andreani Sampieru n°écrou 9288 30 ans, Interpellé le 15 avril 2011 , condamné à 8 ans de prison le 3 juillet 2014, originaire de Cuttoli, animateur culturel, transféré début juin 2015 à Borgu, libéré le 9 aout 2016. A effectué sa peine, libre

PaulIstria
CENTRE PENITENTIAIRE DE BORGU LIEU DIT CANAVAGGIO BP 16 20290 BORGU Istria Paul n°écrou 8124 57 ans, Interpellé le 7 juillet 2008, condamné à 12 ans de prison le 3 juillet 2012 (né le 30/12/58 à Ajaccio), Originaire de MOCA-CROCI, 2 enfants. Libéré le 9 février 2017, A effectué sa peine, libre

Nasica
Nasica joseph n°écrou 9035 35 ans, Interpellé fin avril 2008, incarcéré le 25 avril 2008, condamné à 12 ans de prison le 3 juillet 2012, Né le 20/06/80 à Ajaccio, Originaire de PIEDICORTI et de  PIETROSU, rapproché en Corse en Novembre 2014, Libéré le 14 avril 2017, A effectué sa peine, libre

MARANELLI200401
CENTRE PENITENTIAIRE DE BORGU LIEU DIT CANAVAGGIO BP 16 20290 BORGU Maranelli Didier n°écrou 7415 58 ans, Interpellé le 21/22 mai 1999, condamné à 25 ans de prison  le 11 juillet 2003, comptable, 1 enfant, Libéré en mars 2017, (le 14) fin de peine

tomasiniPP
CENTRE PENITENTIAIRE DE BORGU LIEU DIT CANAVAGGIO BP 16 20290 BORGU

Tomasini Stefanu, Écrou n 989033 division 2 interpellé le 27 mai 2013, 24 ans, en préventive, libéré sous contrôle judiciaire le 12 février 2016 et assigné à résidence sur paris, en procès du 28 septembre au 6 octobre. Condamné à 5 ans de prison, réincarcéré à la fin du procès, rapproché en Corse le 17 novembre #Borgo. Libéré le 18 juillet 2017, Fin de peine

#Corse 10 prisonniers politiques dont 5 à Borgu, des assignés à résidence, des recherchés… Fijait… #Demucrazia

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Comme tous les ans ou presque depuis 2012, voici la liste non exhaustive des prisonniers politiquesListe dont les adresses carcérales et les numéros d’écrous sont à jour (MAI 2018), il y a des patriotes recherchés, d’autres assignés à résidence, des libérés sous contrôle judiciaire, des mises en examen depuis l’affaire Erignac, et surement quelques uns non listés, sans parler des anciens prisonniers politiques fichés S, tout comme les nouveaux (:/)Il y a aussi quelques renseignements sur le coût financier des familles lors d’un déplacement, et des informations personnelles pour ne pas oublier qu’ils sont avant tout, des pères, des enfants, des parents, des socios professionnels, des amis, des collègues de travail, des patriotes corses qui, aujourd’hui ne sont toujours pas libérés.

I Scrianzati

(Article mis à jour en fonction de l’actualité)

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Centre pénitentiaire de Borgu

lieu dit Canavaggio BP16 20290 Borgo cedex

NicolasBattiniGhjuventuIndipendentista
Battini Nicolas n°écrou 83886 21 ans, interpellé le 27 mai 2013, en préventive, né en 1994, Etudiant, originaire de Corti (transfert à Fresnes pour le procès du 28 septembre au 7 octobre 2016) condamné à 8 ans de prison.  rapproché en Corse le 17 novembre #Borgo

verdighjiseppumaria19ans
Verdi Ghjiseppu Maria, N°écrou 9911, 23 ans, incarcéré le 19 octobre 2016, né le 20 octobre 1993, étudiant, recherché depuis 2013, condamné à 6 ans de prison le 6 octobre 2016

charles_santoni
Santoni Charles n°écrou7233 52 ans, Interpellé en avril 1996, condamné à 28 ans de réclusion criminelle le 25 novembre 1999,  libérable en 2019


Antoine PES écrou 10507 interpellé en octobre 2015, incarcéré, en préventive, rapproché à Borgu le 23 février 2018


Courbey Cedric, 41 ans, Interpellé le 4 avril 2014 à Sartè. en préventive, 2 enfant, éleveur, originaire de Lucciana, rapproché à Borgu le 28 février 2018


VILLEPINTE

Maison d’arrêt de Villepinte Avenue Vauban 93422 Villepinte cedex


Serge Poilblan
Écrou 36505

Incarcéré depuis juin 2015


Unité Centrale d’ARLES

– BP 90241 – 13637 ARLES CEDEX
Distance : 450KM A/R Cout du voyage pour 1 heure et demie de visite : 460 €
AVION  (150€) TRAIN 30 €+ TAXI MARIGNANE MARS A/R 100 € 2 nuits d’hôtel 120€ 4 repas 60€

yvancolonnaLogoSiteofficiel
Yvan Colonna N° écrou 270/Batiment A/Cellule 116
55 ans, interpellé en juillet 2003, condamné à perpétuité, La cour le condamne le 13 décembre 2007 à la réclusion criminelle à perpétuité en première instance, 2009 Yvan Colonna est condamné à la réclusion criminelle à perpétuité assortie d’une période de sûreté de 22 ans. Libérable en 2021

Plusieurs demandes de rapprochement à Borgo et Casabianda effectuées et systématiquement refusées.

Vous pouvez aidez Yvan Colonna en vous rendant sur ce lien


FRESNES

Centre pénitentiaire de Fresnes CNO 303 allée des Thuyas 94260 Fresnes

 


Centre Pénitentiaire du Sud-Francilien Réau  CNE le Plessis Picard Réau . 77558 Moissy Cramayel

 

alessandri petru
Alessandri Pierre n°écrou 9845 cell 115 56 ans, Interpellé le 21/22 mai 1999, condamné à Perpétuité le 11 juillet 2003, cultivateur, 2 enfants et 3 petits enfants


POISSY

Maison centrale de Poissy 17 rue de l’abbaye 78300 Poissy

FerrandiAlanu

Écrou 11477 – 4D62

Alanu Ferrandi
54 ans, interpellé le 21/22 mai 1999, condamné à Perpétuité le 11 juillet 2003, originaire de CONCA, 1 enfant. 
Plusieurs demandes de rapprochement à Borgo et Casabianda effectuées et systématiquement refusées. Alain Ferrandi a quitté en décembre 2017 la centrale de Poissy (Yvelines) où il était incarcéré, pour rejoindre une autre prison, le centre pénitentiaire de Fresnes (Val-de-Marne), où il va intégrer un « centre national d’évaluation ». Là, pendant six semaines, il restera sous observation, notamment par des psychiatres. Le prélude à un long parcours au terme duquel un tribunal d’application des peines décidera d’accorder ou de refuser sa demande.  Il s’agit de démarches préalables à une éventuelle libération conditionnelle.


FLEURY MEROGIS

7,avenue des peupliers 91705 Ste Geneviève des bois cedex
Distance : 1800 KM A/R : Cout du voyage pour 1 heure et demie de visite : 500 €
AVION AJA ORLY (250€) TAXI a/r 70€ (RER incompatible avec horaire parloir) 2 nuits d’hôtel 120€ 4 repas 60€

Franck Paoli, , Numéro écrou 438982 bat D1, 35 ans, Interpellé le 12 septembre 2017 , recherché depuis 2014. Incarcéré le 14 septembre 2017 à Fleury Mérogis en préventive.


Libérés et/ou assignés à résidence, sous contrôle judiciaire / Procès à venir

BenedettiFelix
Benedetti Félix n° écrou 967 709 D2 cellule 496, interpellé le 6 mars 2013, toujours en préventive , assigné à résidence début septembre 2015, assignation levée le 28 février 2017, de retour en corse le 3 mars 2017, procès le 1er juin, condamné à 5 ans de prison, Procès le 4 avril 2018, délibéré le 30 mai


PozzodiBorgoPascal
Jean Jacques « Pascal » Pozzo Di Borgo n°10508 37 ans, interpellé le 6 octobre 2014, incarcéré le 10 octobre 2014, 2 enfants, en préventive, rapproché à Borgu le 23 février 2018. Libéré sous bracelet électronique le 9 avril 2018. Toujours dans l’attente d’un procès


cyril
Garcia­ Tomasi Cyril n°écrou 54587 28 ans, Interpellé le 23 novembre 2013, en préventive. Né le 30 juin 1987, originaire de Grossa, Valincu, employé municipal.  libéré sous contrôle judiciaire assigné à résidence en Corse le 23 novembre 2016

xavier
Ceccaldi Xavier n°écrou 407956 assignés à résidence en Corse30 ans, Interpellé le 23 novembre 2013, en préventive, né le 16 juillet 1985, originaire d’ULMETU, libéré sous contrôle judiciaire assigné à résidence en Corse le 23 novembre 2016

laurent
SUSINI LAURENT n°écrou 407955 27 ans, Interpellé le 23 novembre 2013, en préventive, né le 28 janvier 1988, originaire de Sartè. libéré sous contrôle judiciaire assigné à résidence en Corse le 23 novembre 2016

marc
Ganu Marc n°écrou 16876 à meaux 47 ans, Interpellé le 23 novembre 2013, en préventive, né le 15 février 1968, 5 enfants, originaire de SARTE est libéré provisoirement le 11/12 août avant son passage le 16 devant la chambre d’instruction qui a décider de sa ré-incarcération le jour même. Libéré de nouveau le 30 septembre 2016 sous contrôle judiciaire, dans l’attente d’un procès

PierrePaoli
Pierre Paoli N°Ecrou 42656 cell 127c 64 ans, né le 19 mai 1953, interpellé le 16 février 2015, écroué le 19 février 2015, en détention provisoire, Il a été libéré sous contrôle judiciaire simple, assigné à résidence dans les ALPES MARITIMES. Il devra pointer deux fois par semaine au commissariat de NICE à partir du 3 octobre le 30 septembre 2016, dans l’attente d’un procès

emmanuel
Peru Emmanuel, dont le numéro d’écrou était 32950, est agé de 35 ans, il avait été interpellé le 23 novembre 2013, il était en préventive depuis environ trois ans à la Maison d’arrêt de Villepinte dans le 93. Né le 23 janvier 1981, il a deux 2 enfants, avant son incarcération il était employé. Libération acceptée puis refusée en aout 2016, pour être finalement acceptée le 16 septembre 2016, libéré sous contrôle judiciaire dans l’attente d’un procès

CesariJEanPAscalCorsicaLibera
Cesari Jean Pascal écrou 975031 61 ans, Interpellé le 6 juin 2014, en préventive, 1 enfant, originaire d’Ulmetu, retraité. Assigné à résidence sur Paris dans la soirée du 25 au 26 septembre 2015 contrôle judiciaire, levée d’assignation à Résidence le 4 octobre, il peut rentrer en Corse le 8 octobre, sous contrôle judiciaire il signe deux fois par semaine. (16 mois d’incarcération, 12 mois d’assignation à résidence)


Contadini paul andré 2005
Contadini paul andré en 2005

Contadini Paul- André n°écrou 9513 34 ans, Interpellé le 12 décembre 2012, condamné à 4 ans de prison le 13 mai 2014. Affaire reprise par un juge non sdat. Condamné à 5 ans sur le dernier procès. Peine confirmé de 7 ans, pourvoir en cassation rejeté, fin de peine septembre 2018, Transféré à Borgu Novembre 2015. originaire de Bastia, ouvrier du BTP. Libéré sous bracelet électronique fin décembre 2017. Fin de peine Février 2018

JeanMariePittiloni2016
Pittilloni jean marie 28 ans, Interpellé en avril 2008, incarcéré le 25 avril 2008, condamné à 12 ans de prison le 3 juillet 2012, né le 21/10/87 à Aix En Provence. Originaire de Bastelicaccia. 1 enfant, rapproché en Corse en décembre 2014. Libéré sous contrôle judiciaire avec bracelet électronique le 29 septembre 2016 pour finir sa peine

FILI
Pierre Thomas FILI, 30 ans
Incarcéré puis laisser libre sous contrôle judiciaire, assigné à résidence, dans l’attente de son procès, condamné à 7 ans de prison en mai 2015, incarcéré sur Paris, puis rapproché à Borgu en 2016. 1 enfant, Libéré sous contrôle judiciaire en conditionnelle sous bracelet électronique en 2016, libre fin de peine


sampieruAndreani

Andreani Sampieru n°écrou 9288 30 ans, Interpellé le 15 avril 2011 , condamné à 8 ans de prison le 3 juillet 2014, originaire de Cuttoli, animateur culturel, transféré début juin 2015 à Borgu libéré le 9 août 2016. Peine totale effectuée


MARANELLI200401
CENTRE PENITENTIAIRE DE BORGU LIEU DIT CANAVAGGIO BP 16 20290 BORGU Maranelli Didier n°écrou 7415 58 ans, Interpellé le 21/22 mai 1999, condamné à 25 ans de prison  le 11 juillet 2003, comptable, 1 enfant, Libéré en mars 2017 (le 14) fin de peine


PaulIstria
CENTRE PENITENTIAIRE DE BORGU LIEU DIT CANAVAGGIO BP 16 20290 BORGU Istria Paul n°écrou 8124 57 ans, Interpellé le 7 juillet 2008, condamné à 12 ans de prison le 3 juillet 2012 (né le 30/12/58 à Ajaccio), Originaire de MOCA-CROCI, 2 enfants. Libéré le 9 février 2017, A effectué sa peine, libre


Nasica
Nasica joseph n°écrou 9035 35 ans, Interpellé fin avril 2008, incarcéré le 25 avril 2008, condamné à 12 ans de prison le 3 juillet 2012, Né le 20/06/80 à Ajaccio, Originaire de PIEDICORTI et de  PIETROSU, rapproché en Corse en Novembre 2014, Libéré le 14 avril 2017, A effectué sa peine, libre


eric-Maras
M. Marras Eric, 31 ans,  n°écrou 412-356-P D5 né le 31/12/1985
interpellé fin mars 2011 et incarcéré en avril 2011, Procès le 22 mai 2015 – 12 à 15 ans de prison requis, condamné à 8 ans ferme, rapproché à Borgu le 23 mars 2016, puis le 12 avril 2016 assigné à résidence sur Salon de Provence.  libre fin de peine


tomasiniPP
Tomasini Stefanu, Écrou n 989033 division 2 interpellé le 27 mai 2013, 24 ans, en préventive, libéré sous contrôle judiciaire le 12 février 2016 et assigné à résidence sur paris, en procès du 28 septembre au 6 octobre. Condamné à 5 ans de prison, réincarcéré à la fin du procès, rapproché en Corse le 17 novembre #Borgo, libéré le 18 juillet 2017, fin de peine


 

presosprisonnierpolitiquecorsepatrtiottiincarcerati
Lisandru Plasenzotti, interpellé le lundi 22 mars, incarcéré le 26 mars à Fresnes. libéré le samedi 9 avril 2016

#Corse @JeanGuyTalamoni Pour @KRLS – ‘Els catalans i els corsos són en certa manera compatriotes’ #LlibertatPresosPolitics #CartaPerLaLlibertat #Catalunya @VilaWeb

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(Unità Naziunale, publié le 11 mai 2018 à 15h01) VilaWeb, le plus important journal digital de Catalogne, a lancé une campagne pour les prisonniers et les exilés, appelée « Lettres pour la Liberté ». Plusieurs personnalités, écrivains, politiques, intellectuels, syndicalistes, journalistes, ont été invités à écrire une lettre à un prisonnier ou à un exilé.

C’est dans ce cadre que le 5 mai dernier,  Le Président de l’Assemblée de Corse et militant de Corsica Libera, Jean-Guy Talamoni, a été sollicité pour écrire à Carles Puigdemont, Président en exil de la Catalogne.


Voici sa lettre :

Monsieur le Président,

Je vous adresse ces quelques lignes de Corse, un petit pays de notre Méditerranée commune, dont le peuple et les institutions suivent avec attention les événements qui secouent la Catalogne depuis plusieurs mois.

En ce qui me concerne, j’entretiens depuis des décennies avec nombre de vos compatriotes non seulement des contacts politiques  mais également des relations amicales.

Ces dernières années, j’étais présent lors des différentes consultations organisées sur la question de l’indépendance de la Catalogne.

Dans notre pays également, une volonté de liberté s’est manifestée démocratiquement à travers le suffrage universel. En décembre 2015, par un vote depuis confirmé et amplifié  à deux reprises, les Corses ont confié les clés des institutions insulaires au mouvement patriotique, à savoir la famille politique qui n’a jamais considéré la Corse comme une entité administrative française mais bien comme une nation.

Pour l’heure, la situation est bloquée par Paris qui se livre à un évident déni de démocratie.

Le 1er octobre 2017, j’étais à Barcelone lorsque vos compatriotes se sont prononcés pour la création de la République Catalane. Quelques jours plus tôt, l’Assemblée de Corse que je préside avait émis une vote solennel soutenant votre processus de référendum.

C’est avec consternation que nous avons observé la réaction brutale et anti-démocratique de Madrid ainsi que la sereine détermination d’un peuple en marche vers son destin.

Depuis, la Catalogne compte – comme la Corse du reste – des prisonniers politiques ainsi que des recherchés, dont vous faites partie Monsieur le Président. Notre solidarité politique et fraternelle vous est naturellement acquise, ainsi qu’à tous les vôtres qui connaissent la prison ou l’exil.

Mais je voulais aussi vous dire que la confiance inébranlable qui est la mienne en un avenir de liberté, de paix et de construction, pour la Catalogne comme pour la Corse. Notre force est immense car ce sont nos peuples qui nous la donnent, chaque jour, par leur soutien.

Devant les persécutions dont vous étiez l’objet, vous aviez choisi de vous réfugier à Bruxelles, coeur de l’Europe politique. Ce faisant, vous manifestiez aussi cette espérance que nous avons en commun : réaliser sur notre continent une alliance des peuples et des vraies nations. Si les Etats constituant l’Union Européenne vous ont largement tourné le dos et ont fermé les yeux devant l’injustice qui vous était faite, nous savons aussi que cette Europe-là a trouvé ses limites et qu’elle est aujourd’hui devant un constat d’échec. Quant à nous, peuples en marche vers leur liberté, nous en incarnons l’avenir, un avenir différent. Les volontés politiques qui se font jour en Catalogne, Corse, au Pays Basque ou en Ecosse ne constituent pas un problème menaçant les intérêts communautaires, mais bien au contraire une ébauche de solution. Aussi, notre solidarité n’est pas seulement indispensable pour nos peuples respectifs, elle est le ciment de l’Europe de demain. Une Europe politique, forte et fraternelle, en mesure de faire face aux enjeux de ce XXIe siècle.

Il me reste donc à vous souhaiter, Monsieur le Président, de garder inaltéré ce courage dont vous avez su faire preuve jusqu’ici, mais je n’ai aucun doute à cet égard. Comme l’écrit Malraux dans L’espoir, un roman qui n’est sans lien avec notre propos : « Le courage aussi est une patrie ». En ce sens, Catalans et Corse, héritiers de Francesc Macià, et de Pasquale Paoli, sont une certaine façon compatriotes.

Dans l’attente de la victoire inéluctable de votre peuple qui sera aussi celle de la justice, je vous prie de croire, Monsieur le Président, à l’assurance de l’amitié indéfectible du peuple Corse pour le peuple Catalan.

Jean-Guy Talamoni
Président de l’Assemblée de Corse


Senyor President:

Us adreço aquestes línies des de Còrsega, un petit país del nostre Mediterrani comú, on el poble i les institucions segueixen de prop els esdeveniments que han sacsejat Catalunya aquests darrers mesos.

Pel que fa a mi, no he tingut contactes polítics i prou, sinó també relacions amistoses amb molts dels vostres compatriotes durant dècades. Els últims anys he estat present en les diverses consultes que s’han fet sobre la independència de Catalunya.

També al nostre país el desig de llibertat s’ha expressat democràticament per mitjà del sufragi universal. El desembre del 2015, en una votació confirmada i ampliada dues vegades ja, els corsos van confiar les claus de les institucions insulars al moviment patriòtic, és a dir, a la família política que mai ha considerat Còrsega com una entitat francesa, sinó com una nació. De moment, la situació està blocada per París, que nega clarament la democràcia.

L’1 d’octubre de 2017, jo era a Barcelona quan els vostres compatriotes van votar a favor de la creació de la República Catalana. Uns dies abans, l’Assemblea de Còrsega –la qual presideixo– havia emès un vot formal en suport del vostre procés de referèndum.

Vam observar amb consternació la reacció brutal i antidemocràtica de Madrid, així com la serena determinació d’un poble en marxa cap a la seva destinació.

Des de llavors, a Catalunya hi ha –com a Còrsega, per cert– presos polítics i persones amb ordres de recerca, inclòs vós, senyor President. La nostra solidaritat política i fraterna és naturalment amb vosaltres i amb tots aquells que coneixen la presó o l’exili.

Però també volia explicar la meva confiança indestructible en un futur de llibertat, de pau i de construcció, tant per a Catalunya com per a Còrsega. La nostra força és immensa perquè són els nostres pobles que ens la donen, cada dia, amb el seu suport.

Arran de la persecució a què heu estat sotmès, heu optat per refugiar-vos a Brussel·les, el cor de l’Europa política. Fent-ho, heu manifestat també aquesta esperança que tenim en comú: fer realitat en el nostre continent una aliança de pobles i veritables nacions. Si els estats que constitueixen la Unió Europea us han girat l’esquena en gran mesura i han tancat els ulls davant la injustícia que es comet, també sabem que aquesta Europa ha trobat els seus límits i avui s’enfronta a una admissió del seu fracàs. Pel que fa a nosaltres, pobles en camí cap a la llibertat, som els qui encarnem el futur, un futur diferent. La voluntat política que va sorgint a Catalunya, Còrsega, el País Basc i Escòcia no és un problema que amenaci els interessos comunitaris, sinó, per contra, un projecte de solució. Per tant, la nostra solidaritat no és únicament indispensable per als nostres respectius pobles, sinó que és el ciment de l’Europa de demà. Una Europa política forta i fraterna, capaç de fer front als desafiaments del segle XXI.

Senyor President: em resta desitjar-vos que serveu el coratge que heu demostrat fins ara, però no en tinc cap dubte. Com escriu Malraux a L’espoir, una novel·la que no és aliena al nostre propòsit: ‘El coratge és també una pàtria.’ En aquest sentit, els catalans i els corsos, hereus de Francesc Macià i Pasquale Paoli, són en certa manera compatriotes.

Mentre esperem la inevitable victòria del vostre poble, que serà també la de la justícia, us demano que cregueu, senyor President, en la seguretat de la indefectible amistat del poble cors amb el poble català.

Jean-Guy Talamoni, president de l’Assemblea de Còrsega

#Corse In Mimoria di Claude Cesari, « militantu di sempre è omu sinceru »

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(13 mai 2016) Claude Cesari, militant de Corsica Libera, âgé de 59 ans, figure cortenaise, très estimée, a trouvé la mort dans la soirée après un accident survenu ce matin à Altiani.  Se ne andatu u Nostru fratellu Claude. Militante di Corsica Libera è di l’Associu Sulidarita, omu di valori è di cunvisioni, claude fermerà a fianc’a noi per Sempre… Ma incù Claude ghjè dinú un Pezzu di a ghjuventù di tutti ,chi si ne va …

I Scrianzati

En 2013 – (vidéo) Avec Corsica Libera, il mène campagne lors de l’élection Municipale de Corti.


#Corse Municipales 2013 – Intervention de… par antofpcl

L’article du 13 mai 2016 sur ce lien (photos, vidéos, articles de presse, communiqués, hommages)

#Corse – « NON au golf pour richards de Petit-Bourg » #UPLG

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(Unità Naziunale publié le 13 mai 2018 à 15h01) Voici le tract de l’UPLG sur le projet de Golf de montagne initié par la Ville de Petit-Bourg

DÉFENDONS LES TERRES AGRICOLES
SAUVONS LA FORET
EMPÊCHONS LE GASPILLAGE DE L’EAU DES GUADELOUPEENS
NON AU GOLF POUR LES RICHARDS
A PETIT-BOURG

Mobilisons-nous aux côtés du comité de défense. Faisons barrage à ce projet titanesque et injuste.

Ansanm Ansanm contre les multinationales et autres affairistes qui font perdre la tête au maire de Petit-Bourg.

Malgré l’expérience désastreuse de Saint-François dont le golf a plombé le budget de la commune pour longtemps, alors que les ligues et comités sportifs crient famine, alors que les infrastructures sportives du pays sont dans un état déplorable faute de financements, le premier vice-président de la communauté d’agglomération du nord Basse-Terre (CANBT) avec le soutien de la région veut implanter sur le territoire de sa commune , sur plus de 100 ha de terres agricoles, golf, villas au nom de son sacré saint développement du tourisme. Pour arriver à ses fins il invente un chassé-croisé de terres constructibles, non constructibles qui a comme premier résultat de léser les Petits-bourgeois, propriétaires, agriculteurs, souvent s’ils sont des opposants à l’équipe en place.

Ne laissons les Petits-Bourgeois se battre seuls. Cette injustice nous concerne tous.

Agrikiltè bizwen tè pou ban nou manjé.

Tè kip a bon pou planté dwèt sèvi zanfan an-nou pou yo rété.

Ban nou dlo pou nou bwè avan zòt pwévwa wouzé zèb a gòlf a zòt.

Nous devons faire capoter ce stupide projet dont les retombées éventuelles n’iraient que remplir les poches des profiteurs et de leurs complices.

En détruisant un espace forestier il portera atteinte à notre biodiversité.

Disons NON à ce projet de golf.
BARRONS la route aux affairistes.

Soutenons la lutte des agriculteurs.
Rejoignons le comité de défense.
Té agrikòl péké ay an men a pwofitan !!!
Non et non !!! Arèsté gaspiyé tè Gwadloup.

Direction nationale de l’UPLG Sainte-Anne le 11 mai 2018

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