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#Corse #Archives Le FLNC s’invite aux journées d’Unità Naziunalista de 1988

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Le 14 août 1988,  Le FLNC s’invite lors de la journée de clôture des « Ghjurnate d’Unità Naziunalista », 5 membres du FLNC, sans armes, montent sur l’estrade, 5 pages sont lus à l’attention du public, du peuple corse, des modérés et du gouvernement, le ton est modéré et le FLNC appel au dialogue. Le FLNC demande au gouvernement de gauche des solutions politiques. le 31 mai 1988 le FLNC a annoncé une trêve de 4 mois. Une Amnistie suivra dans les années 88/89.

uneFLNCghjurnatediCorti (9)


#Corse Intervention publique du FLNC lors des… par antofpcl

En 1988, 1991 et 1993,  le FLNC (dit historique) s’était déplacé en personne lors des Ghjurnate Internaziunale. En 1990 le FLNC communique aux Journées à travers une K7 Vidéo. Le FLNC (dit habituel) communiquait dans une K7 VHS de propagande et d’histoire vendues ou distribuées sous le manteau. En 2007, c’est en format DVD que son intervention (FLNC UC) fut diffusé aux Ghjurnate. Lors d’un concert en 2006, aux SCONTRI INTERNAZIUNALE di a Ghjuventù, le FLNC (Unifié? UC?) est apparu sur scène pour délivrer un message. Puis c’est lors d’un Natale per i Patriotti en 2011, qu’il fit (Le FLNC UC) sa dernière apparition en public avant de prendre sa décision de quitter la scène politique en Juin 2014.


#Corse – Mobilisation du collectif Parlemu Corsu pour la co-officialité samedi à Ajaccio

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(Alta Frequenza) « Maintenons la transmission de la langue corse, patrimoine multiséculaire de l’humanité » !

(Michaël Andreani – Alta Frequenza) –  Ce message sera porté ce samedi dès 15h00 devant la préfecture de Corse à Ajaccio par le collectif Parlemu Corsu. Celui-ci a décidé d’organiser une mobilisation symbolique autour d’unegranitula, une forme de danse ancestrale. Une action qui est coordonnée avec d’autres territoires à forte identité sur le continent et qui se battent pour la sauvegarde de leur langue. actualite-blog

En Corse, le cri restera le même pour le collectif Parlemu Corsu, « Cuufficialità », alors que la campagne des élections territoriales ne devrait pas tarder à battre son plein.

Ecoutez le président de Parlemu Corsu, Micheli Leccia, qui lance un appel à la population

AltaFrequenza

ALTA FREQUENZA TDR

#Corse #Archives Le FLNC s’invite aux journées d’A Cuncolta Naziunalista de 1990

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Le 5 août 1990, C’est devant plus de 3500 (4000 selon les organisateurs) personnes réunis sous le chapiteau des Ghjurnate Internaziunale organisée par A CUNCOLTA que le FLNC confirme sa trêve armée et affirme vouloir relancer le débat politique tout en menaçant les chefs de clans (certains) qui organiseraient des actions contre les militants nationalistes, (contexte de la fin des années 80, scissions au sein du FLNC) avec l’aide de barbouzes et parfois de la gendarmerie » toujours selon le mouvement clandestin.

Le FLNC déclare sous le chapiteau « ne pas s’attribué entièrement le pouvoir de construire une nouvelle société« , sur le plan militaire, le « FLNC se réserve le droit d’intervenir ponctuellement« 

uneFLNCghjurnatediCorti (6)


#Corse Intervention du #FLNC en 1990 (2) par antofpcl

« Le problème n’est plus de savoir s’il faut être ou pas nationalise, mais de dire quelle société l’on veut pour la Corse »

« Le nationalisme de coeur est de tripes est révolu car il ressemblerait trop à la constitution d’un autre clan »

FLNC
1990


Intervention du FLNC en 1990 par antofpcl

Le FLNC appel à la politique d’union des forces de progrès nottament le PS et le PC de Corse du Sud

Auparavant le 1er Aout 1990 : Les fédérations de Haute-Corse et de Corse-du-Sud du PCF et leur élus ont décliné l’invitation de participer à un colloque qui se tiendra du 3 au 5 août à Corte à l ’initiative des nationalistes d’A Cuncolta Naziunalista. Dans une déclaration, Albert Ferracci, président du groupe communiste à l’assemblée de Corse estime que le thème de ces assises, « la Corse de demain, avec qui et comment », sera largement occulté par « les manifestations audiovisuelles des clandestins » du FLNC qui ont été annoncées. La fédération locale du parti socialiste a, quant à elle, décidée de cautionner cette manifestation des partisans de la violence.

Le Lendemain CORSE MATIN titrera « LE FLNC à Corte, TRÊVE TOUJOURS SOUS CONDITIONS », la Provence titrera, « LE FLNC, L’OUVERTURE ».

En 1988, 1991 et 1993,  le FLNC (dit historique) s’était déplacé en personne lors des Ghjurnate Internaziunale. En 1990 le FLNC communique aux Journées à travers une K7 Vidéo. Le FLNC (dit habituel) communiquait dans une K7 VHS de propagande et d’histoire vendues ou distribuées sous le manteau. En 2007, c’est en format DVD que son intervention (FLNC UC) fut diffusé aux Ghjurnate. Lors d’un concert en 2006, aux SCONTRI INTERNAZIUNALE di a Ghjuventù, le FLNC (Unifié? UC?) est apparu sur scène pour délivrer un message. Puis c’est lors d’un Natale per i Patriotti en 2011, qu’il fit (Le FLNC UC) sa dernière apparition en public avant de prendre sa décision de quitter la scène politique en Juin 2014.

#corse – SNCM : Corsica Marittima assure pouvoir « sauver 900 à 1 000 » emplois sur 1 40

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(FRANCE 3 CORSE) Le consortium Corsica Marittima, candidat à la reprise de la SNCM, assure vendredi pouvoir « sauver 900 à 1 000 » emplois sur les quelque 1 400 de la compagnie, grâce à la reprise de 800 salariés et au reclassement de 100 à 200 autres.

« Si le procureur nous en avait laissé l’occasion le 14 octobre, nous aurions pu annoncer, dans le prolongement de nos échanges avec les organisations syndicales, notre volonté de sauver 900 à 1000 salariés. E
actualite-blog

n effet, en plus des 800 salariés repris, nous sommes déterminés à reclasser 100 à 200 personnes au sein des 120 entreprises qui constituent le consortium Corsica Maritima« , assure François Padrone, président de Corsica Maritima dans un communiqué.

LA SUITE SUR FRANCE 3 CORSE

fr3corse

TDR FRANCE 3 CORSE

#Corse #Archives Le FLNC s’invite aux journées d’A Cuncolta Naziunalista de 1991

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Le 11 août 1991 – Toujours sous le chapiteau des journées du mouvement national, le FLNC fait une nouvelle apparition.

Il ne remet pas en cause sa trêve annoncée. Alors que le mouvement national est divisé (UPC, ANC, MPA, CUNCOLTA NAZIUNALISTA…) et qu’il prépare les élections régionales de mars 1992 (25% pour le mouvement national).L’Unità Naziunale reste malgré tout le maître mot de ces journées.

A ces journées unitaire sont présent l’UPC, l’ANC et les militants de la Cuncolta.


#Corse Intervention du FLNC en 1991 aux… par antofpcl

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Le rejet du nouveau statut de la Corse voté en avril 1991, impose selon la presse, une recomposition du mouvement national. Jean GIAMBELLI, responsable d’A Cuncolta Naziunalista, déclare pendant ces journées, « qu’il faut renforcer l’union de toutes les forces pour ensemble créer les rapports de forces suffisant qui permettront à l’Etat Français de reconnaître la dimension de ce problème corse« . Un discours unitaire qui masque les tensions entre les principaux mouvements, le MPA n’étant pas monté à ces journées, et se présentera seul en mars 1992. Tensions qui préfigureront malheureusement la guerre fratricide dès 1992/1993.

En 1988, 1991 et 1993,  le FLNC (dit historique) s’était déplacé en personne lors des Ghjurnate Internaziunale. En 1990 le FLNC communique aux Journées à travers une K7 Vidéo. Le FLNC (dit habituel) communiquait dans une K7 VHS de propagande et d’histoire vendues ou distribuées sous le manteau. En 2007, c’est en format DVD que son intervention (FLNC UC) fut diffusé aux Ghjurnate. Lors d’un concert en 2006, aux SCONTRI INTERNAZIUNALE di a Ghjuventù, le FLNC (Unifié? UC?) est apparu sur scène pour délivrer un message. Puis c’est lors d’un Natale per i Patriotti en 2011, qu’il fit (Le FLNC UC) sa dernière apparition en public avant de prendre sa décision de quitter la scène politique en Juin 2014.

Haute #Corse : trois véhicules brûlés dans la nuit

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(FRANCE 3 CORSE) Trois voitures ont été brûlées dans la nuit de mercredi à jeudi à Penta-di-Casinca et Bastia.

Les sapeurs pompiers ont été alertés mercredi soir à 23h21 d’un feu de voiture à Penta-di-Casinca, à proximité de la résidence Les Lauriers a indiqué le service départemental d’incendie et de secours de Haute-Corse. Le feu a été rapidement maîtrisé. Le véhicule a été totalement détruit. A Bastia, deux voitures ont également brûlé près du Tango Bleu dans la zone industrielle.
actualite-blog

Les faits ont eu lieu à 1h04. Un véhicule du SDIS a été nécessaire pour maîtriser les flammes.

LA SUITE SUR FRANCE 3 CORSE

fr3corse

TDR FRANCE 3 CORSE

#corse #Archives Intervention du FLNC Union des Combattants aux Ghjurnate Di Corti 2007

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Voici les différentes interventions récupérées sur le site Unità Naziunale, et publiée depuis des années. (il y a d’autres interventions non listées)

En 1988, 1991 et 1993,  le FLNC (dit historique) s’était déplacé en personne lors des Ghjurnate Internaziunale. En 1990 le FLNC communique aux Journées à travers une K7 Vidéo. Le FLNC (dit habituel) communiquait dans une K7 VHS de propagande et d’histoire vendues ou distribuées sous le manteau. En 2007, c’est en format DVD que son intervention (FLNC UC) fut diffusé aux Ghjurnate. Lors d’un concert en 2006, aux SCONTRI INTERNAZIUNALE di a Ghjuventù, le FLNC (Unifié? UC?) est apparu sur scène pour délivrer un message. Puis c’est lors d’un Natale per i Patriotti en 2011, qu’il fit (Le FLNC UC) sa dernière apparition en public avant de prendre sa décision de quitter la scène politique en Juin 2014.

FLNC-UC-GHJURNATE2007 (1)


Intervention du FLNC UC aux GHJURNATE 2007 par antofpcl

Ces vidéos sont en lignes depuis des années…

L’article d’unità naziunale : Le dimanche 5 Août 2007: Communication du Flnc Union des Combattants aux Ghjurnate retranscrite selon la vidéo tournée sur place et publiée sur internet. (source http://www.unita-naziunale.org/portail/050807-discours-video-flncuc.htm

Extraits

(…) La seconde s’appuie sur la prospection d’un dialogue s’appuyant sur la détermination de rapport antagoniste entre la France et la Corse et la mise en place d’une nouvelle politique de sortie de crise.(…)

(…)A l’Etat français, nous réitérons les points suivants :

– La prise en considération du fait national Corse par un acte d’état garantissant de fait une politique d’évolution et d’évaluation incompatible avec les atermoiements électoraux français.

– La réparation et la restitution de tous les biens collectifs identifiés appartenant originellement au peuple Corse. Biens territoriaux, économiques, culturels, intellectuels et spirituels.

– La reconnaissance politique du peuple Corse comme seule communauté de droit.

Le traitement global de la question des Prisonniers Politiques (…)

#Corse – Les autocars corses au Conseil d’État hier

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(Corse Matin) La SARL des autocars de L’Île de Beauté a fait escale à Paris hier. Pas un stop touristique, mais un stop juridique, puisqu’elle a présenté un pourvoi en cassation visant à faire annuler une ordonnance du juge des référés du tribunal administratif de Bastia, qui lui est défavorable.

En août dernier, suite à une requête de la société des autocars Roger-Ceccaldi, le magistrat de Bastia a annulé les décisions de la commission d’appel d’offres du département de la Corse-du-Sud concernant le marché des transports scolaires et plus particulièrement les lots 127 (Vico-Ajaccio) et 132 (Porto-Ota)
actualite-blogLes Autocars de L’Île de Beauté avaient gagné ce marché au moment de son attribution.

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TDR CORSE MATIN


#Corse – Supporter du SCB : renvoi de l’affaire au 9 novembre

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(Corse Matin) Le supporter du Sporting, membre de Bastia 1905, poursuivi pour « non-respect de l’interdiction de stade » a été présenté en comparution immédiate dans la nuit de mardi à mercredi, devant le tribunal correctionnel de Bastia.

Selon son avocat, Me Fabiani, l’arrêté d’interdiction n’aurait « pas été notifié à l’intéressé et n’évoque pas le fait qu’il risque une année de prison en cas de non-respect de cette mesure ». Une douzaine de jeunes supporters étaient rassemblés devant le palais, dans le calme jusqu’à la fin de l’audience.
actualite-blog

Le supporter a demandé et obtenu le renvoi de son affaire qui sera évoquée le 9 novembre 2015, à partir de 15 heures. Le parquet avait requis son placement en détention provisoire, craignant une réitération des faits. Au final, le supporter fait l’objet d’un contrôle judiciaire qui le contraint notamment à pointer à Propriano à compter du 22 octobre prochain.

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TDR CORSE MATIN

#Corse – La CAPA a présenté la nouvelle mouture du Plan de Déplacement Urbain

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(Alta Frequenza) La CAPA a présenté ce matin (jeudi) la nouvelle mouture du Plan de Déplacement Urbain

(Alex Bertocchini – Alta Frequenza) – La CAPA a présenté ce matin (jeudi) la nouvelle mouture du Plan de Déplacement Urbain, un PDU qui dans l’attente d’une réécriture totale présente quelques retouches à celui existant.
actualite-blog

On ne sait pas si tous les chemins mèneront à l’amélioration de la circulation et du stationnement sur le territoire de la CAPA et particulièrement à Ajaccio, mais celle-ci a présenté ce matin quelques idées nouvelles.

Écoutez Yohan Habani, vice-président de la CAPA en charge des transports et de la mobilité.

AltaFrequenza

ALTA FREQUENZA TDR

#Corse – Territoriales : Nicolas Dupont-Aignan veut arrêter la fuite en avant autonomiste

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(Alta Frequenza) 0%. 15 000 voix. Un objectif que certains pourront qualifier d’utopique lorsque l’on parle de la liste Debout la France qui sera dirigée par Hyacinthe Santoni, mais celui-ci, flanqué de la figure de proue du parti au niveau français, Nicolas Dupont-Aignan, y croit.

(Julien Pernici – Alta Frequenza) – 1Le duo a ainsi vanté les mérites d’une candidature contre les partis traditionnels et les systèmes clientélistes. Nicolas Dupont-Aignan, qui a exprimé son respect pour les nationalistes francs du collier, veut toutefois, avec cette candidature de Hyacinthe Santoni, contenir ce qu’il considère comme une fuite en avant autonomiste, et combattre ce qu’il qualifie de baronnies en place au pouvoir en Corse comme ailleurs.
actualite-blog

Nicolas Dupont-Aignan qui nous détaille la candidature de Hyacinthe Santoni qui est, doit-on le croire, la plus importante en termes d’enjeu et de symboles des treize listes Debout la France à ses yeux.

On l’écoute.

AltaFrequenza

ALTA FREQUENZA TDR

#Corse Matin – Ouverture prochaine d’un « parc de loisir Asterix » en périphérie d’Ajaccio

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ARTICLE FIL ROUGE DE LA REDACTION, HEBDOMADAIRE (PARODIE DU CORSE MATIN 1er AVRIL 2015)

(article du 1er avril 2015) La corse n’en finit plus d’accueillir les enseignes nationales et internationales, franchises en tout genre, la Corse s’ouvre enfin au monde extérieur. Quick, Décathlon, Leroy Merlin, demain la Fnac et KFC. L’ouverture d’un parc de loisir pour 2018 en périphérie d’Ajaccio s’est enfin officialisée hier à la Mairie d’Ajaccio, un projet voté à l’unanimité par le conseil Municipal.

En visite jeudi dernier dans le secteur de la plaine de Peri, sur le site du futur pars de loisir, le PDG de la compagnie des Alpes ne cachait pas sa satisfaction.

Des chiffres, d’abord. Impressionnants. Le programme, dont le chantier débutera début septembre 2015, pèse une surface hors d’oeuvre de quelque 180 000 m2. Au menu, un parc de loisir de 90 000 m2, un espace culturel de 1 350 m2 et une galerie de 70 500 m2 qui accueillera environ quarante boutiques dédiés aux héros de la Bande Dessinée. Le parc se composera officiellement de six univers, plus ou moins en rapport avec le monde d’Astérix. Ces univers sont basés sur deux principales associations : le personnage de fiction Astérix et la mythologie antique.

Petite ville en devenir

corsematin.750Outre le parking de 8 200 places, dont un millier sera couvert, un « retail park »est annoncé. Autrement dit un centre commercial à ciel ouvert, composé de plusieurs enseignes, pour une surface couvrant la bagatelle de 22 000 m2.

Une véritable petite ville en devenir, mais aussi un mastodonte commercial dont l’ampleur devrait avoir des répercussions bien au-delà du pays ajaccien. Le porteur de projet ne cache d’ailleurs pas ses ambitions : « L’objectif est de mettre en place un parc de loisir à vocation régionale.« , glisse le Directeur du futur Parc Asterix en Corse. Pour y parvenir, l’arrivée d’enseignes de « réputation internationale », dont le nom est encore tenu secret, est évoquée… Mais l’on évoque déjà Macdonald et Burger King,

4500 à 7 000 emplois prévus à terme

Comme on s’en doute, la mise en orbite d’un tel monument nécessitera plusieurs étapes.« Un bâtiment accueillant plusieurs commerces, restaurants et services ouvrira ses portes dès cet été. Les travaux du Parc de Loisir commenceront au printemps, pour une mise en fonction prévue courant 2017. La dernière phase, relative à la création du « retail park », se déroulera de façon concomitante. Ce chantier, qui durera deux ans et demi, contribuera à faire travailler plusieurs dizaines d’entreprises, locales pour la plupart. C’est autant de centaine d’emplois qui sont concernés par ce chantier… » Des logements seront construit pour accueillir les employés du Parc dont le recrutement se fera en grande partie à l’internationale.

Les Loisirs avant tout, « Bienvenue chez les Gaulois »

Le public y trouvera tous les services traditionnels comme les points d’information ou les caisses. La « rue » contient également de nombreuses boutiques et points de restauration comme le grand marché de Lutèce, les galeries gauloises, le palais bonbon, chez Rahazade, Numérobis, Gravédanlonix ou encore Le Bon Légionnaire. Eclats de voix à bord de la Trace du Hourra, une étonnante descente en bobsleigh… éclaboussures assurées à bord de Menhir Express ou de Grand Splatch avant l’essorage de la Petite Tempête.

Un village Corse au sein du Parc

Mais aussi un village corse reconstitué à l’identique de la bande dessinée d’Asterix en Corse. Avec ses anciens corses barbus assis sur le banc, accompagnés des chiens endormis et des cochons sauvages, ainsi que de ces femmes vêtues de noir à l’air si triste. Village qui sera entouré de camps romain pour l’occasion.

Pour le futur directeur, la présence au sein du parc de loisir d’un village corse est la clé d’une réussite identitaire et il devra donc faire en sorte d’amortir son outil dans les prochaines années. Ce qui n’aura rien d’une balade de santé, puisque ce sont près de 100 M€ qui vont être injectés pour conduire l’opération à terme.

infox-nustrale-corse

#Corse – @Corsica_Libera : les femmes en force dans l’Extrême Sud

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(Alcudina) Corsica Libera a présenté à Corté, mercredi soir, sa liste pour les élections territoriales des 6 et 13 décembre prochains. Largement renouvelée, la liste est placée sous le signe du militantisme et de la jeunesse. 

Son programme est de mettre en place une nouvelle politique territoriale. Son objectif affiché est de figurer parmi les vainqueurs pour intégrer l’Exécutif de Corse autour d’un projet.  Derrière l’immuable Jean-Guy Talamoni on retrouve Josepha Giacometti, également conseillère territoriale sortante. L’extrême Sud est quasiment représenté par des femmes. Candidate aux dernières élections départementales dans le canton du Grand Sud et conseillère municipale de Figari, Julie Giuseppi est en position d’éligible à la sixième place. actualite-blog

Laura Furioli, avocate et conseillère municipale à Lecci est 12e. Portivechju est représenté à la 34e place par Daphnée Halewa, créatrice de mode et le seul homme représentant l’Extrême Sud, Michel Giraschi. Le candidat di U Riacquistu pour les dernières élections municipales et départementales est 49e. Enfin, Antoinette Barolo, agricultrice à Bunifaziu est 40e et Jacqueline Houben de Livia à la 20e place..

Lire la suite sur Alcudina

alcudinaTitre

TDR ALCUDINA

#corse Bastia/Nice « Quand Furiani sentait bon la bombe agricole » par PZD #SCBOGCN #OGCNSCB

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(Article d’unità naziunale reprenant le site des Ultras Bastiacci ) L’accès au stade Armand Cesari de Furiani était interdit samedi 26 octobre 2014 aux supporters de l’OCG Nice (L1) pour le match contre le SC Bastia, comptant pour la 11ème journée de championnat, en vertu d’un arrêté préfectoral afin d’éviter des « troubles graves à l’ordre public ».

Cari amichi,

bombagrikol_1après avoir évoqué les principaux faits d’armes des supporters du Sporting (et il y en a encore bien d’autres !) d’Alès à Furiani, en passant par Marseille, guidés par le glorieux Pierrot Bianconi, j’évoquerai aujourd’hui la plus ancienne et la plus féroce RIVALITE qui nous aient jamais opposé à un club PINZ : j’ai nommé l’Olympique Gymnaste Club de Nice , soutenu par les (peu fidèles) étrons qui garnissent les tribunes du Stade du Ray.

Ce qu’il faut bien avoir à l’esprit lorsqu’on se penche sur cette légendaire rivalité, c’est le CONTEXTE tout à fait particulier, et propre à la ville de NICE, qui a permis de la faire émerger.

Très tôt en effet, la présence corse au bord de la Baie des Anges s’ est faite sentir : Nice était le siège des grandes facultés (médecine, droit, lettres) et la principale destination d’études pour nos pères, qui étaient contraints et forcés de s’exiler pour survivre (suite à l’historique et bicentenaire fermeture di l’Università di Corti), il va sans dire que la turbulente jeunesse corse commença, à partir du début des années 70, à faire parler d’elle (« Sportinguement » et politiquement (C.S.C) parlant ! ).

Or, il faut savoir que Nice s’est toujours fait remarquer par son caractère bourgeois et supérieur (un peu comme Paris) qui lui a toujours fait appréhender les autres de manière hautaine (phénomène aggravé de plus par le véritable envahissement, à partir des années 60, de la cité par des hordes de vieux acariâtres venus du Nord de la Gaule, enthousiastes à l’idée d’enfin pouvoir mourir au soleil). C’est pourquoi les corses, cette « sous-race italienne » (épithètes souvent entendus à l’époque), si bizarre et par certains côtés si barbare, formaient une communauté à la fois enviée (pour son esprit de clan, sa solidarité, et son pouvoir politique (ex: le père d’Y.Colonna)) et détestée (pour ce même pouvoir politique, sa tradition de gangstérisme, et enfin sa légendaire « fainéantise » (hum !)).

Dans ces conditions, et compte tenu de l’ardeur des supporters bleus de l’époque, les DERBYS Nice-Bastia s’avérèrent être des matches particulièrement EXPLOSIFS, de véritables corridas, qui marquent aujourd’hui encore des générations de corses. Ces histoires, maintes fois évoquées par les anciens, sont souvent connues des jeunes corses d’aujourd’hui, mais de manière fragmentées et incomplètes dans la durée. Il se peut donc que j’en oublie, mais les évènements les plus marquants dont j’ai eu connaissance, ou auxquels j’ai directement participé, se situent en 1971, 1977, 1992 et 1995.

Avant moi, mon grand-père, mon père et mes oncles ont tous été de véritables acharnés du Sporting. J’ai donc grandi dans une atmosphère teintée de bleue, où les anecdotes étaient foison. C’est un peu de leur mémoire que je vous fait partager aujourd’hui, particulièrement celle de mon père, qui, avec des milliers d’autres (les votre sûrement !) était étudiant à l’époque.

NICE – BASTIA 1971 :

Souvent les Nice-Bastia étaient chauds à l’occasion des matches de championnat (les deux équipes étaient en D1), mais aussi, et surtout, en Coupe de France. Le hasard voulant que plusieurs fois les deux équipes se croisent dans cette compétition, les affrontements s’exarcèrberent. C’est ce qui se produisit cette année là (en 16ème ou 8ème je crois), mémorable entre toutes.

C’est par milliers que le peuple bleu, appuyé par sa diaspora étudiante, envahit les gradins de la tribune Nord,

Placé au dos du quartier de Saint-Sylvestre. Toute la fine fleur de la jeunesse corse et là, et elle donne de la voix (entre autres (mais oui !) François Nicolai, Jean-Martin Verdi, et tous ceux qui feront la politique patriote corse les années suivantes (Léo Battesti, Pierre Poggioli, Vincent Stagnara…).

Comme tous les derbys de l’époque, le match est ultra-viril, et les équipes ne se font pas de cadeau. L’ambiance du terrain se communique bientôt aux gradins, où les supporters du Sporting commencent à s’exciter passablement. Dans le courant de la deuxième Mi-temps, un incident met le feu aux poudres, et le peuple bleu commence à se chauffer avec les toujours très aimables Gardes Mobiles de l’ère Pompidou (pas des poètes à l’époque). Les provocations se multiplient, et de part et d’autres du grillage les noms d’oiseaux volent, pour ne pas dire les matraques et i pugni alzati.

Le climat est lourdement deletere, lorsque à 5 minutes de la fin, et alors que le Sporting perd, les bleus, arborant tous de superbes rouflaquettes, pattes d’eph, et tous capiluti, commencent à scuzzuler le grillage avec force afin de REGLER les comptes avec la maréchaussée locale et d’ENVAHIR LA PELOUSE !!!!!!!. Pendant de longues minutes le brave barbelé résiste, mais sous le poids des furieux, il ne tarde pas à plier, puis à s’ECROULER .

Sous l’œil halluciné des flics, qui n’en reviennent pas de tant de férocité et de scimità, et des insultes des braves habitants de Nice, les premiers éléments commencent à enjamber l’obstacle pour en découdre, et c’est bientôt l’ EMEUTE !!!

Comme à chaque fois en cas d’affrontements urbains, les charges et les contre-charges se multiplient,

entrecoupés de moments de calme. Au cours de l’un deux, un Garde mobile un peu téméraire (un grand noir baraqué) se prenant pour Conan le Barbare, provoqua les bleus les plus proches de lui, en leur promettant qu’au premier geste suspect, il se chargerait lui-même de rosser les coupables. Il lui fut répondu par un jeune corse moustachu très connu à l’époque (un type du Marché je crois) et qui était 2ème ou 3ème dan de karaté, qu’il n’avait qu’à mettre ses actes en accord avec ses actes. Sur de son coup, le gorille s’avance et est accueilli par … un fantastique CALCIU DRAGONBALLZ-ISE qui l’envoie sbouler tout en bas des marches !!!!!!!!!! Vexés ses collègues entreprennent de laver l’affront, et les azzuffi se prolongèrent à nouveau.

Les incidents de ce match eurent un retentissement considérable dans le petit monde bourgeois et aseptisé de Nice. En bons Pinz qu’ils étaient , les Niçois unanimes se répandirent en plaintes et en dénonciations (qui fleuraient bon le racisme) sur « ces corses qui sont tous des assassins », et qui de toute façon « n’avaient jamais été bons à rien » (sinon à administrer leur pays et leurs colonies, et à mourir pour eux en 14). La trace de ce match fut vivace : de simple antipathie réciproque, on passa à un CONTENTIEUX en bonne et due forme qui continue encore aujourd’hui !!!!

NICE – BASTIA 1976 :

voici comme prévu le second volet des légendaires matches contre les Aiglons (pas d’autre mot !) niçois. Comme le précédent, ça ne va pas manquer de piment, à la différence près que cette fois-ci, il s’agit de l’aller ET du retour ! Une erreur m’avait fait dater ce match en 1977, mais après information auprès de qui de droit, il s’agit en fait de l’ année 1976. Attachez vos ceintures…..

Le premier acte de ce mythique Nice-Bastia dont j’entends parler depuis que je suis gosse, à pour cadre le Stade du Ray, à l’occasion d ‘un 8ème de finale de Coupe de France (encore).

Une fois de plus, tels des morpions sur le crâne de T. Roland, les bleus envahissent les gradins de la Tribune Nord, sous la bronca des braves pinz azuréens. Le souvenir de 71 est toujours vivace, et dans l’intervalle, en championnat, les « embrassades » à la sortie du stade n’ont pas manqué.

Sur le terrain, les deux effectifs sont de talent : un subtil mélange de techniciens et de tendres bouchers apporte une touche explosive et prometteuse à cette rencontre.

Côté niçois, les internationaux ne manquent pas, tels le vieux DOUIS (dont on va reparler), le fringant attaquant de l’Equipe de Gaule M. MOLITOR (dont on va reparler itou), et un Yougoslave athlétique et moustachu KATALINSKI (dont on va reparler derechef !).

Côté Sporting, les hommes de légende sont là : le divin Claude PAPI, le placide Charlot ORLANDUCCI (surnommé aujourd’hui le Roger Couderc du pay-per-view), le sensationnel ailier kanak Jacques ZIMAKO, et enfin le STRATOSPHERIQUE Dragan DZAJIC, qui effectuait sa première saison sous les couleurs bastiaises.

Le match commence, et on comprend d’entrée, vus la violence des premiers chocs et les cris d’animaux qui s’échappent de la Tribune Nord, qu’il ne s’agira pas d’un match pour les Laurent et les Lachuer. Très vite l’arbitre doit presser le pas sur les contacts car les protagonistes (voire les « belligérants ») ont des velléités bianconesques. Néanmoins ça joue au ballon, et même bien : en effet, les bleus notamment font passer le frisson dans la RAY ( du cu* ) des défenseurs rouges et noirs. Admirablement orchestrés par l ‘inoubliable PAPI, les deux flèches DZAJIC et ZIMAKO, donnent le tournis à leurs gardes-chiourme, et centrent régulièrement pour le brave Fanfan FELIX cugnumàtu  » U CAPU D’ORU ».

La première mi-temps s’achève sur quelques contacts virils, et tout le monde met à profit « les citrons », pour élaborer une stratégie. Côté bleu, on ne peut que continuer dans la voie des contres, qui peuvent peut être permettre d’engranger un précieux sésame en vue du match retour sur nos terres. Côté niçois par contre, les consignes semblent différentes, et le mot d’ordre semble être de fracasser les deux cerveaux de l’équipe: Dzajic et Papi.

En effet, toute la seconde mi-temps consistera en une démolition des deux stratèges. Le libero KATALINSKI charge sans discontinuer le frêle Claude, tandis que DOUIS se prend pour le regretté P. BIANCONI et semble envisager de mettre un terme à la carrière du prodigieux belgradois. On attend une réaction de l’arbitre, mais celui-ci « bizarrement » se met à chanter du Steevie Wonder !!!!!

Très vite ce scandale devient insupportable pour les joueurs bleus, pour qui pleuvent les jaunes (il parait que ça va bien avec le bleu…), pour l’encadrement du Sporting (où CAHUZAC et J. FILIPPI sont en pleine sbattulance) et pour bleus des tribunes, étroitement surveillés par les forces de l’ordre (pas fous les pinz) qui ont sûrement du faire electrifier le grillage.

Afin de ne pas hypothéquer nos chances au match retour, les bastiais, résignés, font de la résistance, mais subissent maintenant les assauts des azuréens, galvanisés par la fratellenza de l’arbitre. Le match, qui tournait à la straziata, devient bientôt un vrai CALVAIRE, et coup sur coup le Sporting encaisse DEUX BUTS !!!! Une bien mauvaise affaire pour nous, qui met les sangs à tout le monde. Le match se termine sous les vivats des Pinz, et sous les menaces des bleus, qui mieux que personne savent que la roue tourne et que sur la route des quarts il y a ….FURIANI !!!!!!

Deux semaines plus tard, c’est un Furiani habilement conditionné (même s’il ne faut pas trop se forcer) par le club et par la vox populi qui attend de pied ferme les matraqueurs de l’aller. Dès l’atterrissage à l’aéroport, quelques capiluti patibulaires, qui étaient venus par HASARD, se font les prophètes du malheur auprès de la délégation niçoise en leur parlant d’évènements surnaturels et spécifiques à la Corse ( on serait le DOUZE du mois, à l’EST c’est de la BOMBE bébé, on aime les activités AGRICOLES…..). C’est donc un peu plus grisâtres qu ‘à l’accoutumée que les joueurs rejoignent le car antédiluvien qui se propose de les amener dans l’ANTRE. Comme contre LAVAL il y a quelques années, le chauffeur se refuse à accompagner ses hôtes jusqu’à la porte de la Tribune EST sous laquelle se situent les vestiaires. Habilement avertis, les pensionnaires de notre légendaire tribune se préparent à la battue, et c’est sous une grêle de projectiles que les Robocop de l’aller gagnent leur vestiaire, l’air beaucoup moins fier. Exercés au maniement des petronche , des fusées eclairantes et des B.A, les bleus, comme à la foire, ont pour objectif KATALINSKI et DOUIS auxquels on promet un voyage dans l’au-delà. Ce dernier notamment, qui se croyait sorti d’affaire , reçoit avant de rentrer au chaud (c’est le cas de le dire !) une monumentale petronca en pleine faccia !!!!!!

Pendant l’échauffement des joueurs, c’est encore pire, on assiste à une étrange pluie de bombes dont on certifie qu’on use pour tuer les taupes, et DOUIS voit s’ouvrir devant lui les portes de l’ENFER. Aux dires des gens présents, ce n’est pas tant l’ambiance vocale (qui n’ a jamais été trop notre fort ) qui les a particulièrement impressionnés, mais plutôt la scimità ambiante et une pression insoutenable, comme on ne savait la mettre que chez nous (à l’usu 5 Mai). Résultat des courses, lorsque DOUIS rentre aux vestiaires, lui seul sait qu’il ne refoulera pas de si tôt la pelouse. En effet, alors que les deux équipes s’avancent et que le stade s’embrase, on constate avec STUPEFACTION que les Niçois ne sont que 10 !!!!!!!!!!!!!!!! Philosophe, le Préfet BONNET du match aller, inspiré par la lecture de Kant et se métamorphosant subitement en Ours CAJOLINE a décidé finalement que la vie était trop courte pour la risquer trop TOT !!!!!!

Parenu fole, ma ghjè cusi ch’elle si sò passate e cose ! Forts de leur avantage numérique, remplis de stizza et avides de laver l’affront, portés par un public merveilleux et si taquin (!) les bleus SURVOLENT la rencontre, et enfoncent les niçois. Vont-ils pour autant parvenir à renverser la vapeur et à créer l’EXPLOIT, vous demandez-vous tous ?

Cazes et Orlanducci font les hommes-luges sur les tibias pinz, Dzajic et Zimako, particulièrement remontés, font des PRODIGES, à chaque attaque la EST aspire le ballon vers les filets adverses (où le goal se dit, vu ce qu’il reçoit, que finalement TOUTATIS n’est pas gaulois, mais bien corse) et le Sporting déchainé l’emporte finalement QUATRE A ZERO !!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Impossible aux dires de mon père de décrire l’ETNA-STROMBOLI-VESUVE que Furiani fut ce soir-là !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

FORZA BASTIA PIÙ CH’È MAI !

A LEGENDA DI FURIANI UN PÒ MICCA SPARÌ CUSÌ !!!!!!

PZD

 

(…)

by @Lazezu 

 

#Corse #Territoriales @rinnovuN Naziunali présentera sa liste le 25 octobre 2015

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Réunion(s), présentation de la liste, meeting pour la préparation et l’organisation de la campagne des élections Territoriales du Rinnovu Naziunali.

RinnovuSept2013Presse

  • Dimanche 25 octobre 2015 à 16 heures à Petranera, présentation de la liste.

#Corse – Territoriales : Hyacinthe Santoni vise les 10% avec son initiative française et républicaine

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(Alta Frequenza) 0%. 15 000 voix. Un objectif que certains pourront qualifier d’utopique lorsque l’on parle de la liste Debout la France qui sera dirigée par Hyacinthe Santoni, mais celui-ci, flanqué de la figure de proue du parti au niveau français, Nicolas Dupont-Aignan, y croit.

(Julien Pernici – Alta Frequenza) – 1Le duo a ainsi vanté les mérites d’une candidature contre les partis traditionnels et les systèmes clientélistes. Nicolas Dupont-Aignan, qui a exprimé son respect pour les nationalistes francs du collier, veut toutefois, avec cette candidature de Hyacinthe Santoni, contenir ce qu’il considère comme une fuite en avant autonomiste, et combattre ce qu’il qualifie de baronnies en place au pouvoir en Corse comme ailleurs.
actualite-blog

Plus surprenant, le principe d’une préférence corse dans les marchés publics concernant les PME et l’agriculture est aussi mis en avant. Une candidature qui regroupe nombre d’anciens membres ou de membres actuels de l’association France-Corse, mais aussi de personnes au départ rattachées à l’initiative mort-née de Georges Benedetti, même si Hyacinthe Santoni comme Nicolas Dupont-Aignan affirment respecter les indépendantistes.

On écoute Hyacinthe Santoni.

AltaFrequenza

ALTA FREQUENZA TDR

#corse Bastia/Nice « Quand Furiani sentait bon la bombe agricole » par PZD – Partie 2

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(Article d’unità naziunale reprenant le site des Ultras Bastiacci ) Voici le 3ème volet de nos aventures niçoises, de loin le plus MEMORABLE d’entre tous ! Une invasion, du bleu, du blanc, du suspense, la victoire, des azzuffi par dizaines, tels sont les ingrédients de ce 8ème de finale de Coupe de France, qui est entré dans la légende du Sporting.

BASTIANICE190915 (64)En 16ème de finale, le Sporting avait bouté hors de la Coupe la formation de D1 de Toulouse, où s’illustrait déjà le guignolesque Barthez. Une bonne ambiance, une victoire nette et sans bavure (2 buts de Mangione), une équipe sure de son football: tout laisser à présager, sinon un grand parcours en Championnat, du moins un beau parcours en Coupe. Au moment du tirage des 8èmes, il va sans dire que les supporters attendaient que le sort ne designe que deux équipes: MARSEILLE, contre qui nous brulions d’en découdre, et bien evidemment NICE, contre qui ça avait legerement « frusté » en Championnat quelques mois auparavant.

Comme nous l’esperions tous, le sort designa NICE, et bientôt les grandes manoeuvres commencèrent. Déjà en pleine frénésie politique (les Regionales de 92 et le statut Joxe) la Corse ne parla bientot plus que de ce match, qui très tôt s’annonca être une INVASION programmée.

A Bastia le Sporting redevenait à la mode (pas mal de petits traitres qui s’interessaient à l’OM estimaient maintenant que le bleu foncé, c’était bien mieux que le bleu pale) et c’était à qui faisait des pieds et des mains pour participer à l’aventure. L’annonce faite par la SNCM d’une mise à disposition d’un navire ne fit qu’augmenter la passion autour du match, et dès la mi-Fevrier on savait que quelque chose de SPECIAL allait se produire..

Pendant que tout Bastia se préparait à l’invasion, sur le continent les bleus s’affairaient : les sections TESTA MORA de Nice et d’Aix bien sur, mais aussi les supporters de Paris, Lyon et de toute la Gaule. Le bruit se répandant que le bateau serait plein, l’angoisse etreint les supporters: Y aura-t-il assez de places au stade pour abriter toute cette faune ?

BianconiPierrotMimoria (12)

Dans les jours précédants le match, nous eumes confirmation que toute une tribune laterale, le Pesage ESt (et oui !), qui contenait environ 3500 places, nous serait reservée. Tout le monde poussa un ouf de soulagement : rien ne pourrait entraver maintenant notre marche en avant.

Arriva enfin le jour du match : la veille le navire « Ile de Beauté », était parti de Bastia absolument BONDE. Toute la jeunesse bastiaise, de Haute-Corse et même du Sud se trouvait embarquée, avec force drapeaux, pétards et autres bombes agricoles. Très vite un constat s’imposa: il n’y aurait pas assez d’alcool pour satisfaire tous les scimuliti naviguants !!!!!! Une ambiance assez sympathique et meme « sborgnesque  » s’instaura rapidement , et tout le monde fantasma sur le match du lendemain. Que le Sporting gagnerait , voilà qui ne faisait aucun doute pour les supporters. Non, la grosse question c’était : y aura t-il des incidents et si oui, dans quelle proportion ? Chacun y allait de son délire, et malheureusement une ou deux cabines furent detruites par des bleus qui ne surent pas retenir leur impatience.

Au petit matin, le bateau spunta dans le port de Nice, certains se tenaient de belles tronches de panizze, et d’autres, qui avaient dégueulé tripes et boyaux étaient de vrais fiadunetti ambulants. Sur le quai, certains parents, amis, ou etudiants expatriés attendaient les nouveaux Vikings, sous l’oeil désabusé et bovin des habitants de la ville de la salade. Afin de signaler leur proche débarquement les bleus (c’est logique) firent mugir les cornes de brume et bien sur expedièrent en guise de préambule quelques Bombes Agricoles bien senties !!!

Une fois sur le sol de Gaule, la meute joyeuse et ethylique se scinda en multiples groupes et commenca à deambuler dans toute la ville. Sous l’oeil spaventatu et interloqué des Pinz les hordes se croisaient et se macagnaient, tout en se posant LA question: « ils ont où les supporters nicois ? ». Certains avaient beau répondre: « comme d’habitude, planqués », l’inexorable quête se poursuivait.

Dans le milieu de l’après-midi, tout ce joli monde reçut peu à peu le renfort des supporters qui avaient choisi la voie des AIRS. Les vols de la CCM avaient en effet été multipliés par 3, et celà ne fit qu’ajouter au décorum bleu et blanc de la ville.

Pour tout dire, l’après-midi fut relativement tranquille. Relativement, car quelques bleus surexcités faisaient quand même des leurs : à qui avait été protagoniste d’un joyeux azzuffu avec quelques maghrebins des sinistres quartiers de l’Ariane, Pasteur, ou Las Planas (à visiter) qui comme chacun se prennent pour les patrons en Gaule, à qui jetait des oeufs sur les autobus de transport niçois, à qui penetrait à l’interieur du très chic et très bourgeois Lycée Massena, se disputait avec le personnel, et detruisait une partie des infrastructures !!!!

Ce vandalisme fut toutefois relatif, et bientot arriva l’heure de converger vers le Stade, situé dans le Nord de Nice, en plein Quartier Saint-Sylvestre.

Nous sommes maintenant à peu près une heure 1/2 avant le match, et la pression MONTE. Chemin faisant les macagne fusent à l’encontre des supporters rouges et noirs, qui rasent les murs. Une fois loins, ces derniers insultent, quelques bisco professionnels leurs courent après, mais en vain. De toute façon il serait vain de chercher des incidents car très vite on constate le vaste dispositif des forces de l’ordre. Le match est bien entendu classé à hauts risques, et l’avenue qui sert de liaison entre la Tribune Sud (la tribune des  » ultras  » niçois) et notre Pesage est à la fois barrée, et envahie de cars de CRS.

Devant l’entrée de notre tribune , les grilles (d’un bleu ciel horrible) sont fermées, et bientôt nous nous retrouvons plusieurs centaines agglutinés et on voyait dépasser les hampes de centaines de drapeaux. Comme nous ne sommes pas un peuple patient, nombreux sont ceux qui se plaignent, et qui veulent à tout prix entrer. La sécurité et les flics s’y opposent, mais bientôt certains des premiers rangs, incazzati, commencent à scuzzuler avec force les grilles !!!

Ce qui devait arriver arriva, la Securité paniqua, et faisant fi des consignes, commença à entrouvrir les grilles. Tout le monde tentait de  » s’enfrougner « , lorsque les flics donnèrent un contre -ordre !!! A notre grand dam les portes nous furent claquées au nez, et la scuzzulata recommença. Seulement plusieurs dizaine de bleus avaient réussi à pénétrer à l’intérieur de l’enceinte et s’étaient installés. Refusant ostensiblement d’obéir à la sécurité, il fallut l’intervention au micro de feu le Président J-F. Filippi pour les faire sortir !!

La manœuvre ne réussit que partiellement, et vu que nous étions à bout, enfin les grilles s’entrouvrirent.

Tout le monde dès lors se rua comme des affamés sur les pains au chocolat du « Babaorum  » un lendemain de sborgna. Le but était d’une part de trouver les meilleures places pour accrocher les innombrables BANDEROLES (qui a l’époque étaient très à la mode ) et surtout pour échapper à la fouille des flics. Tout le monde était outillé comme pour la guerre du Vietnam, et les objets illicites étaient foison. Dans mon sac à dos se trouvaient la banderole de mon groupe, deux bombes agricoles, et un fumigène blanc énorme qui provenait d’un stock de l’armée. A côté de moi, un type espérait lui aussi forcer la fouille car il avait apporté 15 paquets de mammouth !!!!!

Une fois arrivés devant les escaliers qui conduisaient à la tribune, nous nous rendîmes compte avec stupeur qu’il y avait un deuxième barrage filtrant au sommet des escaliers !!! Les flics, au courant de notre réputation d’artificiers en tous genres, prenaient leurs précautions. Je commençais à me sentir mal pour les objets contenus dans mon sac, lorsque nous assistâmes à une scène IREELLE, que je n’ai plus jamais revue depuis. Au moment où nous grimpions, des dizaines de mains anonymes appartenant à des bleus qui étaient déjà passés se tendirent vers nous afin que l’on puisse entrer notre artillerie en toute impunité !!!!! Sans refléchir je tendis mon sac à bout de bras, qui fut immédiatement happé avidement par un supporter qui rapidement me montra sa faccia pour que je puisse le reconnaître une fois le CRS franchi !!!!

Hélas les pandores abbanbanés se rendirent compte qu’ils se faisaient mystifier, et se firent beaucoup plus agressifs . Ils commencèrent à scuzzuler tous les bleus porteurs d’objets en cherchant furieusement des objets contendants. Je franchissais la fouille sans encombre, lorsque le bleu à coté de moi se fit confisquer son drapeau du Sporting 78 ( celui avec les écussons de Torino, Newcastle…) sous prétexte que le manche était en bois !!!!

Or, à l’époque les hampes n’étaient pas réglementées comme aujourd’hui, et cela était particulièrement abusif ! Nous étions plusieurs à intervenir auprès du gentil CRS pour qu’il restitue la bandera, lorsque le flic haineux jeta le drapeau comme un javelot sur la… pelouse !! C’est alors que le bleu en question, qui était âgé d’une trentaine d’années péta un cable et cria : « Mon drapeau que j’avais à depuis 10 ans ! Mon drapeau que j’avis depuis 10 ANS !!!!!! ». Lisant dans mes pensées, ce type, que je n’ai plus jamais revu ensuite, prit le flic par les épaules et lui expédia une majestueuse CAPATA !!!

Le flic s’écroula, nous pénétrâmes en force, et commençâmes à nous installer. Je remerciai chaleureusement le bleu qui s’était chargé de mon sac et sortit la banderole pour l’appicciguer au grillage. Seulement j’eus des difficulté car ce dernier, sur toute la longueur de la tribune, était saturé de types qui essayaient d’en faire de même !!!! On assistait d’ailleurs à de byzantines discussions entre Cuncoltaghji et partisans du MPA qui avaient chacun entendu signifier le soutien de leur tendance au Sporting par banderole interposées !! Idem pour les paisani des villages du Fiumorbu, du Nebbiu et du Niolu, pour ceux du  » Bar Machin  » !! Une fois ce travail effectué, il fallut se retrouver entre amis, car dans la bousculade tout le monde s’était perdu de vue. Nous pûmes constater d’ailleurs que les etudiants corses de Nice ne se trouvaient pas avec nous, mais en plein coeur de la mythique tribune Nord, entourés de Niçois !! Le stade est maintenant quasiment plein, et c’est la fièvre généralisée.

Immédiatement nous entreprenons de marquer le territoire : les premières bombes agricoles sont lancées sur les supporters de la Brigade Sud Nice, les drapeaux s’agitent, et les chants commençent à partir. Tout le monde donne de la voix en attendant l’échauffement des joueurs, lorsqu’un bleu (avec un bandeau sur le front) complètement « trapanatu » enjambe le grillage, saute bandera en main sur la pelouse, et commence à entamer un tour d’honneur !!!!!! Il commence son sprint scimitu sous nos encouragements, reçois aussi ceux de la Nord (corses de Nice), se fait ensuite copieusement siffler par la Tribune d’honneur, et enfin passe devant la Tribune Sud où les  » ultras  » niçois, passablement énervés et vexés de s’être faits bouger par nos bombes agricoles, l’attendent de pied ferme ! Alors que j’étais en train dire à mon voisin  » si ils veulent sauter eux aussi pour le tazzer on y va « , le furieux du Sporting (sûrement un habitué de la EST) se précipite vers le tribune Sud et commence à frapper comme un malade sur les faccie des niçois appicigués au grillage !!!

Tout le monde chez nous hurle de bonheur en criant  » Bastia ! « , lorsque des espèces de vigiles de la sécurité du stade, habillés en survet bleu et taillés comme des Rambos, envisagent de s’emparer de ce nouveau Jojo Petrignani !! Habilement prévenu par nos cris animaliers, ce scimulitu, les bras levés en signe de victoire, se précipite vers notre tribune, et comme un ouistiti palmé réussit à échapper aux mollosses ! A la fois morts de rire et fiers de lui, nous reprenons à gorge déployée nos chants, lorsque les joueurs pénètrent enfin sur la pelouse pour l’echauffement !!!!

D’emblée, les joueurs du Sporting, qui aperçoivent notre tribune et la marée de drapeaux bleus et blancs, nous saluent. Antoine Di Fraya dira par la suite qu’il avait été franchement impressionné par notre nombre et notre ferveur.

Les niçois se placent à notre gauche, et commencent à trottiner, en se tenant à distance respectable des scimuliti bleus les plus proches d’eux. Tout le monde chez nous commence à monter en puissance, en veillant toutefois à ne pas trop se carboniser d’entrée, parce qu’on sait que le match va être long et éprouvant (pour ma part à ce moment je me paye déjà un sérieux mal de crâne (barre au front) qui est le signe avancé de la plus parfaite sbattulance).

L’échauffement se poursuit sans que rien de notable ne se produise, lorsqu’un ballon un peu trop appuyé par un niçois se dirige vers le grillage des bastiais les plus proches du poteau de corner. Immédiatement on perçoit un petit mouvement de foule de ce côté là, où se trouvent quelques animaux venus de l’Extrême-Sud (Portivechju plus spécialement). Inconscient du danger le capitaine niçois, l’arrière-gauche Philippe MATTIO, feint d’ignorer les immanquables quolibets, et se dirige vers le ballon, lorsque nous voyons partir de la tribune un petit objet à la forme ovoïde, qui rebondit deux fois sur la pelouse, avant de se coller au cuir. Quelques profanes se demandent de quoi il peut s’agir, alors que les yeux les plus avertis ont instantanément décelé une de nos fameuses Bombes agricoles !!!!

Seulement l’autre buse de capitaine ne l’a pas vue, et il s’apprête à mettre un calciu dans le ballon ! Je retiens mon souffle en craignant le pire, lorsque le bruit de la détonation nous parvient. Alors que ceux qui n’ont rien vu crient « Olé !! », en croyant à une B.A isolée, on perçoit le petit nuage de fumée classique qui accompagne l’explosion, et surtout le mocciu incarné de Mattio s’écrouler comme une bouse sur la pelouse !!!!

Tout le stade se tourne alors vers l’explosion, et un grand froid gagne notre tribune, car le Mattio est toujours  » leccu  » sur la pelouse. Certains crient déjà au comédien, mais après l’arrivée des premiers secours, on se rend compte que le niçois est purement et proprement dans les pommes !!!

C’est alors que le spectre du match perdu sur tapis vert saisit d’angoisse la marmaille bleue, qui n’en mène pas large. Les plus pessimistes (toujours les mêmes, ceux qui à 3-0 ont toujours peur qu’on se fasse remonter) y vont de leur couplet « Stu colpu simu freschi » et autres « L’avemu da piglià in culu », ce qui a le don d’irriter les inconscients (type : plastiqueurs de Postes et de Caisses d’Epargne) qui ne voient aucun mal dans cette sympathique démonstration pyrotechnique.

Quoiqu’il en soit le capatoghju est toujours présent, et on se demande si ce match, qui partait si bien, n’allait pas définitivement tourner en eau de boudin. Fort heureusement non, car au bout de quelques minutes, Mattio se revèle, et est même acclamé par une partie des bleus !!! (reconnaissons que parfois on fait une belle petite bande de falzacci, non?). C’est donc soulagés que nous assistons à la fin de l’échauffement. Les bleus regagnent les vestiaires sous nos vivats.

Pendant ce temps, les niçois de la BSN sont vexés comme des poux. Et pour cause : ils ont assisté depuis le matin au déferlement turchinu dans leurs rues, ils sont mis en minorité dans leur propre stade (30 % minimum du public est bleu, et inutile de dire qu’ils sont submergés au niveau de l’ambiance), se sont reçus une bonne palanquée de bombes agricoles dans la tronche, et cerise sur le gâteau, leur capitaine vient d’être violemment scuzzulé et a dû rapatrié sur le bord de touche comme une figue molle de la Ruche Foncière.

Ainsi font leur apparition dans la Tribune Sud quelques drapeaux tricolores, qui font mauvais genre avec le pseudo-particularisme régional niçois (dont le comté a été intégré à la République après nous). Immédiatement une nuée de drapeaux frappés du clandestin agenouillé s’agitent aux quatre coins du secteur bleu, et la grosse pression commence à se répandre.

Alors que les 22 acteurs sont dans le tunnel, on franchit un nouveau pallier, et une séquence mémorable va bientôt se produire. Pendant que résonnent les  » Bastia, Bastia « , et que les premiers fumigènes comment à être décapsulés, les rouges et noirs commencent à exhiber une grande banderole :  » SI LA MERDE ETAIT DE L’OR, LA CORSE EST UN TRESOR  » (avec concordance de temps déféctueuse en prime), le tout agrémenté d’une Marseillaise dont on sent qu’elle n’a pas été souvent reprise jusqu’ici (fierté française et présence de banlieusards obligent).

De notre côté, après un moment de stupeur, c’est la craquance généralisée qui s’installe : alors que l’hymne gaulois est entonné, se produit une réaction en deux temps : dans le coin des porto-vecchiais 3 bombes agricoles sont lancées, qui explosent en plein milieu des niçois, qui détalent comme des lapins de la forêt de Bonifatu, ce qui laisse admirer trois énormes gouffres béants à l’endroit exact des déflagrations ! Mieux encore (moment magique) et alors que personne ne s’était concerté, 3000 poitrines à l’unisson se lancent dans une série impressionnante de « FLN! FLN! » comme on en a jamais entendu !!!! Quelle n’est pas de surcroît notre stupéfaction à la vue de clanistes purs et durs (c’est à dire limite C.F.R) en hystérie totale !!! Pour un peu, on leur aurait demandé d’aller prendre d’assaut le camp de Légion à calvi, ils y seraient allés à la nage, ces animaux -là !! La scimità et le patriotisme spontané dans toute leur splendeur ce soir là…

C’est dans cette ambiance apocalyptique et tri-dimensionnelle ( re-barre au front pour tout le monde) que les joueurs bleus, menés par Pierrot Bianconi, déboulent sur la pelouse, dans un incendie de fumigènes…

Alors que le coup d’envoi va être donné, on assiste à quelques petites échauffourées dans la tribune d’honneur en face de nous. Visiblement se trouvent là-bas des petits groupes de bleus qui doivent disserter de la fraternité franco-corse sans langue de bois.

Les joueurs sont enfin liberés dans l’ambiance que l’on devine et le Sporting se présente ainsi (si je me souviens bien) : Valencony, Bianconi, Salou, Burnier, Soumah, Taberner, Faye, Di Fraya, Rzepka, Mangione, Bourabaa.

D’emblée le sporting est à l’attaque, mais les niçois ripostent. On joue la 10ème minute lorsque le Sporting se voit attribuer un corner juste dans le coin droit de notre tribune. Antoine di Fraya le frappe, le ballon traverse une foret de jambes, et va se ficher dans le coin droit du but niçois !!! Tout le monde exulte, devant ce magnifique corner direct, lorsque l’arbitre, après maints palabres, annule le but pour un prétendu hors-jeu !!! Inutile de s’attarder sur les noms d’oiseaux dont il est aussitôt affublé….

Mais le Sporting ne se décourage pas et repart à l’attaque. A la suite d’une faute sur Mangione, l’homme en noir tente de se rattraper et nous siffle le penalty !! Explosion de joie dans nos rangs, immédiatement douchée à la vue du gros Piotr RZEPKA qui s’avance pour tirer. De son pas lent qui ne laisse pas sans évoquer le sprint de Mohamed Ali lors de la cérémonie d’ouverture des J.O d’Atlanta, ce quasi-albinos, se prépare, ouvre son pied et trompe le portier adverse !!! 1-0 pour Bastia alors qu’un gros du rang au-dessus s’affale sur moi et que je sbattule sur un type barbu avec un parapluie sur la tête aux couleurs du Sporting !!

Ensuite, la partie s’équilibre, et nous avons la confirmation que le match va être une vraie straziata. Les incidents de jeu ne manquent pas (avec un Pierrot plus bianconesque que jamais) et la mi-temps est sifflée sur le même score, qui nous remplit de satisfaction.

Tout le monde se repose un peu chez nous en prévision de la rude 2ème mi-temps, lorsqu’ on aperçoit un petit groupe de niçois de la Brigade Sud (je vous laisse deviner quelle composante…) s’avancer à l’angle gauche de la tribune pour venger les affronts subis jusque là. Ils tombent sur la même bande de surexcités de Portivechju que tout à l’heure, renforcés d’éléments disparates provenant du reste de la tribune. Certains niçois exhibent des couteaux (!!!) et n’ont pour toute réponse que quelques déchainés qui tentent de passer le grillage mozzu pour en découdre. Comme l’on voit venir vers ce lieu de désordre les sympathiques forces de l’ordre (renforcées par les vigiles en bleu taillés comme des Rambo qui avaient coursé le scimulitu de l’avant-match), on comprend qu’il ne sert à rien de tenter un assaut voué à l’échec. Toutefois, afin de se retirer dignement, les bleus font cadeau de quelques petites bombes agricoles qui explosent dans un joli bruit de fond, ce qui a le don de crisper un peu plus nos amis azuréens qui nous promettent l’enfer à la fin du match (ben voyons…).

Les joueurs reviennent, et le match reprend. Inutile de s’attarder longuement sur la deuxième mi-temps, ce fut une SOUFFRANCE de bout en bout. Chaque bleu passe à tour de rôle par toutes les couleurs de l’arc-en-ciel, et le paroxysme de l’adrénaline est atteint lorsqu’un niçois lancé plein axe s’échappe avec le ballon, grille les deux défenseurs venus sur lui, et s’apprete à penetrer dans la surface pour un face à face plus que dangereux avec Valencony. Les sorties dans les pieds n’etant pas le fort de notre goal (il excellait par contre sur sa ligne), tous sommes tétanisés, lorsque l’eternel Morlaye SOUMAH, revenu d’on ne sait où, lui inflige un magistral tacle par derrière qui envoie sbouler le nicois à l’interieur de la surface. Moment atroce, on ne sait pas si l’arbitre va siffler le penalty (de compensation) ET / OU expulser Morlaye, lorsque le brave homme ne sort qu’un misérable carton jaune pour notre guinéen.

La Vierge Marie, dont je rappelle que nous portons les couleurs, est intensément remerciée, et je jure dans l’instant de ne plus manquer aucun office (saoul ou pas) le dimanche matin à Notre-Dame de Lourdes.

La toute fin de match est du même calibre : les nicois sont plus qu’une fois proches du but, et leur public en bois se reveille de plus en plus. Ambiance, ambiance…

Les arrêts de jeu sont interminables, et le mauvais pressentiment nous etrangle, lorsque la fin du match est sifflée, dans le délire que l’on imagine !!!

Comme des centaines de bleus je me précipite au grillage dans l’idée d’envahir le terrain pour feliciter les joueurs bleus, et notamment Pierrot Bianconi, qui se dirige vers notre banderole. Quelques bleus arrivent à pénétrer sur le terrain, dont un qui vient du secteur des étudiants corses de Nice situé en tribune Nord. Alors que je suis en passe d’atteindre mon but, je suis violemment frappé sur les mains par un CRS qui avec sa compagnie s’est rué vers nous pour nous empecher d’aller fêter la victoire. Pire : le bleu de Nice, qui vient de récuperer le maillot bleu de Bianconi est rattrapé alors qu’il s’apprete à rejoindre son secteur, et ROUE de coups par un policier. C’est alors que Petru Bianconi, alerté par nos soins se lance dans son fameux sprint scimitu et balance un terrible tackle dans le dos de cette ordure, qui sera rapatrié sur civière (+ plus de 15 jours d’I.T.T qui feront craindre un moment pour la participation de Petru au ¼ de finale contre Nancy à Furiani.)

Apres un ultime salut aux joueurs et aux dirigeants de l’époque (1000 fois plus proches des supporters que l’equipe actuelle…), et le temps de récuperer nos banderoles, il est maintenant temps de se plonger dans la nuit niçoise afin de savourer notre victoire. Inutile de dire qu’on débache en quatrième vitesse, car rapidement le bruit des premiers incidents nous parvient. On croyait que ça allait être chaud, mais en fait c’est plus que chaud : on apprend que c’est WAR ZONE dans tout le quartier du Stade du Ray, et il n’est pas question pour nous de ne pas en être….

Aussitôt sortis de la tribune, nous assistons à des scènes de liesse, lors de lesquelles on voit des bleus se rouler dans la pelouse des jardins environnants, et même un (sûrement en manque) en train de copuler avec un cyprès en poussant des cris !!! C’est aussi le moment où on aperçoit des amis qui étaient là mais qu’on avait pas vu : embrassades, projets d’escouade pour aller chasser la racaille niçoise, et aussi rendez-vous plus tard dans la nuit pour parachever le succès par une bonne petite sborgna…

Seulement ces accolades font perdre un temps précieux, parce que dans les avenues proches du stade, ça a déjà péter de tous les côtés. N’ayant pas la prétention se savoir tout ce qui s’est passé ce soir-là, je ne vais parler que de ce que sais de source sûre.

Première surprise : le dispositif policier énorme mis en place dans l’avenue qui relie la tribune des ultras niçois à la notre, a été relâché pour faire place aux innombrables navettes de cars de la Ligne 2 des Transports Urbains qui doit ramener les bleus au port où le bâteau les attend.

Le premier azzuffu est à mettre sur le compte d’un groupuscule venu de Bastia , et qui formera plus tard le noyau dur de Testa Mora : à peine sortis dans l’avenue, ces derniers aperçoivent un enfant d’une dizaine d’année en train de pleurer. Ils lui demandent pourquoi, et le petit explique qu’il est isolé, et que des niçois en colère lui ont déchiré sa bandera corsa, dont il ne reste que des lambeaux. Il explique aussi que les auteurs de cet acte déplorable ne se trouvent pas loin, et il les désigne du doigt. Aussitôt les bleus les prennent en chasse, les coincent dans une impasse du quartier résidentiel voisin, et leur administrent une sévère correction. ils en profitent pour récuperer la bandera, qu’ils rendent au gosse qui vient de retrouver son père et qui est ravi.

Dans le même temps, ce sont des bleus en directe provenance des Collines de Casatorra qui sont aux prises avec les niçois qu’ils viennent de croiser. Cette équipe, pour l’essentiel licenciée à l’AJB, se caractérisait par leur grande solidarité et leur scimità. Alors que les niçois insultent, ça part de tous les côtés, sans préavis. Aux premières loges on trouve, l’actuel portier d’une boite de nuit à la mode du sud de Bastia. Résultat des courses : les niçois, roués de coups de drapeaux et autres moyens classiques, sont en déroute. Certains animaux de ce groupuscule arborerons ensuite en Tribune Ouest une grande bandera sur laquelle on remarquait des traces de sang accompagnées de la légende suivante :  » Sang Niçois  » !!!

De l’autre côté du stade, ça bouge pas mal aussi, et c’est d’ailleurs là que va se produire le plus gros incident de la soirée. Là les bleus sont beaucoup moins nombreux, car la plupart de ceux que l’on croise sont ceux venus en voiture particulière, et qui ont envisagé de passer la soirée sur Nice. C’est notamment le cas d’une bonne escadrille venue de Solenzara, que j’ai croisé quelques minutes auparavant avec force embrassades.

Au moment où ces fatigués approchent de leur véhicule, ils sont pris à partie par des supporters niçois qui se trouvent dans un car bondé des transports urbains. Les insultes sur la bâtardise de la corsitude fusent, et les courageux niçois se croyant à l’abri, menacent de descendre du car. C’est alors que les Fiumurbacci, nullement impressionnés, se mettent sbattuler : plutôt que d’attendre avec appréhension une éventuelle descente, ils décident de prendre les devants et de passer à l’attaque !! Le conducteur se dirige vers son véhicule, ouvre lecoffre, et distribue à ses comparses 3 barres de fer !! Au lieu de menacer eux aussi, ils se mettent aussitôt à courir vers le car, sous le regard tétanisé des pinz !!! Or, la tétanisation ne tarde pas à se transformer en effroi, car en deux coups de cuillières à pot toutes les vitres du car sont purement atomisées par les furieux solenzarais en transes !!

Alertés par le raffut (avenue bloquée) les CRS accourrent et se jettent sur les bleus, qui après avoir tenté une retraite, sont neutralisés. Résultat des courses : 4 individus sur-le-champ en garde à vue dans les sols du Comissariat Central, et mise en examen immédiate pour coups, blessures, et dégradations !!!! Quelques mois plus tard le verdict tombe : 6 mois de prison avec sursis pour les protagonistes !!

Il y aurait encore beaucoup à dire sur les événements de cette soirée (par exemple la bagarre à laquelle j’ai été mêlé au carrefour de Saint-Sylvestre est trop minable pour en faire état). Precisons toutefois le dernier incident important qui a touché cette fois un supporter du Sporting, et qui illustre le courage légendaire des niçois : alors que les navettes se succédaient vers le port, une canette de bière pleine jetée depuis un bar proche du stade traversa la vitre du car, et atteignit en plein visage un bleu d’une quarantaine d’années, qui eut le nez arraché. Sa blessure necessita par la suite plusieurs interventions chirurgicales.

Voilà pour se déplacement mythique, qui aurait pu l’être encore bien plus si les tristes sires niçois avaient joué le jeu. Esperons simplement que les bleus un jour se décidéront à réagir, afin que ces faits d’armes n’aient pas vocation à n’etre que de l’histoire ancienne et surtout révolue…

ERI, OGHJE, DUMANE

FORZA BASTIA

PZD

Territoriales 2015 : Debout la France, une vision centralisatrice pour la #Corse

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(Corse Matin) Ils espèrent que le nombre de listes en présence (quatre entre la droite et la droite de la droite) leur sera favorable et que leur liste passera la fatidique barre des 5 et même des 7 % pour se maintenir au second tour. Une rude tâche

C’est une vision de la Corse qui a ses défenseurs, que prône la liste Debout la France, menée par Hyacinthe Santoni. Une Corse indissociable de la France, sans le moindre début de commencement de particularisme. 
France-CorseCFRfrancia (7)

Quoique le particularisme français soit revendiqué… Car dans le programme que déclinent les partisans de Nicolas Dupont-Aignan dans l’île, il est clair que l’on est contre tout ce qui s’est fait ces dernières années à l’Assemblée de Corse. Contre la coofficialité en matière linguistique, contre le statut de résident, contre un nouvel article « spécifique » pour la Corse dans la Constitution.

LIRE LA SUITE DIRECTEMENT SUR LE SITE DE CORSE MATIN

logo corsematin2011

TDR CORSE MATIN

#Corse Plus de 150 personnalités, entreprises ou associations soutiennent l’amnistie

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(Article du 14 juillet 2015, réactualisé) L’Associu Sulidarità, partie prenante du collectif pour une voie politique, lance une nouvelle campagne pour l’Amnistie des prisonniers politiques et des recherchés. Après avoir contacté les Mairies de Corse et ses institutions, Sulidarità lance un appel aux différentes associations et personnalités qui soutiennent cette démarche. (lien de l’appel/Manifeste)

dess20_2Ti scrivu a tè, fratellu paisanu ….

Hè puru ghjuntu u tempu storicu di fà sbuccià i fiori di a paci e di a libertà à u sole Corsu.

Cari fratelli se voi mi permettite in qualchi simplice parole vularia, circà a vostra attinzioni, pà pruponavi d’avè una riflezioni, anantu a manera di fà chi u nostru populu pigliessi i chjassi chi caminanu versu a custruzioni d’un’avenne corsu assiguratu in a pace .

Ecu qualchi scrittu pu puntillà u vostru pinsà…

Voici les 100 premiers signataires du site http://corsica-amnistia.com/

Soutiens MEDIA

  1. Alta Frequenza (radio)
  2. Bertocchini Frédéric, Journaliste Alta Frequenza, et scénariste de Bande dessinée
  3. Alta Serena (radio)
  4. NRJ Ajaccio (radio)
  5. Paoli-Bourgeois Davia, Productrice/Animatrice RCFM (France Bleue)
  6. Luciani Jean Paul, Journaliste RCFM  (France Bleue)
  7. Buresi Vannina, animatrice RCFM, intervenante LCC  (France Bleue)
  8. Perreard Julie, réalisatrice
  9. Santi Marilyne, Journaliste Corse Net Infos

Soutiens Sportifs

  1. L’Orsi Ribelli, groupe supporter de l’ACA
  2. Molina Jean,  Cadre technique au Ring Olympique de Marseille
  3. Rinaldo Karine, championne d’europe de boxe
  4. A Squadra Corsa, Equipe de Football
  5. USC Cortenais, Equipe de Football
  6. Yannick Cahuzac, Capitaine du SC Bastia
  7. Jean-Louis Leca, Gardien de but au SC Bastia
  8. Gilles Cioni, Footballeur au SC Bastia
  9. François-Joseph Modesto, Footballeur au SC Bastia
  10. Ghislain Printant, Entraîneur du SC Bastia
  11. François Ciccolini, Entraîneur adjoint du SC Bastia
  12. Hervé Sekli, Entraîneur des gardiens de but du SC Bastia
  13. L’Orsi Ribelli, Groupe de supporters de l’ACA
  14. Compañero, Groupe de supporters du GFCA
  15. Louis Poggi, Capitaine du GFC Ajaccio
  16. Kalid Boutaib, Footballeur au GFC Ajaccio
  17. Roderic Filipi, Footballeur au GFC Ajaccio
  18. Jérémie Bréchet, Footballeur au GFC Ajaccio
  19. TM Luciani, Résponsable de la sécurité au GFC Ajaccio

Soutiens Associatifs et PME

  1. Association ENTRECHAT
  2. Associu Aria Linda
  3. Associu Grossu Minutu (Belgique)
  4. Associu Music’Avvene
  5. Associu Storia 97
  6. Associu U Vaziu
  7. Michèle Salotti, U Levante
  8. Ricordu, entreprise culturelle
  9. Cortographique, société de communication
  10. Cristiani Corsi

Soutiens Culturels

  1. L’Arcusgi, gruppu culturale
  2. Coti Rinatu, Ecrivain
  3. Ghiddi Jean-Louis, Champion de Corse Morra 2015, Vice-Champion Région de Nice
  4. Mimoria Tramandata, gruppu culturale
  5. Solinas Michel, musicien, groupe Contraversu, Président Associu Dopu Cena
  6. Bruschini Laurent, chanteur
  7. Tramini Antoine, Auteur-compositeur, intervenant LCC (Mimoria Tramandata)
  8. Fumaroli Dominique, Auteur de contes et illustratrice
  9. Dopu Cena , gruppu culturale
  10. Fiatu Muntese, gruppu culturale
  11. Rini Carlotta, canterina
  12. Cinqui Sò, Gruppu Culturale
  13. Cirnese, gruppu culturale
  14. Crescenzi Antò, Co-fondateur et auteur compositeur interprète (Vaghjime)
  15. Godinat Jean Pierre, auteur-compositeur-chanteur
  16. I Mantini, gruppu culturale
  17. I Surghjenti, gruppu culturale
  18. I Vagabondi, gruppu culturale
  19. Locu Teatrale
  20. Gattaceca Patrizia, canterina
  21. Battesti Paula, canterina
  22. Guelfucci Petru, Canterinu
  23. Marchini Pierre Paul, artiste peintre
  24. Teatru Nustrali
  25. Tonton, Antonpietri, (CorsicaSound)
  26. Vaghjime, gruppu culturale
  27. Vogulera, gruppu culturale

Soutiens Judiciaires

  1. Bussy Loic, Avocat au barreau
  2. Poli Laura Maria, Avocate au barreau d’Ajaccio
  3. Filippi Philippe, Avocat au barreau

Soutiens Politiques

  1. Collectivité Territoriale de Corse via une motion
  2. Mairies de Corse (la liste des 100 premières)
  3. Henri Malosse, Président du Comité économique et social européen (CESE) 
  4. Josepha Giacometti, Conseillère territoriale Corsica Libera
  5. Jean-Guy Talamoni, Conseiller territorial Corsica Libera
  6. Jean-Marie Poli, Conseiller territorial Corsica Libera
  7. Joseph Colombani, Président de la Chambre régionale d’agriculture de Corse
  8. Jean-Christophe Angelini, Secrétaire national du PNC
  9. Pierre-Jean Poggiale, 1er Adjoint de Valle di Mezzana
  10. Mattea Lacave, Conseillère territoriale Femu a Corsica
  11. Alain Spacensky-Sirinelli, Conseiller municipal d’e Ville di Parasu
  12. Vincent Ciccada, Représentant des associations de protection de l’environnement au Conseil Economique Social et Culturel de Corse – Vice-Président de la Communauté des Communes d’Ornanu
  13. Dumè Bianchi, ancien maire et ancien prisonnier politique amnistié
  14. Jean-Yves Leandri, Maire de Granacci – Vice-Président de la Communauté des communes du Sartenais Valincu
  15. Jean-Félix Acquaviva, Maire de Lozzi 
  16. Saveriu Luciani, Conseiller Territoral Femu a Corsica
  17. Tumasgiu d’Orazio, Ancien conseiller municipal d’Ajaccio
  18. Ghjuvanni Biancucci, Maire de Cutuli e Curtichjatu – Conseiller Territorial
  19. Gabi Mouesca, Chargé de mission au sein d’Harrera, structure d’aide « au retour » des prisonniers politiques basques et des réfugiés, dans le cadre du processus de paix.
  20. Etat de Savoie
  21. A.N.H, Association des Nations de l’Hexagone
  22. Scida – Giovunus Indipendentistas – Sardegna (Internaziunale)
  23. STC CFC, syndicat (charles Finidori et l’ensemble de ses adhérents)
  24. STC EVEIL, syndicat
  25. STC SIVOM CERVIONI
  26. STC SNCM
  27. A Manca, mouvement politique
  28. Associu Sulidarità, soutien aux prisonniers politiques
  29. Associu di I Parenti Corsi, syndicat
  30. Culletivu a Droga Fora, collectif
  31. Ghjuventù Indipendentista, syndicat étudiant et mouvement de jeunes

Signez la pétition pour l’amnistie en ligne ici (+de 2000 signataires)

logodessinAMNISTIA

#Corse – Me Alain Spadoni : La fiscalité causera « la mort du peuple corse »

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(Corse Matin) Pour le président du conseil régional des notaires, Me Alain Spadoni, la Corse va droit dans le mur si rien n’est fait en matières de droits de succession, alors que le retour au droit commun prendra effet le 1er janvier 2018.

Par le biais de votre lettre, vous interpellez les candidats à l’élection territoriale. Mais concrètement, que peuvent-ils ? Ont-ils un réel poids dans ce dossier ?

J’ai appris que dans une démocratie, ce sont les élus qui portent la voix du peuple. Nous sommes, c’est vrai, face à un État centralisé où le siège du pouvoir est à Paris, mais je garde la conviction que lorsqu’on pose les bonnes questions et que l’on propose des solutions sérieuses, alors les choses avancent.
MiotPeupleCorseFemu

 Un retour au droit commun en matière de droits de succession est-il inévitable ?

Si nous n’arrivons pas à arracher un transfert de compétence ou la remise à jour du statut fiscal de la Corse – celui de 1993 -, oui le 1er janvier 2018, nous serons dans le droit commun avec un impôt sur les successions qui va de 20 à 60 %.

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